Le guitariste et chanteur Pat O'May pour un show case celte acoustique en amont de son prochain concert parisien le 27 juin à la Flêche d’Or. (Photo David Raynal)
Ambiance Breizh Rock mercredi 12 juin à la Maison de la Bretagne à Paris qui avait invité à l’initiative de l’association Paris Breton, le guitariste et chanteur Pat’O May pour un show case celte acoustique en amont de son prochain concert parisien le 27 juin à la Flêche d’Or. Né en 1961 à Rouen, Pat O’May est d’origine irlandaise par son arrière grand-père.
Très tôt plongé dans la musique, il devient fan du groupe américain Osmonds Brothers avec lequel découvre l’univers du rock et du R&B.Mais c’est à l’écoute du Machine Head de Deep Purple que lui vient l'envie d'être guitariste de hard rock. Après avoir fait partie des groupes de heavy metal Marienthal et Road 66, il commence à produire plusieurs albums solo dans lesquels il précise son univers.
Aujourd’hui Pat O’May utilise les bases du rock et du métal, qu'il associe à des éléments des musiques du monde (musiques traditionnelles celtiques, bretonnes, arabes ou encore chinoises) sur des textes d'actualité.
« En arrivant en Bretagne il ya 23 ans, Je me suis retrouvé à sonoriser des groupes de festou-noz comme Pennoù skoulm (tête de nœuds en breton). C’est notamment en écoutant le guitariste du groupe Soïg Sibéril que je me suis rendu compte qu’il y avait dans la musique celtique, la même énergie et les mêmes progressions d’accords que celles que je connaissais dans le métal. Dès le deuxième album, j’en suis aujourd’hui au septième, j’ai eu envie de fusionner le, rock, le hard rock, le heavy metal et les sonorités bretonnes et celtiques » se souvient le musicien à la sympathie communicative.
Très tôt plongé dans la musique, il devient fan du groupe américain Osmonds Brothers avec lequel découvre l’univers du rock et du R&B.Mais c’est à l’écoute du Machine Head de Deep Purple que lui vient l'envie d'être guitariste de hard rock. Après avoir fait partie des groupes de heavy metal Marienthal et Road 66, il commence à produire plusieurs albums solo dans lesquels il précise son univers.
Aujourd’hui Pat O’May utilise les bases du rock et du métal, qu'il associe à des éléments des musiques du monde (musiques traditionnelles celtiques, bretonnes, arabes ou encore chinoises) sur des textes d'actualité.
« En arrivant en Bretagne il ya 23 ans, Je me suis retrouvé à sonoriser des groupes de festou-noz comme Pennoù skoulm (tête de nœuds en breton). C’est notamment en écoutant le guitariste du groupe Soïg Sibéril que je me suis rendu compte qu’il y avait dans la musique celtique, la même énergie et les mêmes progressions d’accords que celles que je connaissais dans le métal. Dès le deuxième album, j’en suis aujourd’hui au septième, j’ai eu envie de fusionner le, rock, le hard rock, le heavy metal et les sonorités bretonnes et celtiques » se souvient le musicien à la sympathie communicative.
Au milieu, Pat O'May en compagnie du guitariste James Wood. A ses côtés à la Maison de la Bretagne, Frank Darcel, DJ Zebra et Philippe Ricard de l'association Paris Breton.
La magie du monde celte et la puissance du métal
En parallèle, Pat O’May est sollicité pour des compositions de musiques à l’image de celles qui lui sont régulièrement commandées pour l’émission de télévision Thalassa. Ce virtuose de la guitare participe également à de grands projets fédérateurs comme les spectacles d'Alan Simon (l'opéra-rock Anne de Bretagne, Excalibur). Le 16 février 2012, le rocker à la crinière de lion était l’un des invités surprise du concert anniversaire d'Alan Stivell à l'Olympia qui marquait les 40 ans de son passage mythique sur cette scène parisienne. « Alan Stivell a participé à mon septième et dernier album. Il est vraiment pour moi l’un des pères de la World Music française et mondiale. Sans lui, la musique bretonne n’aurait peut-être pas pu perdurer avec la vitalité et l’énergie que nous lui connaissons à l’heure actuelle » rappelle avec enthousiasme Pat O’May.
Sorti en novembre 2012, Celtic Wings a été mastérisé dans le célèbre studio Abbey Road à Londres. Oscillant entre nouvelles compositions et reprises de classiques, il puise dans les racines musicales (métal), génétiques (Irlande) et affectives (Bretagne) du musicien pour donner naissance à un album de rock ou de métal celtique.
Pour tous ceux qui n’auraient pas la possibilité de se déplacer le 27 juin à Paris, Pat O’May sera le 12 août sur ses terres armoricaines pour un concert au festival de la Saint-Loup de Guingamp en compagnie de Martin Barre qui est depuis 1969 le guitariste du groupe Jethro Tull. Excusez du peu…
D.R.
En parallèle, Pat O’May est sollicité pour des compositions de musiques à l’image de celles qui lui sont régulièrement commandées pour l’émission de télévision Thalassa. Ce virtuose de la guitare participe également à de grands projets fédérateurs comme les spectacles d'Alan Simon (l'opéra-rock Anne de Bretagne, Excalibur). Le 16 février 2012, le rocker à la crinière de lion était l’un des invités surprise du concert anniversaire d'Alan Stivell à l'Olympia qui marquait les 40 ans de son passage mythique sur cette scène parisienne. « Alan Stivell a participé à mon septième et dernier album. Il est vraiment pour moi l’un des pères de la World Music française et mondiale. Sans lui, la musique bretonne n’aurait peut-être pas pu perdurer avec la vitalité et l’énergie que nous lui connaissons à l’heure actuelle » rappelle avec enthousiasme Pat O’May.
Sorti en novembre 2012, Celtic Wings a été mastérisé dans le célèbre studio Abbey Road à Londres. Oscillant entre nouvelles compositions et reprises de classiques, il puise dans les racines musicales (métal), génétiques (Irlande) et affectives (Bretagne) du musicien pour donner naissance à un album de rock ou de métal celtique.
Pour tous ceux qui n’auraient pas la possibilité de se déplacer le 27 juin à Paris, Pat O’May sera le 12 août sur ses terres armoricaines pour un concert au festival de la Saint-Loup de Guingamp en compagnie de Martin Barre qui est depuis 1969 le guitariste du groupe Jethro Tull. Excusez du peu…
D.R.
Sorti en novembre 2012, Celtic Wings a été mastérisé dans le célèbre studio Abbey Road à Londres.
Plus d'infos
CELTIC WINGS
Keltia Musique
Pat O’May en concert le jeudi 27 juin à la Flèche d’Or
102 bis rue de Bagnolet
75020 Paris
19h30 - Tarifs : 22 € - Etudiants : 20 €
www.flechedor.fr
Festival de la Saint-Loup à Guingamp
Du 10 au 18 août
Concert de Pat’O May 12 août à 20h30 (invité spécial Martin Barre)
www.dansebretonne.com/index.htm
Association Paris Breton
www.parisbreton.org
CELTIC WINGS
Keltia Musique
Pat O’May en concert le jeudi 27 juin à la Flèche d’Or
102 bis rue de Bagnolet
75020 Paris
19h30 - Tarifs : 22 € - Etudiants : 20 €
www.flechedor.fr
Festival de la Saint-Loup à Guingamp
Du 10 au 18 août
Concert de Pat’O May 12 août à 20h30 (invité spécial Martin Barre)
www.dansebretonne.com/index.htm
Association Paris Breton
www.parisbreton.org
Né en 1961 à Rouen, Pat O’May est d’origine irlandaise par son arrière grand-père. Après avoir fait partie des groupes de heavy metal Marienthal et Road 66, il commence à produire plusieurs albums solo dans lesquels il précise son univers (Photo David Raynal)