À Plainfaing dans les Hautes-Vosges, la confiserie CDHV est le temple des bonbons pour petits et grands. ©Bertrand Munier
Jean-Marie Claudepierre, l’âme de la confiserie plainfinoise. ©Bertrand Munier
De la tradition à la gourmandise
Depuis la nuit des temps, la France recèle de nombreuses gourmandises pour petits et grands. Elles dessinent la carte de France avec des appellations connues et reconnues : Dragée de Verdun, Berlingot de Carpentras, Anis de Flavigny, Nougat de Montélimar, Pastille de Vichy, Bergamote de Nancy, Calisson d’Aix, Bêtise de Cambrai, Violette de Toulouse…
Mais dans les Vosges, une confiserie porte très haute et très loin, l’étendard de certaines douceurs. Niché au hameau de Habeaurupt sur la commune de Plainfaing sur un espace dépassant les 2 000 m2, cet établissement est la fierté d’une famille locale. Portée sur les fonts baptismaux par Jean-Marie Claudepierre, sa sœur Marie-Jeanne et son frère Bernard, cette confiserie jouit d’une réputation non usurpée dans les écheveaux des bonbons artisanaux.
« En effet, rapporte Jean-Marie, j’ai créé en 1986 la Confiserie des Hautes-Vosges qui se décline au fronton de notre société par quatre lettres, toutes de rose vêtues et devenues célèbres : CDHV. Qui plus est, j’ai associé de suite deux de mes proches à mon projet. »
Depuis la nuit des temps, la France recèle de nombreuses gourmandises pour petits et grands. Elles dessinent la carte de France avec des appellations connues et reconnues : Dragée de Verdun, Berlingot de Carpentras, Anis de Flavigny, Nougat de Montélimar, Pastille de Vichy, Bergamote de Nancy, Calisson d’Aix, Bêtise de Cambrai, Violette de Toulouse…
Mais dans les Vosges, une confiserie porte très haute et très loin, l’étendard de certaines douceurs. Niché au hameau de Habeaurupt sur la commune de Plainfaing sur un espace dépassant les 2 000 m2, cet établissement est la fierté d’une famille locale. Portée sur les fonts baptismaux par Jean-Marie Claudepierre, sa sœur Marie-Jeanne et son frère Bernard, cette confiserie jouit d’une réputation non usurpée dans les écheveaux des bonbons artisanaux.
« En effet, rapporte Jean-Marie, j’ai créé en 1986 la Confiserie des Hautes-Vosges qui se décline au fronton de notre société par quatre lettres, toutes de rose vêtues et devenues célèbres : CDHV. Qui plus est, j’ai associé de suite deux de mes proches à mon projet. »
Au-devant ou derrière la scène de la confiserie, le travail des salariées s’effectue toujours avec application et sourire. ©Bertrand Munier
Les amandes, cacahuètes et autres noisettes grillées, aiguisent également l’envie et l’appétit.Ces pépites croustillantes et diablement goûteuses sont aussi des produits majeurs de la confiserie CDHV. Il en est de même avec les brisures de bonbons pour infusions.
Oui ! Toutes ces douceurs sont issues d’un savoir-faire vosgien sans nul autre pareil. En définitive, il est facile de comprendre cet engouement pour cette confiserie qui demeure l’un des sites touristiques les plus visités des Vosges, avec une moyenne de 230 000 visiteurs par an, et des pics de fréquentation de 30 000 par mois en période estivale. « En outre, commente de concert la famille Claudepierre, notre établissement est le plus visité dans les lacis de l’agroalimentaire française. »
Oui ! Toutes ces douceurs sont issues d’un savoir-faire vosgien sans nul autre pareil. En définitive, il est facile de comprendre cet engouement pour cette confiserie qui demeure l’un des sites touristiques les plus visités des Vosges, avec une moyenne de 230 000 visiteurs par an, et des pics de fréquentation de 30 000 par mois en période estivale. « En outre, commente de concert la famille Claudepierre, notre établissement est le plus visité dans les lacis de l’agroalimentaire française. »
Les quatre lettres CDHV, toutes de rose vêtues, sont familières des clients aux quatre coins de l’Hexagone grâce à la vente directe à la confiserie ou sur les différents marchés régionaux. ©Bertrand Munier
Toutefois, le dessein professionnel de Jean-Marie Claudepierre est avant tout articulé avec l’univers forestier.
« Initialement, souligne ce dernier, je suis issu d’une fratrie de débardeurs depuis maintes générations. Depuis que j’ai vu le jour, j’ai toujours été imprégné par la montagne, le bois et ses essences qui en découlent. Mais un évènement heureux va changer la donne et rebattre les cartes de ma vie, quand j’épouse Myriam, une institutrice, fille et petite-fille de marchand de bonbons. »
Cette union scellée au cœur du massif des Hautes-Vosges (si cher à Jean-Marie et les siens) le propulse avec célérité au-devant de la scène artisanale et commerciale. Chemin faisant, il se met à son compte et parcourt les marchés régionaux pour vendre les cacahuètes et autres amandes grillées qu’il fabrique sans omettre de proposer à ses clients, les bonbons en sucre-cuits de la confiserie des Images à Épinal, créée en 1952 par Jean Didier et son épouse.
Quasi de facto, des liens amicaux et commerciaux se tissent entre les deux hommes, si bien qu’à l’heure de la retraite de Jean Didier, Jean-Marie Claudepierre se porte candidat à la reprise de la société spinalienne. L’affaire conclue, il la transporte chez lui en cité plainfinoise au hameau d’Habeaurupt où les feuillus et résineux s’élancent à l’assaut du ciel. Avec sa sœur, son frère, Jean-Marie agrandit ensuite et modernise la confiserie sans renier ses racines familiales et abjurer la tradition d’autrefois dans la réalisation de ces multiples douceurs.
« Initialement, souligne ce dernier, je suis issu d’une fratrie de débardeurs depuis maintes générations. Depuis que j’ai vu le jour, j’ai toujours été imprégné par la montagne, le bois et ses essences qui en découlent. Mais un évènement heureux va changer la donne et rebattre les cartes de ma vie, quand j’épouse Myriam, une institutrice, fille et petite-fille de marchand de bonbons. »
Cette union scellée au cœur du massif des Hautes-Vosges (si cher à Jean-Marie et les siens) le propulse avec célérité au-devant de la scène artisanale et commerciale. Chemin faisant, il se met à son compte et parcourt les marchés régionaux pour vendre les cacahuètes et autres amandes grillées qu’il fabrique sans omettre de proposer à ses clients, les bonbons en sucre-cuits de la confiserie des Images à Épinal, créée en 1952 par Jean Didier et son épouse.
Quasi de facto, des liens amicaux et commerciaux se tissent entre les deux hommes, si bien qu’à l’heure de la retraite de Jean Didier, Jean-Marie Claudepierre se porte candidat à la reprise de la société spinalienne. L’affaire conclue, il la transporte chez lui en cité plainfinoise au hameau d’Habeaurupt où les feuillus et résineux s’élancent à l’assaut du ciel. Avec sa sœur, son frère, Jean-Marie agrandit ensuite et modernise la confiserie sans renier ses racines familiales et abjurer la tradition d’autrefois dans la réalisation de ces multiples douceurs.
D’autres confiseries se conjuguent avec l’anis, la menthe, la framboise, la mûre, la myrtille, la mirabelle, le miel…@ OT Vosges
Cette entreprise familiale se visite tous les jours (hormis les dimanches et jours fériés) au plus grand bonheur des petits et des grands. ©Bertrand Munier
Visite et fabrication en live
Quoi de plus ludique de connaître la fabrication traditionnelle des bonbons en parcourant les coursives de la confiserie vosgienne ? En effet, cette entreprise familiale se visite tous les jours (hormis les dimanches et jours fériés) au plus grand bonheur des petits et des grands.
Un espace de vente spacieux et diversifié permet ensuite de satisfaire chacune et chacun avec une gamme de trente-cinq bonbons différents dont le produit phare est à base de bourgeons de sapin des Vosges.
Tradition locale oblige ! Mais pas que… Car il y en a pour tous les âges et tous les goûts face à ce panel de texture, couleurs, formes et parfums. Par exemple, les bonbons moulés à l’ancienne transportent les clients dans des champs de coquelicots ou de violettes. D’autres confiseries se conjuguent avec l’anis, la menthe, la framboise, la mûre, la myrtille, la mirabelle, le miel… ou encore l’eucalyptus, la plante aux mille vertus, sans oublier l’incontournable spécialité nancéienne à la bergamote, estampillée IGP (indication géographique protégée) qui désigne un produit dont les caractéristiques sont liées au lieu géographique dans lequel se déroule au moins sa production ou sa transformation selon des conditions bien déterminées. Ceci est un signe européen qui protège le nom du produit dans toute l’union européenne.
Quoi de plus ludique de connaître la fabrication traditionnelle des bonbons en parcourant les coursives de la confiserie vosgienne ? En effet, cette entreprise familiale se visite tous les jours (hormis les dimanches et jours fériés) au plus grand bonheur des petits et des grands.
Un espace de vente spacieux et diversifié permet ensuite de satisfaire chacune et chacun avec une gamme de trente-cinq bonbons différents dont le produit phare est à base de bourgeons de sapin des Vosges.
Tradition locale oblige ! Mais pas que… Car il y en a pour tous les âges et tous les goûts face à ce panel de texture, couleurs, formes et parfums. Par exemple, les bonbons moulés à l’ancienne transportent les clients dans des champs de coquelicots ou de violettes. D’autres confiseries se conjuguent avec l’anis, la menthe, la framboise, la mûre, la myrtille, la mirabelle, le miel… ou encore l’eucalyptus, la plante aux mille vertus, sans oublier l’incontournable spécialité nancéienne à la bergamote, estampillée IGP (indication géographique protégée) qui désigne un produit dont les caractéristiques sont liées au lieu géographique dans lequel se déroule au moins sa production ou sa transformation selon des conditions bien déterminées. Ceci est un signe européen qui protège le nom du produit dans toute l’union européenne.
Les visites gratuites et guidées ont un succès sans cesse grandissant. ©Bertrand Munier
De petites mains pour de grandes douceurs.
Mais avant de savourer ces gourmandises, un arrêt s’impose pour découvrir l’antre du confiseur… son laboratoire et les secrets de fabrication.
Sur place, on en dénombre quatre ! Dans des chaudrons en cuivre pour bien diffuser la chaleur, le confiseur ajoute des produits de proximité : de l’eau, du sucre d’Erstein et du sirop de glucose de Marckolsheim. Il porte l’ensemble à 145°C pendant 35 minutes. Il verse ensuite le sucre cuit sur une immense plaque en fonte avant d’ajouter les arômes naturels requis.
« Nous avons la chance de posséder encore une plaque d’origine, avoue fièrement Pascal George. Elle date de 1900 et provient de chez notre prédécesseur. »
Préalablement, cette plaque historique est chauffée pour éviter le choc thermique avec le sucre cuit. Le tout est refroidi progressivement par un courant d’eau froide qui passe dans la table de fabrication.
Il faut ensuite pétrir la pâte obtenue à la main puis à l’aide de spatules, et ce, rapidement, pour qu’elle ne durcisse pas, jusqu’à l’obtention de la couleur voulue. Un malaxage qui s’effectue au moins à quarante reprises.
Mais avant de savourer ces gourmandises, un arrêt s’impose pour découvrir l’antre du confiseur… son laboratoire et les secrets de fabrication.
Sur place, on en dénombre quatre ! Dans des chaudrons en cuivre pour bien diffuser la chaleur, le confiseur ajoute des produits de proximité : de l’eau, du sucre d’Erstein et du sirop de glucose de Marckolsheim. Il porte l’ensemble à 145°C pendant 35 minutes. Il verse ensuite le sucre cuit sur une immense plaque en fonte avant d’ajouter les arômes naturels requis.
« Nous avons la chance de posséder encore une plaque d’origine, avoue fièrement Pascal George. Elle date de 1900 et provient de chez notre prédécesseur. »
Préalablement, cette plaque historique est chauffée pour éviter le choc thermique avec le sucre cuit. Le tout est refroidi progressivement par un courant d’eau froide qui passe dans la table de fabrication.
Il faut ensuite pétrir la pâte obtenue à la main puis à l’aide de spatules, et ce, rapidement, pour qu’elle ne durcisse pas, jusqu’à l’obtention de la couleur voulue. Un malaxage qui s’effectue au moins à quarante reprises.
de gauche à droite : Pascal, directeur de production et artisan confiseur, présente le résultat de la cuisson au grand cassé. ©Bertrand Munier ; Le passage dans des cylindres en bronze donne la forme souhaitée au bonbon. ©Bertrand Munier
Pascal George, qui est entré dans l’entreprise en 1989, renchérit :
« Quand on veut voir que le sucre est bien cuit, on trempe très vite un doigt mouillé dans le sirop et si le sucre casse comme du verre, cela veut dire que le sucre est cuit. Une technique réservée essentiellement aux professionnels. On parle de cuisson au grand cassé. »
Le confiseur se munit ensuite d’une paire de ciseaux idoines pour couper le bloc de pâte (trop épais et long) en plusieurs morceaux et le passer dans un laminoir qui donne la forme voulue aux bonbons. Réellement ce sont des cylindres en bronze qui donnent les formes espérées (étoiles, carrés, rectangles, fleurs…).
Les plaques de bonbons obtenues glissent sur un tapis roulant. Sur celui-ci et tout au long d’un parcours de plusieurs mètres, des ventilateurs les refroidissent puis ils tombent dans une turbine où ils se décollent par enchantement laissant quelques brisures dont certaines sont recyclées pour les infusions (bourgeons de sapin, eucalyptus, coquelicots…). Ces brisures proviennent également de la récupération des plaques cassées de bonbons. Dans ce cas précis, pour faciliter leur dissolution dans l’eau chaude, elles sont broyées entre deux moules en granit avant d’être conditionnées en sachet ou en dosette. Comme quoi, à la confiserie CDHV, rien ne se perd mais tout se crée !
« Quand on veut voir que le sucre est bien cuit, on trempe très vite un doigt mouillé dans le sirop et si le sucre casse comme du verre, cela veut dire que le sucre est cuit. Une technique réservée essentiellement aux professionnels. On parle de cuisson au grand cassé. »
Le confiseur se munit ensuite d’une paire de ciseaux idoines pour couper le bloc de pâte (trop épais et long) en plusieurs morceaux et le passer dans un laminoir qui donne la forme voulue aux bonbons. Réellement ce sont des cylindres en bronze qui donnent les formes espérées (étoiles, carrés, rectangles, fleurs…).
Les plaques de bonbons obtenues glissent sur un tapis roulant. Sur celui-ci et tout au long d’un parcours de plusieurs mètres, des ventilateurs les refroidissent puis ils tombent dans une turbine où ils se décollent par enchantement laissant quelques brisures dont certaines sont recyclées pour les infusions (bourgeons de sapin, eucalyptus, coquelicots…). Ces brisures proviennent également de la récupération des plaques cassées de bonbons. Dans ce cas précis, pour faciliter leur dissolution dans l’eau chaude, elles sont broyées entre deux moules en granit avant d’être conditionnées en sachet ou en dosette. Comme quoi, à la confiserie CDHV, rien ne se perd mais tout se crée !
De gauche à droite : Chaque mois, la confiserie propose à ses clients une recette à base de leurs gourmandises. ©Bertrand Munier; Sur place dans les Hautes-Vosges, sur les marchés nationaux ou par correspondance, les douceurs plainfinoises sont proposées par un personnel bienveillant et compétent. ©Bertrand Munier
Un packaging moderne et promouvoir les Vosges
Forte de sa réussite, la confiserie innove sans cesse. Quotidiennement, elle remet l’ouvrage sur le métier.
Fabienne Picard s’en explique : « Rien n’est jamais acquis. Nous sommes à l’écoute permanente de nos clients. Ils sont à la base de notre succès et la vente directe à des avantages considérables. Ils nous posent d’innombrables questions sur notre entreprise mais aussi sur les conditionnements de nos bonbons. Par exemple, certains d’entre eux étaient vendus dans des boîtes en carton. Pour les mettre en exergue et promouvoir notre région, qui plus est, notre massif, nous avons opté pour des boîtes métalliques de poche. »
Le succès est garanti ! Cerise sur le gâteau, à chaque parfum, une thématique est proposée. La mirabelle est représentée dans un verger éponyme. Le bourgeon de sapin a son schlitteur et sa schlitte… l’incontournable traîneau en bois des bûcherons locaux. Le miel est dessiné avec une ruche… On découvre également sur le marché un coffret dégustation pour infusions avec bien sûr le Mug adéquat.
Forte de sa réussite, la confiserie innove sans cesse. Quotidiennement, elle remet l’ouvrage sur le métier.
Fabienne Picard s’en explique : « Rien n’est jamais acquis. Nous sommes à l’écoute permanente de nos clients. Ils sont à la base de notre succès et la vente directe à des avantages considérables. Ils nous posent d’innombrables questions sur notre entreprise mais aussi sur les conditionnements de nos bonbons. Par exemple, certains d’entre eux étaient vendus dans des boîtes en carton. Pour les mettre en exergue et promouvoir notre région, qui plus est, notre massif, nous avons opté pour des boîtes métalliques de poche. »
Le succès est garanti ! Cerise sur le gâteau, à chaque parfum, une thématique est proposée. La mirabelle est représentée dans un verger éponyme. Le bourgeon de sapin a son schlitteur et sa schlitte… l’incontournable traîneau en bois des bûcherons locaux. Le miel est dessiné avec une ruche… On découvre également sur le marché un coffret dégustation pour infusions avec bien sûr le Mug adéquat.
Fabienne Claudepierre-Picard est la directrice générale de la confiserie des Hautes-Vosges à la suite de son père Jean-Marie. ©Bertrand Munier
Une famille unie et une distinction méritée
En 2010, Fabienne (fille de Jean-Marie), Nathalie (fille de Bernard) et Pascal (fils de Marie-Jeanne) rejoignent l’équipe dirigeante de la société. Puis, quand l’heure de la retraite sonne pour la sœur et les deux frères, la direction générale de la société est confiée à Fabienne.
De son côté, Nathalie coiffe la direction des ressources humaines. Quant à Pascal (artisan confiseur), il devient directeur de la production. Aussi, au regard de ce maillon familial et de la réussite constance de cette entreprise, est-il concevable que depuis 2018, la Légion d’honneur orne la boutonnière de Jean-Marie Claudepierre. Ce confiseur et communicant hors-pair, la reçoit des mains du préfet des Vosges Pierre Ory, entouré au premier chef de son épouse, ses enfants, petits-enfants, de sa famille, de ses collaborateurs et de toutes celles et tous ceux qui comptent dans son existence.
La confiserie CDHV, qui dispose de toutes les commodités pour recevoir, n’a pas fini de grandir et de surprendre avec ses dizaines de douceurs craquantes. Celles-ci vous attentent ici et là, sur les marchés régionaux, les marchés de Noël mais également sur les manifestions d’envergures nationales comme le Salon de l’Agriculture à Paris, la Foire de Paris, la Foire Internationale de Nancy… et bien sûr directement à Plainfaing ou encore par correspondance.
Bertrand Munier En 2010, Fabienne (fille de Jean-Marie), Nathalie (fille de Bernard) et Pascal (fils de Marie-Jeanne) rejoignent l’équipe dirigeante de la société. Puis, quand l’heure de la retraite sonne pour la sœur et les deux frères, la direction générale de la société est confiée à Fabienne.
De son côté, Nathalie coiffe la direction des ressources humaines. Quant à Pascal (artisan confiseur), il devient directeur de la production. Aussi, au regard de ce maillon familial et de la réussite constance de cette entreprise, est-il concevable que depuis 2018, la Légion d’honneur orne la boutonnière de Jean-Marie Claudepierre. Ce confiseur et communicant hors-pair, la reçoit des mains du préfet des Vosges Pierre Ory, entouré au premier chef de son épouse, ses enfants, petits-enfants, de sa famille, de ses collaborateurs et de toutes celles et tous ceux qui comptent dans son existence.
La confiserie CDHV, qui dispose de toutes les commodités pour recevoir, n’a pas fini de grandir et de surprendre avec ses dizaines de douceurs craquantes. Celles-ci vous attentent ici et là, sur les marchés régionaux, les marchés de Noël mais également sur les manifestions d’envergures nationales comme le Salon de l’Agriculture à Paris, la Foire de Paris, la Foire Internationale de Nancy… et bien sûr directement à Plainfaing ou encore par correspondance.
De gauche à droite :La confiserie CDHV est une fenêtre gourmande colorée et sucrée sur les Hautes-Vosges. ©Bertrand Munier ; L’antre des bonbons se conjugue avec la Confiserie des Hautes-Vosges. ©Bertrand Munier
Plus d’Infos
« Confiserie des Hautes-Vosges »
Habeaurupt
88230 Plainfaing
Tél : 03 29 50 44 56
Mél : contact@cdhv.fr
Site : https://www.cdhv.fr
Visites gratuites, commentées et guidées
tous les jours (sauf les dimanches et les jours fériés)
de 10H00 à 12H00 et de 14H00 à 18H00
Pour les visites individuelles, les réservations ne sont pas requises
Quant aux groupes, les réservations sont souhaitables
« Confiserie des Hautes-Vosges »
Habeaurupt
88230 Plainfaing
Tél : 03 29 50 44 56
Mél : contact@cdhv.fr
Site : https://www.cdhv.fr
Visites gratuites, commentées et guidées
tous les jours (sauf les dimanches et les jours fériés)
de 10H00 à 12H00 et de 14H00 à 18H00
Pour les visites individuelles, les réservations ne sont pas requises
Quant aux groupes, les réservations sont souhaitables