La balade à vélo débute dans la partie chinoise de la ville @ David Raynal
A Bangkok aussi, les vélos vont parfois plus vite que les autos ! Si les balades en pirogues rapides dans les khlongs, les canaux de la ville, demeurent un incontournable, les virées à deux roues le long du fleuve Chao Phraya à la découverte des quartiers chinois et portugais demeurent encore relativement confidentiels.
Une Bangkok intime et insolite
L’excursion à vélo commence pour nous derrière l’imposant édifice de la poste centrale. Construit en 1940, ce bâtiment austère est l’un des rares vestiges Art Déco de Bangkok. Sur un vaste parking, des deux roues pour la plupart flambants neufs, sont alignés avec sur le guidon une petite étiquette portant notre nom. Les consignes de sécurité sont rappelées et il nous est demandé, malgré la chaleur, de porter un casque. La bouteille d’eau minérale de rigueur est accrochée à son emplacement sur le cadre. Il est temps de partir à la conquête d’une autre Bangkok, loin de la mégapole de 12 millions d’habitants au trafic incessant, plus intime et insolite.
L’implantation des marchands chinois
La chevauchée débute en petits groupes dans la partie chinoise. Nous traversons des ruelles étroites avec sur les murs des fresques à tête de dragons, dépassons des ateliers de forgerons et des marchands de ferraille sur plusieurs centaines de mètres. Lors de leur l’implantation près du port, les artisans et commerçants chinois se sont spécialisés dans la fabrication de pièces détachées pour les bateaux, ancres, chaines, moteurs, gouvernails. De nos jours, ils se sont reconvertis dans la fabrication de pièces détachées pour les voitures, comme un sursis jusqu’à l’avènement du tout-électrique. Direction, le Wat Traimit ou le sanctuaire du Bouddha d’or, comme l’appellent les Thaïs. Cette statue de 3 mètres de haut et de 5,5 tonnes est la plus grande statue en or massif du monde. L’histoire débute dans les années 30 à la faveur de travaux d’aménagement des berges du fleuve Chao Phraya. Un vieux temple abritait dans le coin une grande statue de Bouddha en stuc doré, dont les responsables ne savaient pas trop quoi en faire. Il fut finalement décidé de la déplacer au Wat Traimit, un petit temple situé non loin de là, toujours dans le quartier chinois. Pendant 20 ans, la statue resta à l’extérieur sous un vulgaire toit de tôles ondulées.
Le miracle du Wat Traimit
En 1955, les moines prennent la décision de construire un nouveau bâtiment et d’y déposer la statue. Lors de son déplacement, l’un des câbles de la grue finit par céder et la statue tomba lourdement dans la boue. C’est alors que le miracle se produisit. Le lendemain, l’un des grands moines retourna voir la statue et se mit à essuyer les traces de terre. Il remarqua bientôt une fissure qui laissait apparaître du métal doré. La nouvelle de la découverte de la statue du Bouddha d’Or se répandit comme une trainée de poudre dans toute la ville. Et c’est ainsi que le petit Wat Traimit se transforma en un grand temple de renommée mondiale. Pourtant, nul ne connait la provenance exacte de cette statue en or massif étincelante, estimée au taux actuel du marché à 250 millions de dollars. L’une des hypothèses serait que sa création remonte au temps de la dynastie Sukhothaï (1238-1370). Elle aurait ensuite changé de capitale pour rejoindre au début du 15e siècle le royaume naissant d’Ayuttaya. Pour protéger et dissimuler ce joyau des assauts birmans, les moines auraient entrepris au 18e siècle de l’enduire de morceaux de stuc incrustés de verre. La statue a ainsi été ensuite transportée à Bangkok lorsque en 1801, le roi Rama I ordonna de récupérer toutes les antiques images de Bouddha, conservées dans tous les temples en ruine.
Marché aux fleurs
A la lisière de Chinatown, nous nous engouffrons maintenant au cœur du Pak Klong Talad, le marché aux fleurs de Bangkok. Ouvert 24 heures sur 24, il est possible d’y acheter au détail des fleurs fraiches ou des plantes en provenance de toutes les régions à des prix défiant toute concurrence. Mais ce marché couvert sert surtout à fournir en gros les commerçants et les hôtels de la ville. Il faut dire qu’en Thaïlande, l’art floral joue un rôle important dans de nombreux domaines de la vie quotidienne, bouquets, offrandes rituelles, colliers de bienvenue. Du quartier chinois de Soi Sampheng, il est possible de continuer sur la rive occidentale dans le quartier de Thonburi, en empruntant le ferry pour traverser la rivière Chao Phraya. Avant cela, les adeptes de la petite reine auront eu l’occasion de pédaler dans des allées verdoyantes, de se faufiler dans des ruelles étroites à l’activité débordante et de passer par des petits ponts bombés et des chemins de traverses.
Eglise portugaise de Santa Cruz
C’est ici à Thonburi, que se dresse l’église portugaise de Santa Cruz. Construite en 1916, le quartier complètement accessible à vélo a gardé ses airs de village. L’édifice actuel néo-Renaissance, symbole du multiculturalisme des lieux, est entouré d’un petit jardin. Il a été conçu par les architectes italiens Annibale Rigotti et Mario Tamagno et est coiffé d’un élégant clocher à dôme, inspiré de celui de la cathédrale de Florence. A l’entrée deux statues, l’une d’un Christ les bras levés, l’autre de la Vierge les mains tendues vers les visiteurs. Vestige bien vivant de la présence portugaise dans le pays, elle s’élève à l’endroit précis où fut construite en 1770 l’église en bois initiale, avec l’aide de la communauté chinoise. Car les Portugais furent les premiers européens à entrer en contact avec le royaume de Siam dès 1511, après qu’Alfonso de Albuquerque ait fait main basse sur le port de Malacca.
Quelques parcelles de terre
A la fin du 18e siècle, ils s'installent sur la rive gauche de la Chao Phraya, suite à la chute du royaume d'Ayutthaya en 1767. A cette époque, un traité militaire leur permettait de résider, commercer et de pratiquer leur religion librement dans le pays. Les offensives répétées des Birmans obligent le roi Taskin à créer une nouvelle capitale sur le territoire de Thonburi à 80 km au Sud. Et c’est en gage de remerciement qu’il accorde quelques parcelles de terres aux peuples qui se sont dressés à ses côtés face à l’envahisseur du Nord. C’est ainsi que les Khmers, Lao, Chinois et Portugais se retrouvent liés dans la création du quartier de Kudee Jeen ou (Kudi Jin) qui signifie "église chinoise ou demeure du moine chinois".
Un musée pour l’amitié
Au fond d'une ruelle à la végétation exubérante, se trouve le Baan Kudichin Museum, un bâtiment de deux étages de style colonial, qui était l'ancienne maison d'une famille catholique. A l’entrée, une reproduction stylisée du coq de Barcelos, le symbole national du Portugal est fièrement exposée sur le mur de ce petit musée gratuit. Dans les salles d’exposition, nous découvrons des meubles et des objets historiques provenant des anciennes maisons thaïlandaises et portugaises des alentours, mais aussi des outils anciens, des cartes, des gravures et des photographies historiques. Le musée répertorie aussi à l’aide de modèles en plastique les aliments et les plantes que les Portugais ont introduits au fil des siècles en Thaïlande : patate douce du Brésil, manioc, papaye, ananas, tournesols, noix de cajou, piments...Au rez-de-chaussée, la buvette propose à la dégustation une spécialité locale, le Sappayak Bun, un petit pain traditionnel portugais saupoudré de tamarin et farci de pommes de terre, de piment et de porc haché.
Le gâteau de l’étranger
Mais la vraie curiosité du quartier est sans nul doute, le khanom farang kudi chin, littéralement le "gâteau de l'étranger". Cette petite friandise d’origine portugaise à base d’œufs, sucre et de farine de blé, n’est proposée que dans trois boulangeries de la capitale. La plus connue s’appelle Thanusingha où cinq générations de la même famille ont confectionné ce dessert unique dans lequel il est possible de rajouter des grains de raisins secs, du melon, du jujube (une sorte de datte chinoise) ou de la pomme. Dans l’atelier à proximité de la boutique, une petite équipe s’affaire pour confectionner ce dessert à la recette bien gardée. Lentement, la pâte à gâteau épaisse et blanche est mélangée dans de petits moules. C’est parti pour quelques minutes de cuisson au feu de bois selon un procédé inversé. Les petites douceurs sont délicatement disposées dans une jarre en métal surmontée par une antique plaque d’acier, sur laquelle se consument ardemment des braises. Les petits cakes doivent rester légèrement croustillants à l’extérieur et délicieusement moelleux à l’intérieur. L’emballage dans des sacs plastiques translucides se fait ensuite à la pièce et toujours à la main.
Spécialités thaïlandaises et portugaises
Dernière institution thaïlando-lusitanienne, le Baan Sakul Thong, est un petit restaurant en bois, accessible uniquement sur réservation. La décoration fait la part belle aux images pieuses dans cette veille maison catholique et aux photographies de famille disposées dans des cadres anciens. Initiée par sa grand-mère qui lui a mis dès le plus jeune âge un tablier et un couteau de cuisine entre les mains, Kanittha Tan-Sakulthong, décide avec son mari après 7 ans passés dans un bureau, d’ouvrir un restaurant aux saveurs thaïlandaises et portugaises. Parmi les curiosités de l’établissement, il faut citer le jeep tua nok des raviolis cuits à la vapeur en forme d'oiseau, farcis de poulet, qui se mangent en petites portions à l’apéritif.
Ragoût et porc portugais aux saveurs de Siam
Pour environ 250 baths par personne (environ 7 euros), il est également possible de commander des nouilles de riz à la portugaise garnies de poulet haché et de curry rouge à la crème de coco, le tom mafaad, un ragoût de légumes portugais ou encore le chor muang, des raviolis farcis de porc haché et teints en violet avec de l'extrait de fleur de pois papillon. Le tout arrosé de jus d’hibiscus. « Notre menu combine les deux influences de notre famille. Sous le règne du roi Rama V, mes arrière-grands-parents ont servi la Cour royale en tant que chefs cuisiniers et pâtissiers. La famille de mon mari descend des premiers colons portugais de Kudeejeen, il y a plus de 250 ans. Nous avons juste ajusté le niveau de douceur, car certains plats pouvaient être trop sucré pour les goûts modernes » explique Kanittha.
Maison de maître dans le style « pain d’épice »
Sur le chemin aménagé du retour qui longe la grande rivière Chao Phraya, nous apercevons à velo une ancienne maison de maître. La maison « bleue », c’est son nom, était jadis peinte aux couleurs de l’indigo. La demeure délabrée en bois de teck arbore désormais un marron délavé bien fadasse. Elle fut construite au 19e par Louis Windsor, dans un style architectural « pain d’épice – gingerbread » très prisé à l’époque. Ce riche marchand britannique installé à Bangkok sous le règne du roi Rama IV, avait épousé une femme thaïlandaise appelée Somboon. Bien juchée sur ses pilotis de béton, elle semble aujourd’hui défier les outrages du temps et les coups de boutoirs de la mousson, face aux gratte-ciel de la rive orientale qui la guette avec assurance et envie. En attendant une hypothétique rénovation…
Une communauté de 2000 personnes
Encore quelques moments passés dans ce qui reste de la communauté et vous apprendrez peut-être que ce sont aussi les Portugais qui ont rapporté avec eux le secret de la fabrication du pain. Le mot thaïlandais pang viendrait en effet tout naturellement du portugais pão. Aujourd’hui, quelque 2 000 descendants thaïlandais-portugais résident encore dans ce quartier fleuri, pittoresque et toujours à taille humaine. Et le meilleur moyen pour parcourir sereinement ce petit recoin préservé de la cité des Anges est encore d’enfourchez un vélo…
Pratique
Y aller ?
Office National du Tourisme de Thaïlande
90, Avenue des Champs-Elysées
75008 Paris, France
Tél : +33 1 53 53 47 09
Mobile : +33 6 61 77 88 44
Courriel : prakit.saiporn@wanadoo.fr
Site : www.tourismethaifr.com
www.tourismethai.fr
Pour bien visiter Bangkok :
Les meilleurs guides francophones de la ville. Deux frères érudits et inséparables.
Mod
Téléphone : +6681341166
Courriel : guidemod@gmail.com
Plouac
Téléphone : +66805983355
Courriel : plouac@gmail.com
Où manger ?
Baan Sakul Thong
219 Soi Kudee Jeen 3, Bangkok
Tel: 06 2605 5665
Baan Khanitha & Gallery
67,69 South Sathorn Rd. Sathorn, Bangkok 10120
Téléphone : +66(0) 2675 4200 - +66(0)8 3297 5467
info@baan-khanitha.com
https://www.baan-khanitha.com/venue_sathorn.php
Ruen Noppakao Restaurant
Soi Sathon 6, Silom, Bang Rak, Bangkok 10500, Thaïlande
Téléphone : +66 2 116 3317
https://ruennoppagaorestaurant.com
Où boire un verre ?
Riva Arun Bangkok
392/25-28 Maharaj Road, Phraborom Maharajawang, Pranakorn, Bangkok 10200
stay@rivaarunbangkok.com
Telephone: +66 02 2211188
Fax: +66 02 2211190
L'occasion de profiter d'une vue imprenable sur le Wat Arun et le Wat Pho.
A découvrir
Boulangerie Thanusingha
237 7 Soi Kudeejeen, Wat Kanlaya, Thon Buri, Bangkok 10600, Thaïlande
Visiter
Wat Traimit
Mittaphap Thai-China Rd, 10100, Thaïlande
Entrée 40 bahts
Eglise Santa Cruz
112 Soi Kudeejeen, Wat Kanlaya, Thon Buri, Bangkok 10600, Thaïlande
Téléphone : +66 2 472 0154
Baan Kudichin Museum
271 Tedsaban 1 Road
Watkalaya, Thonburi, Bangkok 10600
Tel: 08 9924 2503
www.baankudichinmuseum.com
Horaires : Mardi à dimanche de 9h30 à 17h30, lundi fermé.
Office National du Tourisme de Thaïlande
90, Avenue des Champs-Elysées
75008 Paris, France
Tél : +33 1 53 53 47 09
Mobile : +33 6 61 77 88 44
Courriel : prakit.saiporn@wanadoo.fr
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Mod
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Plouac
Téléphone : +66805983355
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Baan Sakul Thong
219 Soi Kudee Jeen 3, Bangkok
Tel: 06 2605 5665
Baan Khanitha & Gallery
67,69 South Sathorn Rd. Sathorn, Bangkok 10120
Téléphone : +66(0) 2675 4200 - +66(0)8 3297 5467
info@baan-khanitha.com
https://www.baan-khanitha.com/venue_sathorn.php
Ruen Noppakao Restaurant
Soi Sathon 6, Silom, Bang Rak, Bangkok 10500, Thaïlande
Téléphone : +66 2 116 3317
https://ruennoppagaorestaurant.com
Où boire un verre ?
Riva Arun Bangkok
392/25-28 Maharaj Road, Phraborom Maharajawang, Pranakorn, Bangkok 10200
stay@rivaarunbangkok.com
Telephone: +66 02 2211188
Fax: +66 02 2211190
L'occasion de profiter d'une vue imprenable sur le Wat Arun et le Wat Pho.
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237 7 Soi Kudeejeen, Wat Kanlaya, Thon Buri, Bangkok 10600, Thaïlande
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Wat Traimit
Mittaphap Thai-China Rd, 10100, Thaïlande
Entrée 40 bahts
Eglise Santa Cruz
112 Soi Kudeejeen, Wat Kanlaya, Thon Buri, Bangkok 10600, Thaïlande
Téléphone : +66 2 472 0154
Baan Kudichin Museum
271 Tedsaban 1 Road
Watkalaya, Thonburi, Bangkok 10600
Tel: 08 9924 2503
www.baankudichinmuseum.com
Horaires : Mardi à dimanche de 9h30 à 17h30, lundi fermé.
Movenpick BDMS Wellness Resort Bangkok
Havre de bien-être classé 5 étoiles en plein cœur de la ville, le Movenpick BDMS Wellness Resort Bangkok est situé à 350 mètres du centre commercial Central Embassy et de la station de métro aérien Phloen Chit. Clairement axées sur la relaxation du corps et de l’esprit, les 211 chambres et suites déclinées en 8 catégories différentes, sont toutes conçues dans un souci d'espace, offrant un accès à un balcon privé et disposant d'équipements de bien-être, tels que des haut-parleurs de thérapie du sommeil et des tapis de yoga. Pour son protocole de massages, l’hôtel a noué un partenariat avec le BDMS (Bangkok Dusit Medical Services), le plus grand groupe de soins de santé privé de Thaïlande, fondé par le milliardaire thaïlandais Prasert Prasarttong-Osoth. Au centre d’un jardin tropical et luxuriant, l’établissement dispose d’une vaste piscine aménagée au pied des gratte-ciel, pour un bain salvateur après un long voyage en avion.
2 Witthayu Rd, Lumphini, Pathum Wan, Bangkok 10330, Thaïlande
Téléphone : +66 2 666 3333
https://www.movenpickbdmsbangkok.com
2 Witthayu Rd, Lumphini, Pathum Wan, Bangkok 10330, Thaïlande
Téléphone : +66 2 666 3333
https://www.movenpickbdmsbangkok.com
LeBua at State Tower
Situé dans le quartier d’affaires à l’origine chinois de Bang Rak, cet hôtel 5 étoiles de 357 suites, 68 étages et 247 mètres de haut, tutoie les sommets de la cité des Anges. Au programme de cette tour de la démesure, deux établissements deux étoiles, l’un de cuisine japonaise le Mezzaluna au 65e étage, l’autre d’influence française et italienne le Chef’s Table au 61e. Des restaurants qui exacerbent les saveurs méditerranéennes le Sirocco au 64e et chinoises le Breeze au 52e. Enfin, toute une palette de bars vertigineux, dont le plus connu est sans conteste le Sky Bar au 64e avec sa vue à 360° sur tout Bangkok au pied d’un dôme doré et rutilant, le Pink Bar au 61e, un endroit cosy, glamour, tendance « Barbie » inspiré des années 50, un bar à champagne signé Bollinger au 64e ou encore lebua n°3 au 52e, un paradis perché pour les DJ et les clubbeurs.
1055 Si Lom, Silom, Bang Rak, Bangkok 10500, Thaïlande.
Téléphone : +66 (0)2 624 9999
Réservations: kaka@lebua.com
https://lebua.com/hotels/lebua-at-state-tower
1055 Si Lom, Silom, Bang Rak, Bangkok 10500, Thaïlande.
Téléphone : +66 (0)2 624 9999
Réservations: kaka@lebua.com
https://lebua.com/hotels/lebua-at-state-tower
Aérien
Vols internationaux
THAI AIRWAYS INTERNATIONAL | PARIS | FRANCE
La Compagnie nationale THAI Airways Intl propose quotidiennement un vol sans escale de Paris à Bangkok en classe économique et en classe affaires. La grande qualité du service à bord est renforcée par le temps de vol le plus court entre la France et la Thaïlande. Les voyageurs pourront également rejoindre la plupart des grandes villes thaïlandaises en empruntant les correspondances sur les vols intérieurs de la compagnie. Le réseau de THAI Airways Intl permet également de rejoindre la plupart des pays limitrophes tels que le Vietnam, le Cambodge, le Laos et la Birmanie.
https://www.thaiairways.com/fr_FR
Vols intérieurs
https://www.bangkokair.com
THAI AIRWAYS INTERNATIONAL | PARIS | FRANCE
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Vols intérieurs
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