Livres à offrir pour les fêtes - "Nos journalistes ont du talent " @ Lindigomag/Pixabay
Plantagenêts du comte d’Anjou au royaume d’Angleterre
Françoise Surcouf
Editions Ouest-France
15,90 €
Comment durant des siècles quelques familles, parfois alliées, le plus souvent rivales, se sont-elles affrontées, confrontées, unies pour faire et défaire la carte de l’Europe ? Au premier rang d’entre elles, les Plantagenêts.
Depuis le berceau angevin de Foulque Nerra jusqu’à la fin de la guerre des Deux Roses, ils ont pendant près de cinq cents ans dominé l’Anjou, l’Angleterre, l’Aquitaine et une bonne partie de la France. Les grandes figures d’Henri II, d’Edouard Ier, d’Edouard III ou d’Henri V sont bien sûr celles que l’Histoire a le plus retenues mais qu’en est-il du triste Richard II, d’Henry VI qui hérita de la folie de son grand-père Charles de France ou de Richard III, le roi destitué dont Shakespeare et Henry Tudor, l’usurpateur, ont diffamé la mémoire. Farouches et avides, raffinés et barbares, les Plantagenêts ont marqué la naissance et les premières heures de ce qui sera bientôt l’Empire britannique. Le premier ouvrage de synthèse grand public et très illustré sur les Plantagenêts, une dynastie qui régna à la fois sur l'Angleterre et la moitié de la France actuelle.
Françoise Surcouf
Editions Ouest-France
15,90 €
Comment durant des siècles quelques familles, parfois alliées, le plus souvent rivales, se sont-elles affrontées, confrontées, unies pour faire et défaire la carte de l’Europe ? Au premier rang d’entre elles, les Plantagenêts.
Depuis le berceau angevin de Foulque Nerra jusqu’à la fin de la guerre des Deux Roses, ils ont pendant près de cinq cents ans dominé l’Anjou, l’Angleterre, l’Aquitaine et une bonne partie de la France. Les grandes figures d’Henri II, d’Edouard Ier, d’Edouard III ou d’Henri V sont bien sûr celles que l’Histoire a le plus retenues mais qu’en est-il du triste Richard II, d’Henry VI qui hérita de la folie de son grand-père Charles de France ou de Richard III, le roi destitué dont Shakespeare et Henry Tudor, l’usurpateur, ont diffamé la mémoire. Farouches et avides, raffinés et barbares, les Plantagenêts ont marqué la naissance et les premières heures de ce qui sera bientôt l’Empire britannique. Le premier ouvrage de synthèse grand public et très illustré sur les Plantagenêts, une dynastie qui régna à la fois sur l'Angleterre et la moitié de la France actuelle.
Guide secret des châteaux forts
André Degon
Editions Ouest-France
14 €
Au début du Moyen Âge, une multitude de fiefs couvre le pays et une noblesse commence à émerger et à se hiérarchiser.
Le château fort, habitation du seigneur, devient alors le lieu de protection de la population, la forme et la taille variant en fonction du titre nobiliaire. D'abord château à motte au Xe siècle, avec en son centre le donjon, le château fort avec ses lieux secrets, ses oubliettes et ses trésors cachés dans ses souterrains, évolue en fonction de la modification de l'armement. Les milliers de châteaux forts qui survivent dans nos provinces sont là pour en témoigner avec leur cortège de personnages légendaires voire obscurs, Barbe-Bleue à Tiffauges (Vendée), Robert-le-Diable près de Rouen... . Ils ont nourri des légendes, abrité des tragédies, vécu des complots, protégé des secrets. Et nombreuses sont les histoires de dames blanches, de revenants qui viennent hanter ces châteaux qui ont tous participé à leur manière à l'histoire de la France. C'est en cela qu'aller à leur découverte, c'est faire un passionnant voyage dans notre passé. Un guide secret pour en apprendre encore plus sur les mille et un châteaux forts qui font la richesse de notre pays.
André Degon
Editions Ouest-France
14 €
Au début du Moyen Âge, une multitude de fiefs couvre le pays et une noblesse commence à émerger et à se hiérarchiser.
Le château fort, habitation du seigneur, devient alors le lieu de protection de la population, la forme et la taille variant en fonction du titre nobiliaire. D'abord château à motte au Xe siècle, avec en son centre le donjon, le château fort avec ses lieux secrets, ses oubliettes et ses trésors cachés dans ses souterrains, évolue en fonction de la modification de l'armement. Les milliers de châteaux forts qui survivent dans nos provinces sont là pour en témoigner avec leur cortège de personnages légendaires voire obscurs, Barbe-Bleue à Tiffauges (Vendée), Robert-le-Diable près de Rouen... . Ils ont nourri des légendes, abrité des tragédies, vécu des complots, protégé des secrets. Et nombreuses sont les histoires de dames blanches, de revenants qui viennent hanter ces châteaux qui ont tous participé à leur manière à l'histoire de la France. C'est en cela qu'aller à leur découverte, c'est faire un passionnant voyage dans notre passé. Un guide secret pour en apprendre encore plus sur les mille et un châteaux forts qui font la richesse de notre pays.
Excelsior l’Esprit Brasserie à Nancy
Bertrand Munier
Edition du Signe
35 €
À mi-chemin entre la gare et la célèbre place Stanislas, la brasserie nancéienne Excelsior (désignée couramment par apocope « Excel ») est un site unique de par la gastronomie lorraine proposée mais aussi par son architecture exceptionnelle de style Art nouveau.
Un établissement marqué par la patte d’illustres artistes issus de l’École de Nancy, Daum, Grüber, Majorelle, Weissenburger… puis par un agencement de mélanges de styles Art déco et Mouvement moderne diligentés par Jean Prouvé. Considéré comme l’une des plus belles brasseries de France, porté sur les fonts baptismaux le 26 février 1911, cet établissement est devenu une véritable institution. Ses grandes pièces tout en courbes, ses lustres et ses miroirs nous font voyager de la Belle Époque aux Années Folles. En définitive, franchir le seuil de l’Excelsior, c’est pénétrer dans une brasserie millésime 1900 atemporelle où la cuisine du chef transporte les clients dans un univers d’effluves enivrants. En salle, un personnel tout aussi convivial qu’efficace est à l’œuvre, dans l’exquise tradition des lieux, classés Monument historique. Surprenante et fascinante, la brasserie Excelsior se livre grâce à Bertrand Munier et avec une préface signée par Christelle Williatte.
Lire sur l’Indigo-mag : https://www.lindigo-mag.com/La-brasserie-Excelsior-a-Nancy-pour-le-plaisir-des-yeux-et-du-palais-_a732.html
Bertrand Munier
Edition du Signe
35 €
À mi-chemin entre la gare et la célèbre place Stanislas, la brasserie nancéienne Excelsior (désignée couramment par apocope « Excel ») est un site unique de par la gastronomie lorraine proposée mais aussi par son architecture exceptionnelle de style Art nouveau.
Un établissement marqué par la patte d’illustres artistes issus de l’École de Nancy, Daum, Grüber, Majorelle, Weissenburger… puis par un agencement de mélanges de styles Art déco et Mouvement moderne diligentés par Jean Prouvé. Considéré comme l’une des plus belles brasseries de France, porté sur les fonts baptismaux le 26 février 1911, cet établissement est devenu une véritable institution. Ses grandes pièces tout en courbes, ses lustres et ses miroirs nous font voyager de la Belle Époque aux Années Folles. En définitive, franchir le seuil de l’Excelsior, c’est pénétrer dans une brasserie millésime 1900 atemporelle où la cuisine du chef transporte les clients dans un univers d’effluves enivrants. En salle, un personnel tout aussi convivial qu’efficace est à l’œuvre, dans l’exquise tradition des lieux, classés Monument historique. Surprenante et fascinante, la brasserie Excelsior se livre grâce à Bertrand Munier et avec une préface signée par Christelle Williatte.
Lire sur l’Indigo-mag : https://www.lindigo-mag.com/La-brasserie-Excelsior-a-Nancy-pour-le-plaisir-des-yeux-et-du-palais-_a732.html
Trop forts les Corses
David Raynal ~ Batti Manfruelli
Editions Ouest-France
14,90 €
Une vingtaine de personnalités de tous horizons (Marie-Claude Pietragalla, Marie Ferranti, Jean-Marie Colombani, Pascal Olmeta, Laurent Lantiéri) témoignent, souvent avec humour, de leur attachement à leur île natale sous la plume de l’auteur David Raynal et les traits de crayons acérés du dessinateur de presse insulaire Battì Manfurelli.
Le saviez-vous ? A l’adolescence, Edmond Simeoni, l’un des pères du nationalisme corse qui vient de nous quitter, voulait devenir footballeur professionnel. Charles Bonaparte, le descendant direct de Napoléon a été élu à Ajaccio sur une liste de gauche. Avant de devenir réalisateur, Pierre Salvadori a joué la comédie et commencé par écrire des sketches. Repéré sur Internet, Battista Acquaviva a dans un premier temps, refusé de participer à l’émission The Voice. Le vrai prénom de Robin Renucci est Daniel. A 18 ans, il a décidé d’accoler le patronyme de son papa bourguignon à celui de sa maman corse. Enfant, André Santini se promenait avant le lever du jour avec sa grand-mère dans les vergers sur un âne. Pierre-Noël Luiggi, le patron d’Oscaro a trouvé le nom de sa société en lisant les lettres d’amour de l’Empereur à Joséphine. Patrizia Poli et Patrizia Gattaceca ont chanté et fait connaître la polyphonie au monde entier lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques d’Albertville. Trop Forts les Corses, quand ils se livrent sans filtre et à la première personne, ils déplacent les montagnes et tordent le cou aux idées reçues.
David Raynal ~ Batti Manfruelli
Editions Ouest-France
14,90 €
Une vingtaine de personnalités de tous horizons (Marie-Claude Pietragalla, Marie Ferranti, Jean-Marie Colombani, Pascal Olmeta, Laurent Lantiéri) témoignent, souvent avec humour, de leur attachement à leur île natale sous la plume de l’auteur David Raynal et les traits de crayons acérés du dessinateur de presse insulaire Battì Manfurelli.
Le saviez-vous ? A l’adolescence, Edmond Simeoni, l’un des pères du nationalisme corse qui vient de nous quitter, voulait devenir footballeur professionnel. Charles Bonaparte, le descendant direct de Napoléon a été élu à Ajaccio sur une liste de gauche. Avant de devenir réalisateur, Pierre Salvadori a joué la comédie et commencé par écrire des sketches. Repéré sur Internet, Battista Acquaviva a dans un premier temps, refusé de participer à l’émission The Voice. Le vrai prénom de Robin Renucci est Daniel. A 18 ans, il a décidé d’accoler le patronyme de son papa bourguignon à celui de sa maman corse. Enfant, André Santini se promenait avant le lever du jour avec sa grand-mère dans les vergers sur un âne. Pierre-Noël Luiggi, le patron d’Oscaro a trouvé le nom de sa société en lisant les lettres d’amour de l’Empereur à Joséphine. Patrizia Poli et Patrizia Gattaceca ont chanté et fait connaître la polyphonie au monde entier lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques d’Albertville. Trop Forts les Corses, quand ils se livrent sans filtre et à la première personne, ils déplacent les montagnes et tordent le cou aux idées reçues.