De beaux-livres pour les fêtes... @pixabay/lindigomag
Racontez l'art ! Art moderne
Des Fauves aux performeurs
Voici une histoire de l’art qui ne devrait pas effaroucher les néophytes car elle est aussi faite pour eux comme pour les jeunes qui veulent s’initier aux différents mouvements artistiques qui ont jalonné notre modernité.
Il ne s’agit donc pas ici d’articles complexes mais d’un guide très clair qui met en avant les points forts d’un artiste, d’un événement, d’une école avec références à la clé, anecdotes et illustrations. “Une façon d’entrer dans l’histoire de l’art par un petit bout de la lorgnette“. L’ensemble est présenté de façon chronologique pour être en accord avec les différentes étapes de ces mouvements qui font souvent référence à ceux qui les ont précédés et qui permettent de mieux comprendre aussi l’évolution de l’ensemble. Une frise chronologique situe les œuvres dans leur contexte historique et des listes de créations permettent de se construire une mémoire visuelle pour mieux s’y retrouver lors d’une visite d’expo ou de musée. Ce volume très judicieux fait suite au premier du même titre : Racontez l’Art de la Renaissance à l’art Nouveau.
Racontez l'art ! Art moderne
Des Fauves aux performeurs
Editions Adam Biro , Karine Douplitzky
Format : 147x236mm. Broché. 272 pages
Prix : 29,90 euros
Voici une histoire de l’art qui ne devrait pas effaroucher les néophytes car elle est aussi faite pour eux comme pour les jeunes qui veulent s’initier aux différents mouvements artistiques qui ont jalonné notre modernité.
Il ne s’agit donc pas ici d’articles complexes mais d’un guide très clair qui met en avant les points forts d’un artiste, d’un événement, d’une école avec références à la clé, anecdotes et illustrations. “Une façon d’entrer dans l’histoire de l’art par un petit bout de la lorgnette“. L’ensemble est présenté de façon chronologique pour être en accord avec les différentes étapes de ces mouvements qui font souvent référence à ceux qui les ont précédés et qui permettent de mieux comprendre aussi l’évolution de l’ensemble. Une frise chronologique situe les œuvres dans leur contexte historique et des listes de créations permettent de se construire une mémoire visuelle pour mieux s’y retrouver lors d’une visite d’expo ou de musée. Ce volume très judicieux fait suite au premier du même titre : Racontez l’Art de la Renaissance à l’art Nouveau.
Racontez l'art ! Art moderne
Des Fauves aux performeurs
Editions Adam Biro , Karine Douplitzky
Format : 147x236mm. Broché. 272 pages
Prix : 29,90 euros
Inde, Trésors du Patrimoine mondial
Synthèse des nombreuses cultures qui se sont épanouies dans ce sous-continent indien, certaines ancestrales, quarante sites sont aujourd’hui inscrits au Patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO avec dans le nombre six sites naturels et un site mixte.
Ce patrimoine de toute beauté remonte aux premières périodes de l’art rupestre et compte nombre de palais, de temples et de tombeaux millénaires qui reflètent la diversité des cultures et des religions dont ils sont l’expression. Hindouisme, bouddhisme, jaïnisme, islam, sikhisme, christianisme… avec des traditions qui se perpétuent encore aujourd’hui. D’où la fascination qu’exerce l’Inde auprès des voyageurs, un pays qui peut être scientifiquement à la pointe du progrès tout en restant très fortement ancré dans des traditions millénaires célébrées autour des monuments. L’intégralité de ces sites classés par l’UNESCO est pour la première fois réunie dans un livre avec une carte qui les situe à travers les différents états du pays. On y trouvera les monuments emblématiques déjà connus que sont Ajanta, Ellora, Khajuraho, Taj Mahal, Jaipur, Goa, Hampi, Elephanta, mais bien d’autres qui méritent de l’être dans les régions moins fréquentées : Sânchî, Mahabalipuram, Konarak…Sans compter les parcs et les espaces naturels remarquables. Les belles photographies sélectionnées par Rohit Chawla sont accompagnées des textes très documentés de Shikha Jain, vice-présidente de l’ICOFORT et ICOMOS et de Vinay Sheel Oberoi également grand photographe indien.
Ce patrimoine de toute beauté remonte aux premières périodes de l’art rupestre et compte nombre de palais, de temples et de tombeaux millénaires qui reflètent la diversité des cultures et des religions dont ils sont l’expression. Hindouisme, bouddhisme, jaïnisme, islam, sikhisme, christianisme… avec des traditions qui se perpétuent encore aujourd’hui. D’où la fascination qu’exerce l’Inde auprès des voyageurs, un pays qui peut être scientifiquement à la pointe du progrès tout en restant très fortement ancré dans des traditions millénaires célébrées autour des monuments. L’intégralité de ces sites classés par l’UNESCO est pour la première fois réunie dans un livre avec une carte qui les situe à travers les différents états du pays. On y trouvera les monuments emblématiques déjà connus que sont Ajanta, Ellora, Khajuraho, Taj Mahal, Jaipur, Goa, Hampi, Elephanta, mais bien d’autres qui méritent de l’être dans les régions moins fréquentées : Sânchî, Mahabalipuram, Konarak…Sans compter les parcs et les espaces naturels remarquables. Les belles photographies sélectionnées par Rohit Chawla sont accompagnées des textes très documentés de Shikha Jain, vice-présidente de l’ICOFORT et ICOMOS et de Vinay Sheel Oberoi également grand photographe indien.
Inde, Trésors du Patrimoine mondial
Editions La Martinière avec l’UNESCO
Ouvrage collectif sous la direction d’Eric Falt
Format 230 x 285 mm. 240 pages,
Prix : 39,90 euros
Gaston Chaissac par Henri-Claude Cousseau
Il se disait humblement “peintre rustique moderne“, ce que la simplicité apparente de son visage à nu semblait confirmer.
On le classerait volontiers dans la catégorie des peintres d’Art brut selon la définition qu’en a fait Jean Dubuffet, “autodidactes et marginaux dont les créations sont spontanées et exemptes de cultures artistique“. Pourtant, si les dessins, peintures, collages et objets divers de Gaston Chaissac font dans un premier temps penser à des œuvres d’enfant dans leur créativité première, l’extrême simplicité du portrait verbal qu’il donne de lui-même ne doit pas nous tromper. Ce plasticien est beaucoup plus riche et complexe qu’il n’y paraît au premier abord. C’est ce qu’on découvre à travers le portrait très documenté et approfondi proposé par Henri-Claude Cousseau dans la première monographie sur l’artiste à ce jour. L’auteur s’attache aux singularités multiples d’un artiste pour qui l’écriture occupe une place presque aussi importante que la peinture. Né en 1910, dans une famille de petits artisans, son père est cordonnier, quelques cours de dessins pour enfants donneront tôt une première impulsion à une créativité que la rencontre plus tard, en 1937 à Paris, avec Otto Freundlich va encourager. Suivront d’autres rencontres et reconnaissances d’artistes comme d’intellectuels qui lui permettront de se forger une culture et d’affermir ses peintures, collages, métamorphoses d’objets… un univers insolite qui n’appartient qu’à lui et dont la multitude des écrits épistolaires envoyés depuis le bocage vendéen à ses amis artistes et écrivains permettent de suivre les interrogations et la genèse de son œuvre jusqu’à sa mort en 1964. Historien d’art, conservateur général du Patrimoine, Henri-Claude Cousseau a occupé des postes à la direction des musées de France, à ceux de Nantes et du CAPC de Bordeaux ainsi qu’à l'École des Beaux-Arts de Paris. Historien de l’art ses nombreuses études sur les artistes du XXe siècle sont une référence incontournable.
On le classerait volontiers dans la catégorie des peintres d’Art brut selon la définition qu’en a fait Jean Dubuffet, “autodidactes et marginaux dont les créations sont spontanées et exemptes de cultures artistique“. Pourtant, si les dessins, peintures, collages et objets divers de Gaston Chaissac font dans un premier temps penser à des œuvres d’enfant dans leur créativité première, l’extrême simplicité du portrait verbal qu’il donne de lui-même ne doit pas nous tromper. Ce plasticien est beaucoup plus riche et complexe qu’il n’y paraît au premier abord. C’est ce qu’on découvre à travers le portrait très documenté et approfondi proposé par Henri-Claude Cousseau dans la première monographie sur l’artiste à ce jour. L’auteur s’attache aux singularités multiples d’un artiste pour qui l’écriture occupe une place presque aussi importante que la peinture. Né en 1910, dans une famille de petits artisans, son père est cordonnier, quelques cours de dessins pour enfants donneront tôt une première impulsion à une créativité que la rencontre plus tard, en 1937 à Paris, avec Otto Freundlich va encourager. Suivront d’autres rencontres et reconnaissances d’artistes comme d’intellectuels qui lui permettront de se forger une culture et d’affermir ses peintures, collages, métamorphoses d’objets… un univers insolite qui n’appartient qu’à lui et dont la multitude des écrits épistolaires envoyés depuis le bocage vendéen à ses amis artistes et écrivains permettent de suivre les interrogations et la genèse de son œuvre jusqu’à sa mort en 1964. Historien d’art, conservateur général du Patrimoine, Henri-Claude Cousseau a occupé des postes à la direction des musées de France, à ceux de Nantes et du CAPC de Bordeaux ainsi qu’à l'École des Beaux-Arts de Paris. Historien de l’art ses nombreuses études sur les artistes du XXe siècle sont une référence incontournable.
Gaston Chaissac par Henri-Claude Cousseau
Editions Flammarion
Format : 250x318 cm. 320 pages.
Prix : 70 euros
En avant, calme et fou
Une esthétique de la bécane
En avant, calme et fou
Une esthétique de la bécane
Sylvain Tesson et Thomas Goisque photographe
Editions Albin Michel
Format : 19x24cm. 304 pages
Prix : 35 euros
Changer d’horizons, se lancer au hasard de routes improbables, de steppes ouvertes à l’infini, de lacs gelés et autres paysages inconnus, railler les extrêmes et même la mort, intensifier la vie en défiant le danger, fuir l’emprise de la mélancolie “de n’avoir rien fait de nos vies“…
Sylvain Tesson le déclare en introduction à ces 30 années de chevauchées fantastiques sur des bécanes souvent brinquebalantes ou sur des side-cars, et toujours en compagnie de son ami photographe Thomas Goisque. Finis dit-il de nos jours les rêves d’explorateurs, de conquérants et de guerriers. Alors, en avant, calme et fou vers l’ailleurs ! Ces pages en mouvement nous embarquent à travers une multitude de photos et de commentaires pris sur le vif derrière deux compères chevauchant leur monture de métal vers de nouveaux horizons. Inde, Russie, Bouthan, Chine, Mongolie, Sibérie, Chili, Népal, Finlande… Sylvain Tesson, on le sait, est coutumier de ces échappées lointaines et périlleuses retranscrites dans une écriture d’aventurier du voyage riche en sensations de liberté. Comme son Bérézina, cette lente et laborieuse traversée de la Russie sur les traces de l’armée napoléonienne. C’est sa façon de vivre les grands mythes et les grands personnages afin d’oublier “la vanité de mon passage sur terre“…
Sylvain Tesson le déclare en introduction à ces 30 années de chevauchées fantastiques sur des bécanes souvent brinquebalantes ou sur des side-cars, et toujours en compagnie de son ami photographe Thomas Goisque. Finis dit-il de nos jours les rêves d’explorateurs, de conquérants et de guerriers. Alors, en avant, calme et fou vers l’ailleurs ! Ces pages en mouvement nous embarquent à travers une multitude de photos et de commentaires pris sur le vif derrière deux compères chevauchant leur monture de métal vers de nouveaux horizons. Inde, Russie, Bouthan, Chine, Mongolie, Sibérie, Chili, Népal, Finlande… Sylvain Tesson, on le sait, est coutumier de ces échappées lointaines et périlleuses retranscrites dans une écriture d’aventurier du voyage riche en sensations de liberté. Comme son Bérézina, cette lente et laborieuse traversée de la Russie sur les traces de l’armée napoléonienne. C’est sa façon de vivre les grands mythes et les grands personnages afin d’oublier “la vanité de mon passage sur terre“…
En avant, calme et fou
Une esthétique de la bécane
Sylvain Tesson et Thomas Goisque photographe
Editions Albin Michel
Format : 19x24cm. 304 pages
Prix : 35 euros
Blanc
Par Michel Pastoureau
Michel Pastoureau
Editions du Seuil
Format : 230x235cm 240 pages - Prix : 39 euros
Cette dernière étude de Michel Pastoureau dans sa série consacrée à l’histoire culturelle des couleurs fait suite aux précédents volumes consacrés au bleu, noir, vert, rouge et jaune.
En remontant à la préhistoire, à l’antiquité jusqu’aux sociétés contemporaines, cet historien, grand spécialiste des couleurs, directeur d’études émérite à l’Ecole pratique des hautes études, étudie cette fois le blanc à travers l’histoire occidentale sous ses aspects à la fois symbolique, sociologique, scientifique, religieux et artistique dans un ouvrage dont la passionnante érudition est très richement illustrée. Bien qu’il ne soit pas pris en compte dans le registre des couleurs primaires que sont le bleu, jaune, rouge, ni dans celui des couleurs obtenues par mélange d’autres couleurs, le blanc est nous dit Michel Pastoureau une vraie couleur dont la reconnaissance en tant que telle a varié au cours des siècles. Pensé dans sa relation aux autres couleurs, le blanc par exemple n’a jamais été considéré comme une non-couleur ou une transparence ni comme le contraire du noir de l’époque actuelle mais plutôt comme celui du rouge. Sa valeur symbolique presque toujours positive le lie à la pureté, à l’innocence, à la propreté de la neige, du cygne ou de la fleur de lis. Couleur des dieux, du christianisme, des rois mais aussi, avec d’autres nuances, de la modernité, les valeurs du blanc ont incarné les multiples aspects changeants des sociétés que nous découvrons au fil des pages.
Blanc En remontant à la préhistoire, à l’antiquité jusqu’aux sociétés contemporaines, cet historien, grand spécialiste des couleurs, directeur d’études émérite à l’Ecole pratique des hautes études, étudie cette fois le blanc à travers l’histoire occidentale sous ses aspects à la fois symbolique, sociologique, scientifique, religieux et artistique dans un ouvrage dont la passionnante érudition est très richement illustrée. Bien qu’il ne soit pas pris en compte dans le registre des couleurs primaires que sont le bleu, jaune, rouge, ni dans celui des couleurs obtenues par mélange d’autres couleurs, le blanc est nous dit Michel Pastoureau une vraie couleur dont la reconnaissance en tant que telle a varié au cours des siècles. Pensé dans sa relation aux autres couleurs, le blanc par exemple n’a jamais été considéré comme une non-couleur ou une transparence ni comme le contraire du noir de l’époque actuelle mais plutôt comme celui du rouge. Sa valeur symbolique presque toujours positive le lie à la pureté, à l’innocence, à la propreté de la neige, du cygne ou de la fleur de lis. Couleur des dieux, du christianisme, des rois mais aussi, avec d’autres nuances, de la modernité, les valeurs du blanc ont incarné les multiples aspects changeants des sociétés que nous découvrons au fil des pages.
Michel Pastoureau
Editions du Seuil
Format : 230x235cm 240 pages - Prix : 39 euros
Mille et une vies d’un chef
Des mythiques soirées blanches de Saint Tropez aux “dîners clandestins“
Christophe Leroy se confie peu de temps après ses fameux “dîners clandestins“ au palais Vivienne qui ont défrayé la chronique.
La lecture de son livre autobiographique est ponctuée de souvenirs des stars qu’il a rencontrées, certaines au panthéon de leur gloire, d’autres moins connues. Un vrai tourbillon durant ces années au top de son métier de chef, entre ses tables de Paris et de Saint-Tropez, de Marrakech et d’Avoriaz, du Sénégal aux Caraïbes en passant par Miami. Tant de rencontres amicales et durables se font autour d’une belle table ! C’est ce qui a inspiré cet album à feuilleter avec gourmandise et curiosité tant les vedettes rencontrées sont nombreuses. Ce fils d’agriculteurs normands, clé d’or de la gastronomie à 25 ans, a préféré régaler les stars plutôt que de courir après les étoiles du Michelin. C’est lui qui, à la demande d’Eddie Barclay, a poursuivi les dîners de ces fameuses Soirées blanches de Saint Tropez. Lui qui fut parmi les chefs préférés d’autres grandes fêtes dans les lieux à la mode, maitre d’œuvre des festins de milliardaires sur des yachts de rêve… Il en reste les témoignages farcis d’anecdotes parfois croustillantes mais toujours sympathiques. Sur Johnny, Aznavour, Bardot, Tapie et bien d’autres qui renvoient à des jours d’insouciance en des temps qui aujourd’hui sont moins à la fête. Le plus arrive en final avec une vingtaine de ses recettes de stars.
Mille et une vies d’un chef.
Des mythiques soirées blanches de Saint Tropez aux “dîners
Christophe Leroy avec le concours du journaliste Alain Morel
Editions Bella Saint Tropez
Boché. 450 pages et plus de 150 photos
Prix : 49,90 euros
Christophe Leroy se confie peu de temps après ses fameux “dîners clandestins“ au palais Vivienne qui ont défrayé la chronique.
La lecture de son livre autobiographique est ponctuée de souvenirs des stars qu’il a rencontrées, certaines au panthéon de leur gloire, d’autres moins connues. Un vrai tourbillon durant ces années au top de son métier de chef, entre ses tables de Paris et de Saint-Tropez, de Marrakech et d’Avoriaz, du Sénégal aux Caraïbes en passant par Miami. Tant de rencontres amicales et durables se font autour d’une belle table ! C’est ce qui a inspiré cet album à feuilleter avec gourmandise et curiosité tant les vedettes rencontrées sont nombreuses. Ce fils d’agriculteurs normands, clé d’or de la gastronomie à 25 ans, a préféré régaler les stars plutôt que de courir après les étoiles du Michelin. C’est lui qui, à la demande d’Eddie Barclay, a poursuivi les dîners de ces fameuses Soirées blanches de Saint Tropez. Lui qui fut parmi les chefs préférés d’autres grandes fêtes dans les lieux à la mode, maitre d’œuvre des festins de milliardaires sur des yachts de rêve… Il en reste les témoignages farcis d’anecdotes parfois croustillantes mais toujours sympathiques. Sur Johnny, Aznavour, Bardot, Tapie et bien d’autres qui renvoient à des jours d’insouciance en des temps qui aujourd’hui sont moins à la fête. Le plus arrive en final avec une vingtaine de ses recettes de stars.
Mille et une vies d’un chef.
Des mythiques soirées blanches de Saint Tropez aux “dîners
Christophe Leroy avec le concours du journaliste Alain Morel
Editions Bella Saint Tropez
Boché. 450 pages et plus de 150 photos
Prix : 49,90 euros