Il ne reste plus que 3200 tigres sur la planète, et l'Inde en abrite plus de la moitié qui vit dans des réserves aménagées dans les années 70. Depuis, des centaines d'hôtels et magasins se sont installés dans ces réserves pour touristes intéressés par l'observation de la vie sauvage.
Wasim Kadri, avocat de l'Autorité de protection des tigres, a indiqué que la Cour suprême indienne a également prévu de lourdes amendes pour les États indiens n'ayant pas créé de zones tampons autour de l'habitat des félins. Six États ont d'ores et déjà été condamnés pour avoir failli à cette obligation, et disposent de trois semaines pour respecter la loi.
Cette interdiction reste pour l’instant temporaire, en attente de la décision définitive dans l'affaire portée par le défenseur de la nature Ajay Dube, qui demande l'interdiction de toutes activités commerciales au cœur des réserves fréquentées par les tigres. Il a expliqué à la justice que les autorités de plusieurs États indiens ont permis la construction d'hôtels et de magasins en pleines réserves. Or, l'habitat déjà restreint des tigres, devrait être protégé de toute perturbation humaine, y compris du tourisme.
Une position critiquée par Travel Operators for Tigers, un groupe de voyagistes, qui affirme que les tigres sont plus en sécurité dans des réserves fréquentées par les touristes. Que les sanctuaires et les forêts « invisibles et délaissés » ont perdu leurs tigres et leur faune en raison du braconnage, du pâturage et de l'inattention.
Travel Operators for Tigers
http://www.toftigers.org/
Cette interdiction reste pour l’instant temporaire, en attente de la décision définitive dans l'affaire portée par le défenseur de la nature Ajay Dube, qui demande l'interdiction de toutes activités commerciales au cœur des réserves fréquentées par les tigres. Il a expliqué à la justice que les autorités de plusieurs États indiens ont permis la construction d'hôtels et de magasins en pleines réserves. Or, l'habitat déjà restreint des tigres, devrait être protégé de toute perturbation humaine, y compris du tourisme.
Une position critiquée par Travel Operators for Tigers, un groupe de voyagistes, qui affirme que les tigres sont plus en sécurité dans des réserves fréquentées par les touristes. Que les sanctuaires et les forêts « invisibles et délaissés » ont perdu leurs tigres et leur faune en raison du braconnage, du pâturage et de l'inattention.
Travel Operators for Tigers
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