Des Vosges… à Paris
La Compagnie l’Odyssée présente en spectacle… Victor Noir. (Crédit photo Cie Odyssée)
L’existence de Victor Noir (de son vrai patronyme Yvan Salmon) débute dans le petit village des Vosges d’Attigny et se termine tragiquement à Paris.
C’est une querelle entre une feuille révolutionnaire intitulée « La Marseillaise », férocement anti-bonapartistes, ses journalistes et le Prince Bonaparte, qui amène la disparition du jeune lorrain. Ce journal avait été créé quelque temps auparavant par un député d’extrême gauche,
Henri de Rochefort. Napoléon III y était extrêmement critiqué.
Le 10 janvier 1870, Victor Noir et un confrère-ami, Ulrich de Fonvielle, se présentent au domicile de Pierre Bonaparte, neveu de Napoléon 1er, au 59 rue d’Auteuil à Neuilly.
Toutefois, il y a méprise ! Ce dernier les prend pour les envoyés d’Henri de Rochefort (alias de Rochefort-Luçay) qu’il avait provoqué en duel pour avoir traité les Bonaparte de bêtes féroces.Or les deux émissaires sont mandatés par Pascal Grousset, du journal corse « La Revanche », qui demande réparation des injures dont ce Bonaparte l’a abreuvé dans un article paru dans « L’Avenir de la Corse ».
C’est une querelle entre une feuille révolutionnaire intitulée « La Marseillaise », férocement anti-bonapartistes, ses journalistes et le Prince Bonaparte, qui amène la disparition du jeune lorrain. Ce journal avait été créé quelque temps auparavant par un député d’extrême gauche,
Henri de Rochefort. Napoléon III y était extrêmement critiqué.
Le 10 janvier 1870, Victor Noir et un confrère-ami, Ulrich de Fonvielle, se présentent au domicile de Pierre Bonaparte, neveu de Napoléon 1er, au 59 rue d’Auteuil à Neuilly.
Toutefois, il y a méprise ! Ce dernier les prend pour les envoyés d’Henri de Rochefort (alias de Rochefort-Luçay) qu’il avait provoqué en duel pour avoir traité les Bonaparte de bêtes féroces.Or les deux émissaires sont mandatés par Pascal Grousset, du journal corse « La Revanche », qui demande réparation des injures dont ce Bonaparte l’a abreuvé dans un article paru dans « L’Avenir de la Corse ».
L’assassinat de Victor Noir par le neveu de Napoléon-Bonaparte
De gauche à droite : La scène du crime à Auteuil. Le Prince Pierre-Napoléon Bonaparte tire à bout portant sur Victor Noir, sous le regard d’Ulrich de Fonvielle, qui crie « à l’Assassin ». (Crédit photo Bertrand Munier);) Dans la chambre mortuaire de Victor Noir, des parents et une future jeune épouse, pleurent leur cher disparu ! (Crédit photo Bertrand Munier);) Lors des funérailles de Victor Noir… des scènes de débordement indescriptibles ! La foule coupe les traits des chevaux et traine le corbillard. (Crédit photo Bertrand Munier)
La lettre de Grousset pratiquement non lue et froissée, l’impulsif fils de Lucien Bonaparte se fâche.
Ce dernier s’avance et gifle Victor Noir, puis il tire au revolver sur le reporter d’origine vosgienne, qui va mourir quelques secondes plus tard, sur le trottoir bordant l’immeuble du délit ; tandis que son meurtrier continue à tirer sur Ulrich de Fonvielle, qui crie à tue-tête « à l’assassin ». Le surlendemain de ce tragique accident, Victor Noir devait enjoliver l’annulaire d’une jeune créole. Il n’avait que vingt-deux ans et sa future épouse seulement seize.
Les funérailles du journaliste furent suivies par plus de 100.000 personnes et ses obsèques eurent lieu au cimetière neuilléen au cœur des quartiers bourgeois de Paris.
Toutefois, cet événement déclencha le courroux de la foule et déboucha sur de violentes manifestations hostiles au Second Empire. Ce lundi 10 janvier demeura à jamais fatal à Napoléon III. Le coup de « poignard » funeste pour l’Empereur, sera finalement la guerre de Sedan, quelques semaines plus tard. Quant au célèbre assassin, connu pour son tempérament très violent (déjà auteur d’un crime en Italie), il sera acquitté par la Haute-Cour de justice fixée à Tours, deux mois seulement, après son effroyable forfait.
Ce dernier s’avance et gifle Victor Noir, puis il tire au revolver sur le reporter d’origine vosgienne, qui va mourir quelques secondes plus tard, sur le trottoir bordant l’immeuble du délit ; tandis que son meurtrier continue à tirer sur Ulrich de Fonvielle, qui crie à tue-tête « à l’assassin ». Le surlendemain de ce tragique accident, Victor Noir devait enjoliver l’annulaire d’une jeune créole. Il n’avait que vingt-deux ans et sa future épouse seulement seize.
Les funérailles du journaliste furent suivies par plus de 100.000 personnes et ses obsèques eurent lieu au cimetière neuilléen au cœur des quartiers bourgeois de Paris.
Toutefois, cet événement déclencha le courroux de la foule et déboucha sur de violentes manifestations hostiles au Second Empire. Ce lundi 10 janvier demeura à jamais fatal à Napoléon III. Le coup de « poignard » funeste pour l’Empereur, sera finalement la guerre de Sedan, quelques semaines plus tard. Quant au célèbre assassin, connu pour son tempérament très violent (déjà auteur d’un crime en Italie), il sera acquitté par la Haute-Cour de justice fixée à Tours, deux mois seulement, après son effroyable forfait.
Un gisant saisissant au Père Lachaise
De gauche à droite : ) La sépulture sulfureuse de Victor Noir au cimetière parisien du Père Lachaise. (Crédit photo Bertrand Munier); Portrait de Yvan Salmon dit Victor Noir (Photo DR)
Peu après l’avènement de la Troisième République, la dépouille de Victor Noir, devenue un véritable symbole républicain, fut transférée au cimetière parisien du Père-Lachaise.
Depuis lors, sa renommée et surtout sa sépulture, jouissent d’une popularité qui ne se dément pas. Le tombeau définitif du Vosgien est cité par tous les guides du célèbre cimetière, comme l’un des quarante plus originaux. Son gisant est représenté, en l’état de sa mort, allongé sur le trottoir de l’hôtel bonapartiste.
Cette sculpture stupéfiante, réalisée par Aimé-Jules Dalou à l’image d’un instantané photographique, attire des milliers de visiteuses.
En effet, des jeunes filles ou femmes, en mal d’enfants, d’amour ou de libido, viennent se recueillirent sur cette tombe et surtout effleurer une certaine protubérance de ce gisant. Les plis du pantalon s’y prêtent. Caresser la proéminence anatomique de Victor Noir rendrait fertile et heureuse ces dames. Au fil du temps, l’usure du bronze à l’endroit féerique, est l’attention de multiples commentaires sarcastiques ou enjoués. Qui plus est, les femmes assouvies, viennent déposer des fleurs, en ex-voto, dans sa main et dans son bolivar ; sans omettre de lui apposer un dernier baiser bienveillant et reconnaissant. Des gestes et des scènes parfois surréalistes mais d’une criante authenticité ! Un priapisme de bronze clairement révolutionnaire qui fait le bonheur des algamatophiles.
Quasiment inconnu durant son éphémère existence, puis héros de la République et enfin happé par la gloire, au-delà de sa mort, Victor Noir n’avait pas fini de surprendre.
Lors du transfert de son corps, son frère Louis, assistant profondément ému à l’exhumation, s’empara subrepticement du crâne. Ce fanatique frère le conservera sous globe et comme relique… jusqu’à sa mort.
Depuis lors, sa renommée et surtout sa sépulture, jouissent d’une popularité qui ne se dément pas. Le tombeau définitif du Vosgien est cité par tous les guides du célèbre cimetière, comme l’un des quarante plus originaux. Son gisant est représenté, en l’état de sa mort, allongé sur le trottoir de l’hôtel bonapartiste.
Cette sculpture stupéfiante, réalisée par Aimé-Jules Dalou à l’image d’un instantané photographique, attire des milliers de visiteuses.
En effet, des jeunes filles ou femmes, en mal d’enfants, d’amour ou de libido, viennent se recueillirent sur cette tombe et surtout effleurer une certaine protubérance de ce gisant. Les plis du pantalon s’y prêtent. Caresser la proéminence anatomique de Victor Noir rendrait fertile et heureuse ces dames. Au fil du temps, l’usure du bronze à l’endroit féerique, est l’attention de multiples commentaires sarcastiques ou enjoués. Qui plus est, les femmes assouvies, viennent déposer des fleurs, en ex-voto, dans sa main et dans son bolivar ; sans omettre de lui apposer un dernier baiser bienveillant et reconnaissant. Des gestes et des scènes parfois surréalistes mais d’une criante authenticité ! Un priapisme de bronze clairement révolutionnaire qui fait le bonheur des algamatophiles.
Quasiment inconnu durant son éphémère existence, puis héros de la République et enfin happé par la gloire, au-delà de sa mort, Victor Noir n’avait pas fini de surprendre.
Lors du transfert de son corps, son frère Louis, assistant profondément ému à l’exhumation, s’empara subrepticement du crâne. Ce fanatique frère le conservera sous globe et comme relique… jusqu’à sa mort.
Un spectacle historique au pays natal d’Yvan Salmon
De gauche à droite : Pierre Bonaparte, après son odieux forfait sur Victor Noir, en son domicile d’Auteuil. Une caricature signée Gill. (Crédit photo Bertrand Munier);) Les discours sur la tombe ouverte de Victor Noir au cimetière de Neuilly. (Crédit photo Bertrand Munier);) Les journalistes de « La Marseillaise» au cœur de cette affaire. À gauche, Victor Noir et à droite, Ulrich de Fonvielle. (Crédit photo Bertrand Munier)
La cité vosgienne de Monthureux-sur-Saône sera le théâtre nocturne durant cinq jours du mercredi 6 au dimanche 10 août prochain, de la retranscription scénique du parcours chaotique et tragique de « l’enfant » d’Attigny, fils d’un horloger local.
Tel « Bel-Ami » sous les traits de Georges Duroy, cher à Guy de Maupassant, l’insatiable Victor Noir était en quête d’identification professionnelle, comme le fut son frère-écrivain Louis.
Pour la première fois depuis sa mort, Victor Noir sera à nouveau sous les feux de projecteurs. Non plus sous la rampe politique et judiciaire comme ce fut le cas en cette période agitée du Second Empire mais pour un spectacle grandiose et chamarré.
Un spectacle grandiose grâce à une mise en scène signée Yves-Jacques Bouin assisté de Martin Poirot, ainsi qu’à un scénario rédigé par « L’Atelier écriture de l’Odyssée » avec la collaboration de Claude Bernard. Tout en ayant effectué sa carrière professionnelle dans les arcanes notariales, ce dernier se pencha très tôt sur le parcours de son jeune compatriote. Pour anecdote, son grand-père paternel Jules Bernard fut maire d’Attigny de 1906-1918 et voulait matérialiser la naissance de Victor Noir dans son village de premier magistrat. Mais les soubresauts de la Séparation des biens de l’Église et de l’État, puis l’arrivée de la Grande Guerre avortèrent le projet.
En revanche, il faudra attendre 1995, pour que la municipalité de l’époque, inaugure un square pour l’enfant du pays. En péroraison, Claude Bernard était l’un des scénaristes légitimes à ce spectacle nocturne monthurolais.
150 acteurs et figurants, tous empreints de véracité, retraceront la vie syncopée d’Yvan Salmon, lequel demeure au troisième millénaire un mythe pour tous les visiteurs du célèbre cimetière parisien.
Tel « Bel-Ami » sous les traits de Georges Duroy, cher à Guy de Maupassant, l’insatiable Victor Noir était en quête d’identification professionnelle, comme le fut son frère-écrivain Louis.
Pour la première fois depuis sa mort, Victor Noir sera à nouveau sous les feux de projecteurs. Non plus sous la rampe politique et judiciaire comme ce fut le cas en cette période agitée du Second Empire mais pour un spectacle grandiose et chamarré.
Un spectacle grandiose grâce à une mise en scène signée Yves-Jacques Bouin assisté de Martin Poirot, ainsi qu’à un scénario rédigé par « L’Atelier écriture de l’Odyssée » avec la collaboration de Claude Bernard. Tout en ayant effectué sa carrière professionnelle dans les arcanes notariales, ce dernier se pencha très tôt sur le parcours de son jeune compatriote. Pour anecdote, son grand-père paternel Jules Bernard fut maire d’Attigny de 1906-1918 et voulait matérialiser la naissance de Victor Noir dans son village de premier magistrat. Mais les soubresauts de la Séparation des biens de l’Église et de l’État, puis l’arrivée de la Grande Guerre avortèrent le projet.
En revanche, il faudra attendre 1995, pour que la municipalité de l’époque, inaugure un square pour l’enfant du pays. En péroraison, Claude Bernard était l’un des scénaristes légitimes à ce spectacle nocturne monthurolais.
150 acteurs et figurants, tous empreints de véracité, retraceront la vie syncopée d’Yvan Salmon, lequel demeure au troisième millénaire un mythe pour tous les visiteurs du célèbre cimetière parisien.
La Compagnie l'Odyssée vous attend à Monthureux-sur-Saône dès le mercredi 6 août à 21H30
Chaque année en période estivale, les spectacles de la Compagnie de l’Odyssée attirent des milliers de visiteurs. (Crédit photo Cie l’Odyssée)
Enfoui dans la terre glaise du Père-Lachaise, Victor Noir ne cesse en permanence d’attirer l’attention. Selon l’expression appropriée, il aurait dû (normalement) reposer en paix, depuis la fin du XIXe siècle. Que nenni ! Et ce n’est pas fini !
Sa sépulture, fortement commentée, aiguise en permanence la curiosité des badauds et surtout celle de la gent féminine inféconde… et avide de caresser une proéminence sexuelle très visuelle pour obtenir l’immaculée conception du mort en bronze et soi-disant : ô combien miraculeuse ! Le véritable Saint-Graal de l’amour, en somme !
Pour certains, cet état de fait serait le fruit d’une galéjade de joyeux étudiants avec la complicité d’un gardien du cimetière, qui, tous les soirs, à la tombée de la nuit, lustrait avidement la partie virile du jeune reporter lorrain, foudroyé en pleine jeunesse.
Après ? Chacun apportera sa version des faits et la légende n’a pas fini de se lénifier.
Inconnu, puis adulé par les pamphlétaires du Second Empire et ensuite, preux chevalier de la Troisième République malgré lui, Victor Noir voulait conquérir le tout Paris. Jamais, finalement ce Vosgien n’aura été autant célébré. Lustré depuis des lustres, il a été adulé au-delà de toutes ses espérances.
Passant, qui que tu sois, ne manque nullement de saluer Victor Noir au Père-Lachaise. Son monument en vaut « la chandelle ». C’est au sein de la 92e division de la célèbre nécropole située dans le 20e arrondissement de Paris. Mais avant cette visite historique, un détour s’impose à Monthureux-sur-Saône dès le mercredi 6 août à 21H30…. La Compagnie l’Odyssée vous y attend avec talent !
Sa sépulture, fortement commentée, aiguise en permanence la curiosité des badauds et surtout celle de la gent féminine inféconde… et avide de caresser une proéminence sexuelle très visuelle pour obtenir l’immaculée conception du mort en bronze et soi-disant : ô combien miraculeuse ! Le véritable Saint-Graal de l’amour, en somme !
Pour certains, cet état de fait serait le fruit d’une galéjade de joyeux étudiants avec la complicité d’un gardien du cimetière, qui, tous les soirs, à la tombée de la nuit, lustrait avidement la partie virile du jeune reporter lorrain, foudroyé en pleine jeunesse.
Après ? Chacun apportera sa version des faits et la légende n’a pas fini de se lénifier.
Inconnu, puis adulé par les pamphlétaires du Second Empire et ensuite, preux chevalier de la Troisième République malgré lui, Victor Noir voulait conquérir le tout Paris. Jamais, finalement ce Vosgien n’aura été autant célébré. Lustré depuis des lustres, il a été adulé au-delà de toutes ses espérances.
Passant, qui que tu sois, ne manque nullement de saluer Victor Noir au Père-Lachaise. Son monument en vaut « la chandelle ». C’est au sein de la 92e division de la célèbre nécropole située dans le 20e arrondissement de Paris. Mais avant cette visite historique, un détour s’impose à Monthureux-sur-Saône dès le mercredi 6 août à 21H30…. La Compagnie l’Odyssée vous y attend avec talent !
Plus d'infos
De haut en bas : couverture du livre de Bertrand Munier (Alter Editions); Les jardins du Presbytère de Monthureux-sur-Saône dans les Vosges (Crédit photo DR); Logo de la Cie de l'Odyssée (Crédit photo Cie de l'Odyssée)
Bibliographie :
À lire….
« Le Gisant Turgescent de Victor Noir - L’énigmatique pierre tombale du Père Lachaise »
par Bertrand Munier paru à « Alter Éditions »
Information et réservation pour le spectacle :
« Victor Noir - L’Immortel - Grand Spectacle Vivant » par la Compagnie l’Odyssée
Spectacle tous les soirs à partir de 21H30 du mercredi 6 au dimanche 10 août 2014 à Monthureux-sur-Saône dans les Vosges . (non loin des stations thermales de Bains-les-Bains, Contrexéville, Vittel et de Bourbonne-les-Bains)
Plus de renseignements au 03.29.09.91.94
ou sur le site :
http://www.compagnie-odyssee.com
Distribution du spectacle :
Scénario : Claude Bernard avec L’Atelier écriture de l’Odyssée
Mise en scène : Yves-Jacques Bouin assisté de Martin Poirot
Costumes : Sophie Legras et l’Atelier Couture
Décors : Pierre Taranzano
Régie son : Dominique Petit
Régie lumière : « Système Son »
150 acteurs et figurants sur scène
Syndicat d'initiative de la Saône Touristique :
www.monthureux.fr/syndic.htm
http://monthureux-sur-saone.mairie.com/
À lire….
« Le Gisant Turgescent de Victor Noir - L’énigmatique pierre tombale du Père Lachaise »
par Bertrand Munier paru à « Alter Éditions »
Information et réservation pour le spectacle :
« Victor Noir - L’Immortel - Grand Spectacle Vivant » par la Compagnie l’Odyssée
Spectacle tous les soirs à partir de 21H30 du mercredi 6 au dimanche 10 août 2014 à Monthureux-sur-Saône dans les Vosges . (non loin des stations thermales de Bains-les-Bains, Contrexéville, Vittel et de Bourbonne-les-Bains)
Plus de renseignements au 03.29.09.91.94
ou sur le site :
http://www.compagnie-odyssee.com
Distribution du spectacle :
Scénario : Claude Bernard avec L’Atelier écriture de l’Odyssée
Mise en scène : Yves-Jacques Bouin assisté de Martin Poirot
Costumes : Sophie Legras et l’Atelier Couture
Décors : Pierre Taranzano
Régie son : Dominique Petit
Régie lumière : « Système Son »
150 acteurs et figurants sur scène
Syndicat d'initiative de la Saône Touristique :
www.monthureux.fr/syndic.htm
http://monthureux-sur-saone.mairie.com/
Affiche « Victor Noir - L’Immortel - Grand Spectacle Vivant » par la Compagnie l’Odyssée Spectacle tous les soirs à partir de 21H30 du mercredi 6 au dimanche 10 août 2014 à Monthureux-sur-Saône dans les Vosges (Crédit photo La Cie de l'Odyssée)