une flotte uniquement composée d’Airbus A 320-200 atteint déjà les 60 avions (Crédit photo DR).
Wizz Air qui possède une flotte uniquement composée d’Airbus A 320-200 atteint déjà les 60 avions.
Signe de bonne santé et de confiance en l’avenir, son carnet de commandes affiche presque autant de biréacteurs de la famille A 320 restant à être livrés. Et Wizz Air en a besoin, car il en faut des aéronefs pour desservir les 380 routes aériennes que totalise la compagnie.
Signe de bonne santé et de confiance en l’avenir, son carnet de commandes affiche presque autant de biréacteurs de la famille A 320 restant à être livrés. Et Wizz Air en a besoin, car il en faut des aéronefs pour desservir les 380 routes aériennes que totalise la compagnie.
Une compagnie en livrée flashy
Wizz Air, la compagnie facilement identifiable par ses couleurs rose fuschia, pourpre et blanc. (Crédit photos DR)
Créée en 2003, avec un premier vol qui décolle en 2004, Wizz Air vient de célébrer le début de sa deuxième décennie, en démarrant une cure de jouvence, notamment sur ses livrées d’avion flashy qu’on n’oublie pas.
Wizz Air, la compagnie facilement identifiable par ses couleurs rose fuschia, pourpre et blanc s’est fait pour spécialité d'occuper l’espace laissé vacant par quelques compagnies aujourd’hui disparues*, et d'opérer depuis les aéroports souvent secondaires de l’Est vers les autres aéroports secondaires de l’Ouest.
Sa double mission est de rendre le transport aérien accessible et de transporter toutes les catégories socio professionnelles. Clientèle d’affaires, touristes, vacanciers, ouvriers détachés (une activité qui représente un réel marché de niche) et aussi les groupes venus de l’Europe des Balkans, des Carpates, ou encore de Silésie, vers l’Ouest européen et vice versa.Une clientèle de l’ex-Europe de l’Est qui économise sur son trajet aérien, pour mieux profiter d'un séjour parisien ou londonien, et pouvoir ‘s’éclater’ sur place.
Wizz Air, la compagnie facilement identifiable par ses couleurs rose fuschia, pourpre et blanc s’est fait pour spécialité d'occuper l’espace laissé vacant par quelques compagnies aujourd’hui disparues*, et d'opérer depuis les aéroports souvent secondaires de l’Est vers les autres aéroports secondaires de l’Ouest.
Sa double mission est de rendre le transport aérien accessible et de transporter toutes les catégories socio professionnelles. Clientèle d’affaires, touristes, vacanciers, ouvriers détachés (une activité qui représente un réel marché de niche) et aussi les groupes venus de l’Europe des Balkans, des Carpates, ou encore de Silésie, vers l’Ouest européen et vice versa.Une clientèle de l’ex-Europe de l’Est qui économise sur son trajet aérien, pour mieux profiter d'un séjour parisien ou londonien, et pouvoir ‘s’éclater’ sur place.
Une politique tarifaire audacieuse et astucieuse
Du bagage de cabine volumineux (payant) au siège jambes longues, en passant par l’embarquement prioritaire, les options de services (toutes payantes) sont joliment présentées et font que le passager se sent presque comme chez Disney. (Crédit photos DR)
Et ça marche, avec une centaine de destinations desservies au compteur, et une politique tarifaire audacieuse et astucieuse grâce à toutes les options qui vont avec, lors de la réservation, Wizz Air fait tout pour faire remonter le prix moyen de chaque billet.
Rien de nouveau dans cette tactique bien connue chez toutes les autres low cost, mais chez Wizz Air, il y a l’art et la manière de le faire. Ainsi, en proposant de remonter le niveau de prestations des clients à bord, on remonte d’autant le prix du ticket moyen.
Du bagage de cabine volumineux (payant) au siège jambes longues, en passant par l’embarquement prioritaire, les options de services (toutes payantes) sont joliment présentées et font que le passager se sent presque comme chez Disney, sauf qu’ici on dirait « un Wizz Guest » ! Un « Wizz Guest » qui prendra ensuite sans aucun doute des boissons et des plats à la carte du ‘Wizz Café’, puis achètera des produits hors taxe dans le ‘Wizz Shop’ du ‘Wizz Magazine’, de quoi vous faire tourner ‘Wizz Addict’. Notez d’ailleurs que ces produits hors taxe sont proposés à des prix imbattables et payables dans quasiment toutes les monnaies des pays que dessert la Hongroise WizzAir.
Rien de nouveau dans cette tactique bien connue chez toutes les autres low cost, mais chez Wizz Air, il y a l’art et la manière de le faire. Ainsi, en proposant de remonter le niveau de prestations des clients à bord, on remonte d’autant le prix du ticket moyen.
Du bagage de cabine volumineux (payant) au siège jambes longues, en passant par l’embarquement prioritaire, les options de services (toutes payantes) sont joliment présentées et font que le passager se sent presque comme chez Disney, sauf qu’ici on dirait « un Wizz Guest » ! Un « Wizz Guest » qui prendra ensuite sans aucun doute des boissons et des plats à la carte du ‘Wizz Café’, puis achètera des produits hors taxe dans le ‘Wizz Shop’ du ‘Wizz Magazine’, de quoi vous faire tourner ‘Wizz Addict’. Notez d’ailleurs que ces produits hors taxe sont proposés à des prix imbattables et payables dans quasiment toutes les monnaies des pays que dessert la Hongroise WizzAir.
Wizz Air donne une image sympathique
les vols Wizz Air partent à l’heure et le coefficient de remplissage frôle les 95% avec un service souriant, souvent teinté d’humour et non sans charme. (Crédit photo DR)
Avant tout, la low cost made in Europe Centrale entend donner une image sympathique, dynamique et d’excellence.
Avec des avions neufs, tout en maintenant des prix très attractifs, elle permet à toute une nouvelle clientèle de prendre l’avion. C’est avec cet argument de prix, et très intelligemment, que Wizz Air choisit les nouvelles escales de son réseau. Des aéroports peu ou pas chers, en termes de taxes, et où la clientèle est enclavée dans une zone de chalandise pauvre en dessertes aériennes.
Reste que, si elle est efficace en termes de réseau et de dessertes, la 5ème low cost d’Europe n’est pas encore vraiment sous les feux des projecteurs du monde du transport aérien...Et c'est dommage.
Une chose est sûre, les vols Wizz Air partent à l’heure et le coefficient de remplissage frôle les 95% avec un service souriant, souvent teinté d’humour et non sans charme. C’est sans doute ça ce vent nouveau soufflant de l’Est.
Plus d'infos
https://wizzair.com/
Avec des avions neufs, tout en maintenant des prix très attractifs, elle permet à toute une nouvelle clientèle de prendre l’avion. C’est avec cet argument de prix, et très intelligemment, que Wizz Air choisit les nouvelles escales de son réseau. Des aéroports peu ou pas chers, en termes de taxes, et où la clientèle est enclavée dans une zone de chalandise pauvre en dessertes aériennes.
Reste que, si elle est efficace en termes de réseau et de dessertes, la 5ème low cost d’Europe n’est pas encore vraiment sous les feux des projecteurs du monde du transport aérien...Et c'est dommage.
Une chose est sûre, les vols Wizz Air partent à l’heure et le coefficient de remplissage frôle les 95% avec un service souriant, souvent teinté d’humour et non sans charme. C’est sans doute ça ce vent nouveau soufflant de l’Est.
Plus d'infos
https://wizzair.com/
* Les Compagnies aériennes disparues en Europe de l’Est :
Sky Europe de Slovaquie qui cesse toute activité en 2009,
CentralWings de Pologne qui cesse en 2009
Malev de Hongrie qui ferme en 2012
Carpatair de Roumanie qui n’est plus que l’ombre d’elle même, avec 3 avions et une seule route aérienne
CentralWings de Pologne qui cesse en 2009
Malev de Hongrie qui ferme en 2012
Carpatair de Roumanie qui n’est plus que l’ombre d’elle même, avec 3 avions et une seule route aérienne
Les élégantes hôtesses de l'air de la Cie aérienne Wizz Air (Crédit photo DR)