La Ligne Maginot, guide des forts à visiter
La Ligne Maginot
texte André Degon, photographies Didier Zylberyng
collection Itinéraires de découvertes de nos régions
livre broché avec rabat ; 16x22, 120 pages, 160 photos.
Prix public 14,90 euros. Parution mars 2014.
Véritable patrimoine architectural, la Ligne Maginot fait partie de ces lieux de mémoire qui attirent de plus en plus de touristes. Notre ami et confrère André Degon accompagné du photographe Didier Zylberyng nous propose de partir à la découverte de trente forts, de Dunkerque à Menton.
Certains viennent à la rencontre de l’histoire d’un parent, d’autres pour découvrir, comprendre ce que vécut une génération dans la guerre. Les lieux sont là pour témoigner. Découvrir la Ligne Maginot marquera tout visiteur. Ces ouvrages gigantesques sous terre, organisés dans les moindres détails constituent un ensemble fortifié unique au monde. Depuis les années 70, des associations se sont constituées pour redonner vie à ces forts et les ouvrir au public. Leurs membres se dévouent bénévolement. Ils sont les « garde-temps ». Sans eux, il n’y aurait plus rien. Qu’ils soient remerciés.
Sur les 58 ouvrages situés dans le nord et dans le nord-est, les 50 ouvrages des Alpes et les 410 casemates, abris et observatoires, tous ne sont pas ouverts au public. La plupart ne se visitent pas car ils se trouvent dans un état de délabrement avancé, surtout dans les Alpes. Sont évoqués dans ce guide ceux qui, restaurés, accueillent le public.
Il suffit de franchir la lourde porte blindée d’un ouvrage de la ligne Maginot pour découvrir un autre monde étrange parvenu jusqu’à nous. André Degon et Didier Zylberyng vous raconte la genèse et les arcanes de ces villes souterraines….
texte André Degon, photographies Didier Zylberyng
collection Itinéraires de découvertes de nos régions
livre broché avec rabat ; 16x22, 120 pages, 160 photos.
Prix public 14,90 euros. Parution mars 2014.
Véritable patrimoine architectural, la Ligne Maginot fait partie de ces lieux de mémoire qui attirent de plus en plus de touristes. Notre ami et confrère André Degon accompagné du photographe Didier Zylberyng nous propose de partir à la découverte de trente forts, de Dunkerque à Menton.
Certains viennent à la rencontre de l’histoire d’un parent, d’autres pour découvrir, comprendre ce que vécut une génération dans la guerre. Les lieux sont là pour témoigner. Découvrir la Ligne Maginot marquera tout visiteur. Ces ouvrages gigantesques sous terre, organisés dans les moindres détails constituent un ensemble fortifié unique au monde. Depuis les années 70, des associations se sont constituées pour redonner vie à ces forts et les ouvrir au public. Leurs membres se dévouent bénévolement. Ils sont les « garde-temps ». Sans eux, il n’y aurait plus rien. Qu’ils soient remerciés.
Sur les 58 ouvrages situés dans le nord et dans le nord-est, les 50 ouvrages des Alpes et les 410 casemates, abris et observatoires, tous ne sont pas ouverts au public. La plupart ne se visitent pas car ils se trouvent dans un état de délabrement avancé, surtout dans les Alpes. Sont évoqués dans ce guide ceux qui, restaurés, accueillent le public.
Il suffit de franchir la lourde porte blindée d’un ouvrage de la ligne Maginot pour découvrir un autre monde étrange parvenu jusqu’à nous. André Degon et Didier Zylberyng vous raconte la genèse et les arcanes de ces villes souterraines….
«Les 177 Français du Jour J»
Soixante-dix ans après, ils ne sont plus que dix vétérans sur les 177 Français du Commando Kieffer qui ont débarqué le 6 juin 1944 en Normandie, aux côtés de 75 000 Britanniques et Canadiens et, plus à l'Est, de 58 000 Américains.
Heure par heure, l'histoire du Débarquement est l'une des mieux connues qui soient. Mais qui se souvient des 177 fusiliers marins du Commando Kieffer, les seuls Français à avoir retrouvé la terre de France en Normandie, le 6 juin 1944 ?
Le Commando Kieffer s’est pourtant illustré en s’emparant du casino et du port de Ouistreham, puis en assurant la jonction avec les parachutistes britanniques à Pegasus Bridge, un épisode immortalisé dans le film Le Jour le plus Long.
En s'appuyant sur des centaines de photos, lettres et documents inédits, Stéphane Simonnet rend hommage à travers cet ouvrage coédité par le ministère de la Défense et les éditions Tallandier aux 177 volontaires de cette troupe de choc.
Sous l’impulsion d’un militaire atypique, le capitaine de corvette Philippe Kieffer, ils ont suivi, durant des mois, dans les bases secrètes de Grande-Bretagne, les entraînements les plus intensifs afin de réaliser leur rêve : participer à la libération de la France.
Heure par heure, l'histoire du Débarquement est l'une des mieux connues qui soient. Mais qui se souvient des 177 fusiliers marins du Commando Kieffer, les seuls Français à avoir retrouvé la terre de France en Normandie, le 6 juin 1944 ?
Le Commando Kieffer s’est pourtant illustré en s’emparant du casino et du port de Ouistreham, puis en assurant la jonction avec les parachutistes britanniques à Pegasus Bridge, un épisode immortalisé dans le film Le Jour le plus Long.
En s'appuyant sur des centaines de photos, lettres et documents inédits, Stéphane Simonnet rend hommage à travers cet ouvrage coédité par le ministère de la Défense et les éditions Tallandier aux 177 volontaires de cette troupe de choc.
Sous l’impulsion d’un militaire atypique, le capitaine de corvette Philippe Kieffer, ils ont suivi, durant des mois, dans les bases secrètes de Grande-Bretagne, les entraînements les plus intensifs afin de réaliser leur rêve : participer à la libération de la France.
Le lundi 26 mai diffusion du film « Les Français du Jour J »
Ce documentaire de Cédric Condom qui vient en complément du livre de Stéphane Simonet nous propose le récit passionnant du parcours des membres du Commando Kieffer.
Si beaucoup sont originaires de métropole, d’autres viennent des quatre coins de l’Empire français : Français d’Algérie, de Tunisie ou de Madagascar... Ils viennent libérer un pays que pour certains ils n’ont encore jamais vu. Comme le grand-père du réalisateur René Rossey qui, à 17 ans, foulera pour la première fois le sol français en débarquant sur les plages de Normandie sous le feu nourri des balles allemandes ! Aujourd’hui il ne reste qu’une poignée de survivants de cette histoire française du Débarquement. À l’aide d’archives inédites retrouvées en Angleterre et de séquences de reconstitutions ils nous racontent pour la première fois leur D-Day en version française.
Un film documentaire de Cédric Condom, écrit par Jean-Yves Le Naour, avec la collaboration de Stéphane Simonnet, produit par Emmanuel Migeot. Production Kilaohm, avec la participation de :
France 3, TV5 Monde et Planète +. Durée : 90 minutes.
Si beaucoup sont originaires de métropole, d’autres viennent des quatre coins de l’Empire français : Français d’Algérie, de Tunisie ou de Madagascar... Ils viennent libérer un pays que pour certains ils n’ont encore jamais vu. Comme le grand-père du réalisateur René Rossey qui, à 17 ans, foulera pour la première fois le sol français en débarquant sur les plages de Normandie sous le feu nourri des balles allemandes ! Aujourd’hui il ne reste qu’une poignée de survivants de cette histoire française du Débarquement. À l’aide d’archives inédites retrouvées en Angleterre et de séquences de reconstitutions ils nous racontent pour la première fois leur D-Day en version française.
Un film documentaire de Cédric Condom, écrit par Jean-Yves Le Naour, avec la collaboration de Stéphane Simonnet, produit par Emmanuel Migeot. Production Kilaohm, avec la participation de :
France 3, TV5 Monde et Planète +. Durée : 90 minutes.
Diffusé le 26 mai 2014 à 20h45 sur France 3
René Rossey à droite sur la photo, membre du Commando Kieffer a foulé pour la première fois le sol français le 06 juin 1944 à 17 ans. (Crédit photo D.R.).
Un blog précède puis prolongera la diffusion du documentaire Les Français du Jour J qui recueille les témoignages des derniers survivants de cette histoire française du débarquement, parmi lesquels René Rossey. A l’aide d’archives inédites retrouvées en Angleterre et de séquences de reconstitutions, ils nous racontent pour la première fois leur D Day en VF.
http://blog.francetvinfo.fr/jour-j/a-propos.html
http://blog.francetvinfo.fr/jour-j/a-propos.html
Mais aussi sur le même thème : Un matin à Ouistreham- 6 juin 1944
Le témoignage d'un Français libre par Guy Hattu
Georges Bernanos, 20 janvier 1948
Éditions Tallandier
Prix :19,90 €
Neveu de l’écrivain Georges Bernanos, Guy Hattu s’engage à 26 ans, dès 1941, et rejoint la France libre à Londres. Il fait partie des 177 Français qui débarquent le 6 juin 1944 avec le commandant Kieffer. Les lettres qu’il adresse à sa mère et son oncle complètent son témoignage exceptionnel.
À l’aube du 6 juin 1944, Guy Hattu, 29 ans, membre du Commando Kieffer, pose le pied sur la plage de Ouistreham. En juin 1941, il avait rejoint Londres et les Forces françaises libres. Fervent patriote, il tient depuis le début de la guerre son journal et écrit de longues lettres à sa mère, à ses camarades de combat, et à l’aumônier de la France Libre, l’abbé de Naurois.
Humaniste chrétien et monarchiste, Guy Hattu entretient aussi une correspondance poignante avec son oncle Georges Bernanos, son aîné de vingt-cinq ans, dont il est très proche par l’esprit et le cœur. Par ce qu’ils révèlent, ces écrits, jusque-là inédits et ici rassemblés par son fils, nous plongent dans l’intimité d’un combattant de la France Libre face à ses doutes et ses convictions.
« J’ai besoin de te dire ce soir que je crois en toi passionnément, absolument. Il ne s’agit pas seulement de ta conduite su feu. Il s’agit de l’estime que tu avais de tes meilleurs camarades et ton autorité morale. Ne crois pas que je me laisse bluffer par tes faits d’armes, dont d’ailleurs tu ne parles jamais, je pense au caractère que tu as montré. C’est ce qui te classe, mon petit Guy. »
Georges Bernanos, 20 janvier 1948
David Raynal
Georges Bernanos, 20 janvier 1948
Éditions Tallandier
Prix :19,90 €
Neveu de l’écrivain Georges Bernanos, Guy Hattu s’engage à 26 ans, dès 1941, et rejoint la France libre à Londres. Il fait partie des 177 Français qui débarquent le 6 juin 1944 avec le commandant Kieffer. Les lettres qu’il adresse à sa mère et son oncle complètent son témoignage exceptionnel.
À l’aube du 6 juin 1944, Guy Hattu, 29 ans, membre du Commando Kieffer, pose le pied sur la plage de Ouistreham. En juin 1941, il avait rejoint Londres et les Forces françaises libres. Fervent patriote, il tient depuis le début de la guerre son journal et écrit de longues lettres à sa mère, à ses camarades de combat, et à l’aumônier de la France Libre, l’abbé de Naurois.
Humaniste chrétien et monarchiste, Guy Hattu entretient aussi une correspondance poignante avec son oncle Georges Bernanos, son aîné de vingt-cinq ans, dont il est très proche par l’esprit et le cœur. Par ce qu’ils révèlent, ces écrits, jusque-là inédits et ici rassemblés par son fils, nous plongent dans l’intimité d’un combattant de la France Libre face à ses doutes et ses convictions.
« J’ai besoin de te dire ce soir que je crois en toi passionnément, absolument. Il ne s’agit pas seulement de ta conduite su feu. Il s’agit de l’estime que tu avais de tes meilleurs camarades et ton autorité morale. Ne crois pas que je me laisse bluffer par tes faits d’armes, dont d’ailleurs tu ne parles jamais, je pense au caractère que tu as montré. C’est ce qui te classe, mon petit Guy. »
Georges Bernanos, 20 janvier 1948
David Raynal
La Poste lance la collection "Mémoire de guerres"
Livrets-Collectors Mémoire de Guerres 14-18 et 39-45
Ils contiennent cinq timbres à validité monde
Poids max de l'envoi : 20 g
Destination de l'envoi : Monde
Nature : Lettre prioritaire
14,90 €
Collector Mémoire de Guerres 14-18 et 39-45
Poids max de l'envoi : 20 g
Destination de l'envoi : Monde
Nature : Lettre prioritaire
Le collector de cinq : 6,50 €
La Poste s'associe au 100e anniversaire de la 1ère guerre mondiale et au 70e anniversaire du débarquement de la seconde guerre mondiale. A son programme philatélique figurent six timbres commémoratifs et une nouvelle collection : "Mémoire de guerres".
"Mémoire de guerres" est éditée en partenariat avec l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre (Onac). Destinée aux collectionneurs et au grand public, elle comprend cinq supports qui peuvent également être proposés séparément : un collector avec 5 timbres et un livret sur 1914-1918, un collector de 5 timbres et un livret sur 1939-1945 ainsi qu'un coffret prestige incluant les livrets-collectors 1914-1918 et 1939-1945.
La collection Mémoire de guerres (collectors, livrets et coffret) peut être commandée par Internet, au service clients de Phil@Poste (Z.I Avenue Benoît Frachon, BP 10106 Boulazac, 24051 Périgueux Cedex 09) et au Carré d'Encre, la boutique de Phil@Poste, située 13 bis rue des Mathurins, Paris 9e.
Ils contiennent cinq timbres à validité monde
Poids max de l'envoi : 20 g
Destination de l'envoi : Monde
Nature : Lettre prioritaire
14,90 €
Collector Mémoire de Guerres 14-18 et 39-45
Poids max de l'envoi : 20 g
Destination de l'envoi : Monde
Nature : Lettre prioritaire
Le collector de cinq : 6,50 €
La Poste s'associe au 100e anniversaire de la 1ère guerre mondiale et au 70e anniversaire du débarquement de la seconde guerre mondiale. A son programme philatélique figurent six timbres commémoratifs et une nouvelle collection : "Mémoire de guerres".
"Mémoire de guerres" est éditée en partenariat avec l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre (Onac). Destinée aux collectionneurs et au grand public, elle comprend cinq supports qui peuvent également être proposés séparément : un collector avec 5 timbres et un livret sur 1914-1918, un collector de 5 timbres et un livret sur 1939-1945 ainsi qu'un coffret prestige incluant les livrets-collectors 1914-1918 et 1939-1945.
La collection Mémoire de guerres (collectors, livrets et coffret) peut être commandée par Internet, au service clients de Phil@Poste (Z.I Avenue Benoît Frachon, BP 10106 Boulazac, 24051 Périgueux Cedex 09) et au Carré d'Encre, la boutique de Phil@Poste, située 13 bis rue des Mathurins, Paris 9e.
Les livrets collector sur la Première et la Seconde Guerre mondiale
Les livrets comportent des illustrations originales, des reproductions de timbres déjà émis sur le thème des deux guerres ainsi que des timbres créés pour cet événement. Les textes ont été conçus par l'historien Jean-Yves Le Naour, spécialiste de la Première Guerre mondiale et de l'histoire du 20ème siècle.
Dans le cadre du programme philatélique 2014, La Poste émettra également 6 timbres consacrés aux deux guerres mondiales d'ici novembre.
Après celui marquant le 70e anniversaire de la rafle des enfants juifs d'Izieu, sorti le 6 avril, suivront deux autres timbres en juin : l'un pour le 70e anniversaire du débarquement (5 et 6 juin) et l'autre pour le 70e anniversaire des martyrs de Tulle (9 juin).
Durant l'été, deux émissions marqueront les centenaires de la mobilisation générale du 2 août 1914 et de la bataille de la Marne (12 septembre). Enfin, un timbre reprenant le Bleuet de France* sera émis le 11 novembre.
Les livrets comportent des illustrations originales, des reproductions de timbres déjà émis sur le thème des deux guerres ainsi que des timbres créés pour cet événement. Les textes ont été conçus par l'historien Jean-Yves Le Naour, spécialiste de la Première Guerre mondiale et de l'histoire du 20ème siècle.
Dans le cadre du programme philatélique 2014, La Poste émettra également 6 timbres consacrés aux deux guerres mondiales d'ici novembre.
Après celui marquant le 70e anniversaire de la rafle des enfants juifs d'Izieu, sorti le 6 avril, suivront deux autres timbres en juin : l'un pour le 70e anniversaire du débarquement (5 et 6 juin) et l'autre pour le 70e anniversaire des martyrs de Tulle (9 juin).
Durant l'été, deux émissions marqueront les centenaires de la mobilisation générale du 2 août 1914 et de la bataille de la Marne (12 septembre). Enfin, un timbre reprenant le Bleuet de France* sera émis le 11 novembre.