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Le 8 avril 1830, vers midi, un bateau effectue d’étranges manœuvres au large du rocher du Diamant en Martinique. Vers 5 heures de l’après-midi, le navire décide de jeter l’ancre dans les parages de l’Anse Caffard.
La bataille du rocher du Diamant eu lieu entre le 31 mai et le 2 juin 1805 après les tentatives infructueuses des Français de la Martinique d’en déloger les Anglais. Le vice-amiral français, Pierre de Villeneuve fut finalement autorisé à lancer un assaut sur le fier bâtiment, immobile et minéral, avec une flottille franco-espagnole. Les Britanniques, à court de munitions, négocièrent finalement la reddition après plusieurs jours de bombardements @Bataille rocher diamant William Anderson
François Dizac, l’intendant de l’Habitation de la plage du Diamant se rend compte du danger couru par le navire, mais une houle très forte l’empêche de mettre une pirogue à la mer pour prévenir le capitaine du péril imminent d’être jeté sur la côte.
Il doit se borner à faire des signaux que le capitaine ne peut distinguer. A 23 heures, des cris et des craquements sinistres déchirent la nuit. Dizac et un groupe d’esclaves de l’Habitation, se rendent immédiatement sur les lieux pour découvrir une vision d’horreur. Ils aperçoivent le bateau disloqué sur les rochers, avec ses passagers, pris dans la terrible furie de la mer déchainée.
Les sauveteurs distinguent alors le mât de misaine, surchargés d’individus affolés se briser et entraîner définitivement dans l’écume et les rochers un grand nombre de personnes. Le bateau dont le nom et la nationalité ne sont pas établis en l’état actuel des recherches historiques fut entièrement anéanti. Le lendemain, le 9 avril, à l’aube, 46 cadavres furent repêchés. Les corps des marins-négriers furent inhumés au cimetière du Diamant et les noyés africains à quelque distance du rivage.
Quatre-vingt-six captifs, vingt-six hommes et soixante femmes furent donc sauvés et recueillis par Dizac et les esclaves de son atelier, avant d’être transférés à Fort-de-France. Les rescapés étaient tous d’origine africaine. Six blessés, dont l’état ne permettait pas le transport furent laissés provisoirement sur l’habitation d’un homme de couleur libre, aveugle nommé Borromé, dont on retrouve la descendance à l’Anse Cafard.
Il doit se borner à faire des signaux que le capitaine ne peut distinguer. A 23 heures, des cris et des craquements sinistres déchirent la nuit. Dizac et un groupe d’esclaves de l’Habitation, se rendent immédiatement sur les lieux pour découvrir une vision d’horreur. Ils aperçoivent le bateau disloqué sur les rochers, avec ses passagers, pris dans la terrible furie de la mer déchainée.
Les sauveteurs distinguent alors le mât de misaine, surchargés d’individus affolés se briser et entraîner définitivement dans l’écume et les rochers un grand nombre de personnes. Le bateau dont le nom et la nationalité ne sont pas établis en l’état actuel des recherches historiques fut entièrement anéanti. Le lendemain, le 9 avril, à l’aube, 46 cadavres furent repêchés. Les corps des marins-négriers furent inhumés au cimetière du Diamant et les noyés africains à quelque distance du rivage.
Quatre-vingt-six captifs, vingt-six hommes et soixante femmes furent donc sauvés et recueillis par Dizac et les esclaves de son atelier, avant d’être transférés à Fort-de-France. Les rescapés étaient tous d’origine africaine. Six blessés, dont l’état ne permettait pas le transport furent laissés provisoirement sur l’habitation d’un homme de couleur libre, aveugle nommé Borromé, dont on retrouve la descendance à l’Anse Cafard.
Les quinze statues de Laurent Valère ont été construites en béton armé et blanchies au sable de Trinité-et-Tobago. Crédit photo David Raynal
Laurent Valère est aussi l’auteur de l’imposante sculpture sous-marine immergée intitulée « Manmandlo » dans la baie de Saint-Pierre. Crédit photo David Raynal et D.R.
Mémoire des victimes
Le monument réalisé par Laurent Valère en hommage à cet épisode historique tragique est orienté au cap 110°, en direction du golfe de Guinée, d’où venait ce navire mystérieux.
Plus largement, il a été érigé en mémoire des victimes inconnues de la traite et en invitation à la fraternité entre les hommes. Avec ses 15 statues monumentales de 2,5 mètres de haut et de 4 tonnes chacune, la forme triangulaire de l’œuvre fait référence au commerce et au trafic d’êtres humains du même nom. « La couleur blanche est la couleur traditionnelle des sépultures dans la Caraïbe. Elle marque la dimension funéraire de ces lieux où les corps des Africains captifs reposent » souligne Laurent Valère. Tous les 22 mai (fête de l’abolition de l’esclavage à la Martinique) des manifestations populaires s’y déroulent. À la Toussaint, les Martiniquais illuminent le monument, en souvenir des disparus. Artiste plasticien autodidacte né en 1959 en Martinique, Laurent Valère est aussi l’auteur de l’imposante sculpture sous-marine immergée intitulée « Manmandlo » dans la baie de Saint-Pierre. Pour la petite histoire, Mamiwata, Simbi, Yémaya ou Manmandlo sont des divinités marines qui traditionnellement accompagnent la vie et le travail des pêcheurs et des marins de l’île.
Yémaya est aujourd’hui une sirène monumentale constituée de trois éléments séparés posés sur le sable à 9 m de profondeur non loin de Manmandlo. L'ensemble est en béton armé et mesure 12 m de long pour un poids total de 37 tonnes. Ces premières œuvres artistiques s’inscrivent dans le futur parc de sculptures sous-marines de la ville de Saint-Pierre. Elles sont une invitation au respect de la mer et un hommage à la femme.
Plus largement, il a été érigé en mémoire des victimes inconnues de la traite et en invitation à la fraternité entre les hommes. Avec ses 15 statues monumentales de 2,5 mètres de haut et de 4 tonnes chacune, la forme triangulaire de l’œuvre fait référence au commerce et au trafic d’êtres humains du même nom. « La couleur blanche est la couleur traditionnelle des sépultures dans la Caraïbe. Elle marque la dimension funéraire de ces lieux où les corps des Africains captifs reposent » souligne Laurent Valère. Tous les 22 mai (fête de l’abolition de l’esclavage à la Martinique) des manifestations populaires s’y déroulent. À la Toussaint, les Martiniquais illuminent le monument, en souvenir des disparus. Artiste plasticien autodidacte né en 1959 en Martinique, Laurent Valère est aussi l’auteur de l’imposante sculpture sous-marine immergée intitulée « Manmandlo » dans la baie de Saint-Pierre. Pour la petite histoire, Mamiwata, Simbi, Yémaya ou Manmandlo sont des divinités marines qui traditionnellement accompagnent la vie et le travail des pêcheurs et des marins de l’île.
Yémaya est aujourd’hui une sirène monumentale constituée de trois éléments séparés posés sur le sable à 9 m de profondeur non loin de Manmandlo. L'ensemble est en béton armé et mesure 12 m de long pour un poids total de 37 tonnes. Ces premières œuvres artistiques s’inscrivent dans le futur parc de sculptures sous-marines de la ville de Saint-Pierre. Elles sont une invitation au respect de la mer et un hommage à la femme.
Le rocher du Diamant est une petite île inhabitée située dans la mer des Caraïbes au sud-ouest de la Martinique, à deux kilomètres environ de la pointe du Diamant, dans le canal de Sainte-Lucie. Crédit photo David Raynal.
John Eckstein, la vie de la garnison britannique sur le rocher du Diamant.
Le Diamant, un rocher très convoité
Petite île inhabitée située dans la mer des Caraïbes au sud-ouest de la Martinique, le rocher du Diamant est un ilôt basaltique de 175 mètres haut, qui doit son nom à sa forme générale, en pointe et biseautée, ainsi qu'aux reflets de ses parois à certaines heures du jour, évoquant ceux de la pierre précieuse.
Couvert de buissons et de cactées, difficilement accessible, le rocher a pourtant joué un grand rôle durant les guerres napoléoniennes. Le Diamant occupait en effet une position stratégique au nord du canal de Sainte-Lucie. Il permettait de contrôler la navigation entre la Martinique et sa voisine méridionale, l'île de Sainte-Lucie occupée alors par les Britanniques après avoir été à plusieurs reprises française.
En janvier 1804, profitant de l'effet de surprise et aidé par des conditions météorologiques favorables, le contre-amiral Samuel Hood s'empara de ce gros caillou planté dans la mer. Il s'empressa de le fortifier, installant cinq canons à son sommet. Une garnison de plusieurs dizaines d'hommes fut laissée sur place pour harceler la marine française. Les grottes servaient alors de dortoirs aux hommes, les officiers bénéficiant, quant à eux, de tentes.
Petite île inhabitée située dans la mer des Caraïbes au sud-ouest de la Martinique, le rocher du Diamant est un ilôt basaltique de 175 mètres haut, qui doit son nom à sa forme générale, en pointe et biseautée, ainsi qu'aux reflets de ses parois à certaines heures du jour, évoquant ceux de la pierre précieuse.
Couvert de buissons et de cactées, difficilement accessible, le rocher a pourtant joué un grand rôle durant les guerres napoléoniennes. Le Diamant occupait en effet une position stratégique au nord du canal de Sainte-Lucie. Il permettait de contrôler la navigation entre la Martinique et sa voisine méridionale, l'île de Sainte-Lucie occupée alors par les Britanniques après avoir été à plusieurs reprises française.
En janvier 1804, profitant de l'effet de surprise et aidé par des conditions météorologiques favorables, le contre-amiral Samuel Hood s'empara de ce gros caillou planté dans la mer. Il s'empressa de le fortifier, installant cinq canons à son sommet. Une garnison de plusieurs dizaines d'hommes fut laissée sur place pour harceler la marine française. Les grottes servaient alors de dortoirs aux hommes, les officiers bénéficiant, quant à eux, de tentes.
John Eckstein ravitaillement sur le rocher du Diamant.
Guerres napoléoniennes
Pour faire face à un ravitaillement incertain acheminé à l'aide de paniers hissés jusqu'au sommet grâce à des poulies et des cordes, un petit élevage de chèvres, de pintades et de poules se développa sur les maigres herbages.
Position inexpugnable, le rocher se vit conférer par la marine britannique le titre honorifique de « navire de guerre » et devint le HMS Diamond Rock (rocher du Diamant), le préfixe HMS étant l’abréviation de His (ou Her) Majesty's Ship (navire de sa Majesté). La bataille du rocher du Diamant eu lieu entre le 31 mai et le 2 juin 1805 après les tentatives infructueuses des Français de la Martinique d’en déloger les Anglais. Le vice-amiral français, Pierre de Villeneuve fut finalement autorisé à lancer un assaut sur le fier bâtiment, immobile et minéral, avec une flottille franco-espagnole.
Les Britanniques, à court de munitions, négocièrent finalement la reddition après plusieurs jours de bombardement. Le rocher du Diamant étant considéré comme un navire de la Royal Navy, le responsable de la garnison fut donc jugé par une cour martiale. La loi l’exigeait, comme dans tous les cas où un capitaine perdait son navire, quelle qu’en soit la cause, mais il fut finalement honorablement acquitté. Epilogue de l’histoire, le rocher est encore actuellement salué avec les honneurs militaires, par la marine de guerre britannique...
Position inexpugnable, le rocher se vit conférer par la marine britannique le titre honorifique de « navire de guerre » et devint le HMS Diamond Rock (rocher du Diamant), le préfixe HMS étant l’abréviation de His (ou Her) Majesty's Ship (navire de sa Majesté). La bataille du rocher du Diamant eu lieu entre le 31 mai et le 2 juin 1805 après les tentatives infructueuses des Français de la Martinique d’en déloger les Anglais. Le vice-amiral français, Pierre de Villeneuve fut finalement autorisé à lancer un assaut sur le fier bâtiment, immobile et minéral, avec une flottille franco-espagnole.
Les Britanniques, à court de munitions, négocièrent finalement la reddition après plusieurs jours de bombardement. Le rocher du Diamant étant considéré comme un navire de la Royal Navy, le responsable de la garnison fut donc jugé par une cour martiale. La loi l’exigeait, comme dans tous les cas où un capitaine perdait son navire, quelle qu’en soit la cause, mais il fut finalement honorablement acquitté. Epilogue de l’histoire, le rocher est encore actuellement salué avec les honneurs militaires, par la marine de guerre britannique...
La maison du bagnard se présente comme une adorable petite case aux couleurs vives et chatoyantes face à l’immensité de l’Atlantique. Crédit photo David Raynal.
Jean-Philippe Giscon « alias Rayon », habitant de la rue Duville dans le centre de la commune du Diamant réalise des créations originales en coco, coquillages ou conques de lambis. L’une de ses œuvres reproduit en modèle réduit, la Maison du Bagnard, conçue par Médard Aribot du côté de l’anse Caffard. Crédit photo David Raynal et D.R.
La maison du bagnard
Un peu plus loin sur la route en direction du panorama qui offre une vision à 180° sur le scintillant rocher du Diamant, la maison du bagnard se présente comme une adorable petite case aux couleurs vives et chatoyantes face à l’immensité de l’Atlantique.
Edifiée dans les années 60, cette célèbre maison se caractérise par sa petite taille hors-normes et son architecture particulière. Au pied du morne Larcher, avec pour toile de fond la mer des Caraïbes et le rocher du Diamant, elle arbore fièrement ses façades chatoyantes. En observant de près cette minuscule et curieuse construction, il est difficile d’imaginer que son concepteur l’ait habitée pendant plusieurs années. Cette maisonnette aux allures de maison de poupée ou de cabane de jardin est due au génie inventif de Médart Aribot, fils d’une Martiniquaise et d’un Congolais. Né en 1901, il était doté d’un tempérament discret, voire taciturne, mais avait un véritable don pour les activités artistiques, en particulier la sculpture. L’histoire locale raconte qu’il aurait été envoyé au bagne pour avoir sculpté l’effigie du colonel de Coppens, propriétaire de la distillerie de Dizac et candidat aux élections municipales de 1925. Le buste fut brandi par la foule au cours d'une émeute électorale pendant laquelle dix personnes furent tuées, dont le colonel de Coppens.
Edifiée dans les années 60, cette célèbre maison se caractérise par sa petite taille hors-normes et son architecture particulière. Au pied du morne Larcher, avec pour toile de fond la mer des Caraïbes et le rocher du Diamant, elle arbore fièrement ses façades chatoyantes. En observant de près cette minuscule et curieuse construction, il est difficile d’imaginer que son concepteur l’ait habitée pendant plusieurs années. Cette maisonnette aux allures de maison de poupée ou de cabane de jardin est due au génie inventif de Médart Aribot, fils d’une Martiniquaise et d’un Congolais. Né en 1901, il était doté d’un tempérament discret, voire taciturne, mais avait un véritable don pour les activités artistiques, en particulier la sculpture. L’histoire locale raconte qu’il aurait été envoyé au bagne pour avoir sculpté l’effigie du colonel de Coppens, propriétaire de la distillerie de Dizac et candidat aux élections municipales de 1925. Le buste fut brandi par la foule au cours d'une émeute électorale pendant laquelle dix personnes furent tuées, dont le colonel de Coppens.
Case créole typique sur la commune du Diamant. Crédit photo David Raynal.
Le front de mer. Créditi photo David Raynal.
Bagne à perpétuité
En 1933, soit huit ans plus tard, Médard fût donc condamné au bagne à perpétuité en raison de cette action restée dans les mémoires de la société coloniale et de plusieurs autres vols et rapines.
Cette condamnation extrêmement sévère entraina son envoi en Guyane où il fut incarcéré dans des conditions épouvantables. Il passa ainsi plusieurs années dans des cachots minuscules, d’où peut-être cette propension à construire des maisons exiguës ou de très petite taille. Après la fermeture du bagne en 1946, Médard s’installa près de Saint-Laurent-du-Maroni où il fabriqua et vendit des jouets et des statuettes. En 1953, il fût rapatrié à sa demande en Martinique où il reprit sa vie de sculpteur solitaire. En dehors de cette petite case, on compte parmi ses autres créations un paquebot coloré et un roi africain. Il est mort dans l’oubli en 1973. Menacée de disparition et récemment de détérioration, la maison du bagnard a fait l’objet de plusieurs projets de sauvegarde dont des travaux de rénovation et de consolidation, réalisés notamment grâce au concours des fonds européens.
Cette condamnation extrêmement sévère entraina son envoi en Guyane où il fut incarcéré dans des conditions épouvantables. Il passa ainsi plusieurs années dans des cachots minuscules, d’où peut-être cette propension à construire des maisons exiguës ou de très petite taille. Après la fermeture du bagne en 1946, Médard s’installa près de Saint-Laurent-du-Maroni où il fabriqua et vendit des jouets et des statuettes. En 1953, il fût rapatrié à sa demande en Martinique où il reprit sa vie de sculpteur solitaire. En dehors de cette petite case, on compte parmi ses autres créations un paquebot coloré et un roi africain. Il est mort dans l’oubli en 1973. Menacée de disparition et récemment de détérioration, la maison du bagnard a fait l’objet de plusieurs projets de sauvegarde dont des travaux de rénovation et de consolidation, réalisés notamment grâce au concours des fonds européens.
La plage et les canons. Crédit photo David Raynal.
Les statues de Laurent Valère figurent la foule des victimes anonymes de la traite. Crédit photo David Raynal.
Pour en savoir plus sur l’artiste Laurent Valère :
contact@laurentvalereartstudio.com
https://www.laurentvalereartstudio.com
contact@laurentvalereartstudio.com
https://www.laurentvalereartstudio.com
La nouvelle résidence 4 étoiles Diamant Les Bains fait peau neuve. Crédit photo David Raynal.
L’établissement propose en terrasse abritée, entièrement ouverte sur l’extérieur, un restaurant » l’Assiette Créole », qui occupe une place centrale au Diamant Les Bains. Crédit photo D.R.
Aller en Martinique ?
Au départ de Paris-Orly, Air France, arrivée à l’aéroport international Aimé Césaire au Lamentin près de Fort de France.
https://www.airfrance.fr
Où dormir ?
Diamant les Bains, une résidence hôtelière 4 étoiles
Véritable havre de paix entre mer des caraïbes et jardin luxuriant, le célèbre hôtel Diamant les Bains construit en 1945, a vu passer dans ses murs de nombreux écrivains caribéens et internationaux, tel que Aimée Césaire, Edouard Glissant, Patrick Chamoiseau ou encore Milan Kundera…Entièrement rénové en 2018, l’établissement s’est transformé en un hôtel de luxe 4 étoiles, qui propose à proximité immédiate de sa piscine, une cuisine créole « bistronomique » raffinée conçue à partir de produits frais issus des circuits courts.
Côté infrastructure, l’hôtel climatisé se compose de 33 studios très spacieux ainsi que de 5 suites indépendantes dans des bungalows pour un repos total. Toutes les chambres disposent d’une kitchenette et d’une vue imprenable sur la mer. Les suites sont entièrement équipées et ont une terrasse privative de plus de 9m2. Tous les hébergements possèdent une télé, un réfrigérateur ainsi que d’un accès wifi gratuit. Idéalement située au cœur du village, à proximité de toutes les commodités et en bordure de la plus longue plage de la Martinique avec le rocher du Diamant en toile de fond, la résidence hôtelière de Diamant les Bains ne se trouve qu’à 25 km de l’aéroport international Aimé Césaire du Lamentin et à 30 km de Fort de France.
92 Rue Justin Roc -
Le Diamant – 97223 - Martinique
Tél: +596 596 76 40 14 http://www.diamantlesbains.fr
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Côté infrastructure, l’hôtel climatisé se compose de 33 studios très spacieux ainsi que de 5 suites indépendantes dans des bungalows pour un repos total. Toutes les chambres disposent d’une kitchenette et d’une vue imprenable sur la mer. Les suites sont entièrement équipées et ont une terrasse privative de plus de 9m2. Tous les hébergements possèdent une télé, un réfrigérateur ainsi que d’un accès wifi gratuit. Idéalement située au cœur du village, à proximité de toutes les commodités et en bordure de la plus longue plage de la Martinique avec le rocher du Diamant en toile de fond, la résidence hôtelière de Diamant les Bains ne se trouve qu’à 25 km de l’aéroport international Aimé Césaire du Lamentin et à 30 km de Fort de France.
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Le Diamant – 97223 - Martinique
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Le Sunset, ambiance assurée par Jean-Yo. Crédit photo David Raynal.
Le Sunset réinvente le concept du « chic roots » à Fort de France . Crédit photo David Raynal.
Où passer une bonne soirée ?
Le Sunset, « the place to drink » à Fort de France
Tél : +596 696 54 05 30
www.facebook.com/sunsetmartinique/
Le Sunset, « the place to drink » à Fort de France
Sous l’égide de son directeur, le sémillant Jean-Yoan Jeannette, (Jean-Yo pour les intimes), le Sunset est un lieu emblématique de Fort de France ouvert du mardi au dimanche, où sont passés pour faire leurs « sets » des artistes aussi prestigieux que Dédé Saint-Prix pour la Martinique, Joey Starr, David Vendetta, Maitre Gims ou encore les lauréats de The Voice.
Dans un univers chic et unique en bord de mer les pieds dans le sable, il est possible de déjeuner, dîner ou encore se détendre en dégustant un délicieux cocktail dans une ambiance lounge and more...
Pointe de la Vierge - 60 Rue Du Petit Pavois- Fort-de-France- 97200- Martinique Dans un univers chic et unique en bord de mer les pieds dans le sable, il est possible de déjeuner, dîner ou encore se détendre en dégustant un délicieux cocktail dans une ambiance lounge and more...
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