Point stratégique sur la Route de la Soie, le fort de Jiayugan, “clé de la frontière“, protégeait l’extrémité ouest de la Grande Muraille des Ming. © OT Chine
Le site de Bingling avec 183 grottes creusées à même la falaise. A l’intérieur, 700 statues bouddhiques de pierre et d'argile, des centaines de fresques en partie épargnées par l’érosion et un Bouddha Maitreya de 27 mètres .© Catherine Gary
Bingling, l’un des plus anciens sites bouddhiques
Sur les terres de lœss du fleuve Jaune, Lanzhou, capitale de la province, dresse les hautes tours de sa modernité galopante.
Difficile aujourd’hui d’y trouver les traces de cette étape sur la route de la Soie. A moins de suivre le fleuve emblématique et ses falaises rougeoyantes sur 30 km jusqu’au barrage hydroélectrique de Liujiaxia, 200 mètres de large qui retiennent les eaux en amont et permettent la remontée en bateau le long de paysages tourmentés. Le site de Bingling se découvre à une heure de là, protégé par 183 grottes creusées à même la falaise. A l’intérieur, 700 statues bouddhiques de pierre et d'argile, des centaines de fresques en partie épargnées par l’érosion et un Bouddha Maitreya de 27 mètres récemment restauré chapeautant le tout. Une sacrée surprise quand on débarque. La plupart des sculptures datent de la dynastie Tang, VIIè siècle, d’autres ont été façonnées sous les dynasties suivantes, jusqu’aux Qing pour les plus récentes. La balade au fond de la gorge creusée par la rivière et la grimpette le long des passerelles et des sinueux escaliers est un moment privilégié qu’on mesure sur deux kilomètres où moines et pèlerins ont lâché la bride à leur pieuse créativité pour la dévotion des marchands en route vers l’Asie centrale…
Sur les terres de lœss du fleuve Jaune, Lanzhou, capitale de la province, dresse les hautes tours de sa modernité galopante.
Difficile aujourd’hui d’y trouver les traces de cette étape sur la route de la Soie. A moins de suivre le fleuve emblématique et ses falaises rougeoyantes sur 30 km jusqu’au barrage hydroélectrique de Liujiaxia, 200 mètres de large qui retiennent les eaux en amont et permettent la remontée en bateau le long de paysages tourmentés. Le site de Bingling se découvre à une heure de là, protégé par 183 grottes creusées à même la falaise. A l’intérieur, 700 statues bouddhiques de pierre et d'argile, des centaines de fresques en partie épargnées par l’érosion et un Bouddha Maitreya de 27 mètres récemment restauré chapeautant le tout. Une sacrée surprise quand on débarque. La plupart des sculptures datent de la dynastie Tang, VIIè siècle, d’autres ont été façonnées sous les dynasties suivantes, jusqu’aux Qing pour les plus récentes. La balade au fond de la gorge creusée par la rivière et la grimpette le long des passerelles et des sinueux escaliers est un moment privilégié qu’on mesure sur deux kilomètres où moines et pèlerins ont lâché la bride à leur pieuse créativité pour la dévotion des marchands en route vers l’Asie centrale…
Cortège funéraire du Tombeau des Han (3è siècle ap. J_C)à Wuwei avec en tête le cheval volant . © Catherine Gary
Wuwei demeure aussi l’une des plus célèbres villes historiques et culturelles de Chine à deux heures seulement de Lanzhou. Le matin à la fraîche les anciens se livrent à leur gymnastique quotidienne dans les jardins publics. © Catherine Gary
Wuwei, ville d’histoire sur cette route mythique
Le vaste corridor de Hexi est la passe naturelle vers l’Ouest où la ville fut durant plusieurs dynasties une halte providentielle au sud de la Mongolie intérieure.
Wuwei demeure aussi l’une des plus célèbres villes historiques et culturelles de Chine à deux heures seulement de Lanzhou. Les gratte-ciel qui poussent comme des champignons y voisinent avec le charme rustique de rues qui ont gardé leurs traditions.
C’est là qu’il faut aller en particulier le matin à la fraîche quand les anciens se livrent à leur gymnastique quotidienne dans les jardins publics pendant que d’autres dansent à pas cadencés ou s’isolent pour jouer de leur instrument.
Dans la tombe d’un haut dignitaire de la dynastie Han, on a exhumé le “cheval céleste“ galopant dans les airs en tête d’une armée de cavaliers en bronze, son sabot arrière posé sur une aile d’hirondelle. © Catherine Gary
Sur le marché central, les fruits abondent. On y achète toutes sortes d’épices dont le très apprécié poivre du Sichuan, des abricots séchés, des fruits à foison en saison malgré le désert proche, l’irrigation compensant la sécheresse.
Dans la tombe d’un haut dignitaire de la dynastie Han, on a exhumé il n’y a pas si longtemps le fameux “cheval céleste“ galopant dans les airs en tête d’une armée de cavaliers en bronze, son sabot arrière posé sur une aile d’hirondelle. Il est devenu le symbole de la Route de la Soie et l’emblème d’une race équine développée sous les Han.
Car ce cheval accompagna jadis les caravaniers sur les routes à hauts risques en direction d’Asie centrale. Il sut aussi résister aux envahisseurs Huns forçant les frontières avant que, refoulés, ils ne déferlent sur l’Europe.
Dans la tombe d’un haut dignitaire de la dynastie Han, on a exhumé il n’y a pas si longtemps le fameux “cheval céleste“ galopant dans les airs en tête d’une armée de cavaliers en bronze, son sabot arrière posé sur une aile d’hirondelle. Il est devenu le symbole de la Route de la Soie et l’emblème d’une race équine développée sous les Han.
Car ce cheval accompagna jadis les caravaniers sur les routes à hauts risques en direction d’Asie centrale. Il sut aussi résister aux envahisseurs Huns forçant les frontières avant que, refoulés, ils ne déferlent sur l’Europe.
Au temple Baïta un lieu propice à la méditation tout en profitant des parterres de roses rouges qui ornent ce jardin de pagodes.© Catherine Gary
Au temple de Confucius, centre majeur d’études pour la formation des hauts dignitaires sous les Ming on y salue à l’entrée Confucius, l’un des trois maîtres à penser chinois cinq siècles av. J-C et les panneaux d’honneur aux caractères anciens célébrant les heureux élus sont toujours là. © Catherine Gary
Une ville de lettrés et de cultes mêlés
Dans ce bout du monde qu’est Wuwei les échanges furent prospères et le syncrétisme culturel une panacée.
La preuve au temple de Confucius, centre majeur d’études pour la formation des hauts dignitaires sous les Ming. On y salue à l’entrée Confucius, l’un des trois maîtres à penser chinois cinq siècles av. J-C., à l’origine des très sélects concours de mandarinat menant à la haute administration impériale. Les panneaux d’honneur aux caractères anciens célébrant les heureux élus sont toujours là, exposés dans l’un des pavillons et le musée attenant permet de se pencher sur d’autres trésors encore de cet âge de haute culture. Dans une autre cour, le temple du Taoisme rend hommage au second pilier de la pensée chinoise, Lao Tseu, un contemporain du précédent dont les stricts préceptes permettent l’accès le Tao, la voie directrice du monde. Enfin, au temple Baita, à la sortie de la ville, 108 stupas immaculés rappellent qu’ici ont vécu jusqu’à 1000 moines tibétains au XIIIè siècle jusqu’à ce que Godan, petit-fils de Gengis Khan, obtienne d’eux qu’ils se soumettent au Khanat mongol à la suite d’une “tractation de paix“. Le Tibet était ainsi “admis " à faire partie de la Chine… Le lieu est propice à la méditation sur le destin complexe de ce peuple tibétain tout en profitant des parterres de roses rouges qui ornent ce jardin de pagodes.
La preuve au temple de Confucius, centre majeur d’études pour la formation des hauts dignitaires sous les Ming. On y salue à l’entrée Confucius, l’un des trois maîtres à penser chinois cinq siècles av. J-C., à l’origine des très sélects concours de mandarinat menant à la haute administration impériale. Les panneaux d’honneur aux caractères anciens célébrant les heureux élus sont toujours là, exposés dans l’un des pavillons et le musée attenant permet de se pencher sur d’autres trésors encore de cet âge de haute culture. Dans une autre cour, le temple du Taoisme rend hommage au second pilier de la pensée chinoise, Lao Tseu, un contemporain du précédent dont les stricts préceptes permettent l’accès le Tao, la voie directrice du monde. Enfin, au temple Baita, à la sortie de la ville, 108 stupas immaculés rappellent qu’ici ont vécu jusqu’à 1000 moines tibétains au XIIIè siècle jusqu’à ce que Godan, petit-fils de Gengis Khan, obtienne d’eux qu’ils se soumettent au Khanat mongol à la suite d’une “tractation de paix“. Le Tibet était ainsi “admis " à faire partie de la Chine… Le lieu est propice à la méditation sur le destin complexe de ce peuple tibétain tout en profitant des parterres de roses rouges qui ornent ce jardin de pagodes.
le temple du grand bouddha couché Sakyamuni. © Catherine Gary
A l'intérieur du temple parmi les fresques et les nombreuses statues, on peut admirer le grand bouddha couché Sakyamuni, un géant polychrome du XIè siècle. © Catherine Gary
Zhangye, un défi écologique dans la ville du Bouddha couché
Sur ces terres inhospitalières, les champs cultivés font bientôt place aux éoliennes et aux lignes télégraphiques filant vers l’horizon.
Les caravansérails qui jalonnaient la route de la soie ont depuis longtemps disparu. Qu’allons-nous trouver à Zhangye, cette nouvelle étape vers l’Asie centrale ? Des bâtiments gigantesques, des grues perçant le ciel, une ville en gestation de toutes parts : la Chine est à l’œuvre dans ses provinces les plus reculées ! Mais en même temps un parc écologique hors normes y propose 15 kilomètres de balade à travers les marais, les ruisseaux, 60 millions d’arbres plantés soit 195 essences végétales et 116 espèces animales, et tout cela grâce à des aménagements pharaoniques sur la rivière Heihe… Côté patrimoine on n’est pas déçu en pénétrant dans le temple du grand bouddha couché Sakyamuni, un géant polychrome du XIè siècle, 34,5 mètres de long, des pieds dépassant les 5 mètres et les oreilles les 4 mètres. De quoi se sentir lilliputien ! On rapporte que Marco Polo, lors de son séjour dans cette ville une année durant, en resta bouche bée. Il faut contourner cette merveille pour admirer la beauté presque intacte des fresques qui couvrent les parois du temple et ses 38 statues d’Arhats en argile…
Les caravansérails qui jalonnaient la route de la soie ont depuis longtemps disparu. Qu’allons-nous trouver à Zhangye, cette nouvelle étape vers l’Asie centrale ? Des bâtiments gigantesques, des grues perçant le ciel, une ville en gestation de toutes parts : la Chine est à l’œuvre dans ses provinces les plus reculées ! Mais en même temps un parc écologique hors normes y propose 15 kilomètres de balade à travers les marais, les ruisseaux, 60 millions d’arbres plantés soit 195 essences végétales et 116 espèces animales, et tout cela grâce à des aménagements pharaoniques sur la rivière Heihe… Côté patrimoine on n’est pas déçu en pénétrant dans le temple du grand bouddha couché Sakyamuni, un géant polychrome du XIè siècle, 34,5 mètres de long, des pieds dépassant les 5 mètres et les oreilles les 4 mètres. De quoi se sentir lilliputien ! On rapporte que Marco Polo, lors de son séjour dans cette ville une année durant, en resta bouche bée. Il faut contourner cette merveille pour admirer la beauté presque intacte des fresques qui couvrent les parois du temple et ses 38 statues d’Arhats en argile…
Les roches de Danxia sont un des plus beaux attraits sur cette route de la Soie à 30 kms de Zhangye.© Catherine Gary
Le site de Binggou est l’occasion d’une balade à travers des canyons de pitons rocheux.© Catherine Gary
Paysages de Danxia, bienvenue sur mars !
Inconnue de la planète terre jusqu’à la fin du siècle dernier, la splendeur naturelle de ces paysages insoupçonnés était réservée aux seuls éleveurs de chèvres.
Depuis leur découverte, les choses ont changé. Des routes ont été tracées, des parcours fléchés sur les sites autorisés et des autocars prévus pour y mener. Mais pas grave, il faut préserver ces immensités fragiles qui attirent les touristes venus de toute la Chine, c’est dire s’ils sont nombreux. Certains même viennent y poser en costumes de mariés. Les roches de Danxia sont un des plus beaux attraits sur cette route de la Soie à 30 kms de Zhangye.
On a baptisé le premier site Montagne arc-en-ciel pour les couleurs zébrées de ses roches colorées en camaïeux de rouges, mauves, bleus, ocres, sortes de mille-feuilles formés durant 24 millions d'années à la suite des dépôts de grès , de roches sédimentaires et de minéraux. Le tout s’anime selon les heures de la journée et devient flamboyant au coucher du soleil avivé du vert des arbres qui luttent contre le vent et la poussière.
Le second site, Binggou est l’occasion d’une balade à travers des canyons de pitons rocheux, de châteaux dentelés, de falaises abruptes forgées par le cours de la rivière Livuan. De quoi laisser parler son imagination.
Depuis leur découverte, les choses ont changé. Des routes ont été tracées, des parcours fléchés sur les sites autorisés et des autocars prévus pour y mener. Mais pas grave, il faut préserver ces immensités fragiles qui attirent les touristes venus de toute la Chine, c’est dire s’ils sont nombreux. Certains même viennent y poser en costumes de mariés. Les roches de Danxia sont un des plus beaux attraits sur cette route de la Soie à 30 kms de Zhangye.
On a baptisé le premier site Montagne arc-en-ciel pour les couleurs zébrées de ses roches colorées en camaïeux de rouges, mauves, bleus, ocres, sortes de mille-feuilles formés durant 24 millions d'années à la suite des dépôts de grès , de roches sédimentaires et de minéraux. Le tout s’anime selon les heures de la journée et devient flamboyant au coucher du soleil avivé du vert des arbres qui luttent contre le vent et la poussière.
Le second site, Binggou est l’occasion d’une balade à travers des canyons de pitons rocheux, de châteaux dentelés, de falaises abruptes forgées par le cours de la rivière Livuan. De quoi laisser parler son imagination.
Binggou est l’occasion d’une balade à travers des canyons de pitons rocheux, de châteaux dentelés, de falaises abruptes forgées par le cours de la rivière Livuan.© Catherine Gary
le fort de Jiayugan, érigé au XIVè siècle, reconstruit par la suite,© Catherine Gary
Dunhuang et ses apothéoses finales !
Point stratégique sur la Route de la Soie, le fort de Jiayugan, “clé de la frontière“, protégeait l’extrémité ouest de la Grande Muraille des Ming.
Erigé au XIVè siècle, reconstruit par la suite, c’est dans ce fin fond de l’empire qu’étaient envoyés les soldats pour surveiller le désert d’où pouvaient surgir les barbares en mesurant la fuite du temps dans une attente sans fin…
Des tours crénelées, des pavillons aux toits incurvés, un mur d’enceinte intérieur, un autre pour l’extérieur, des fossés défendus par des murailles, l’ensemble, restauré, impressionne vraiment sur son fond de montagnes enneigées d’un côté et du désert Taklamakan de l’autre.
Point stratégique sur la Route de la Soie, le fort de Jiayugan, “clé de la frontière“, protégeait l’extrémité ouest de la Grande Muraille des Ming.
Erigé au XIVè siècle, reconstruit par la suite, c’est dans ce fin fond de l’empire qu’étaient envoyés les soldats pour surveiller le désert d’où pouvaient surgir les barbares en mesurant la fuite du temps dans une attente sans fin…
Des tours crénelées, des pavillons aux toits incurvés, un mur d’enceinte intérieur, un autre pour l’extérieur, des fossés défendus par des murailles, l’ensemble, restauré, impressionne vraiment sur son fond de montagnes enneigées d’un côté et du désert Taklamakan de l’autre.
A 25 km de Dunhuang arrivée devant la majestueuse porte aux 492 grottes de Mogao inscrites en 1987 au Patrimoine mondial.© OT Chine
Et c’est, deux heures de route plus loin, à 25 km de Dunhuang qu’on arrive aux 492 grottes de Mogao inscrites en 1987 au Patrimoine mondial, splendeur incontestée de cette Route de la Soie et justification à elle seule du voyage.
Creusées sur 5 étages et plus de 1600 mètres de paroi rocheuse par des communautés monastiques entre le IVè et le XIVè siècle, les grottes sont ornées de 45 000 m2 de fresques et de 3390 statues polychromes dont les plus belles ont été creusées durant la dynastie des Tang du VIIè au Xè siècle.
Certains Bouddhas et groupes de Bodhisattva et d’Arhats sont de taille impressionnante et leurs visages modelés dans la glaise puis peints de couleurs vives expriment l’évolution des styles et des croyances.
Pour leur protection, seules une dizaine de ces grottes sont ouvertes à la visite mais on ne reste pas sur sa fin, éblouis devant leur beauté, leur richesse et leur diversité. Plus de 50 000 manuscrits cachés dans une grotte murée ont été découverts et déchiffrés au début du siècle dernier dont certains se trouvent aujourd’hui au musée Guimet à Paris.
Creusées sur 5 étages et plus de 1600 mètres de paroi rocheuse par des communautés monastiques entre le IVè et le XIVè siècle, les grottes sont ornées de 45 000 m2 de fresques et de 3390 statues polychromes dont les plus belles ont été creusées durant la dynastie des Tang du VIIè au Xè siècle.
Certains Bouddhas et groupes de Bodhisattva et d’Arhats sont de taille impressionnante et leurs visages modelés dans la glaise puis peints de couleurs vives expriment l’évolution des styles et des croyances.
Pour leur protection, seules une dizaine de ces grottes sont ouvertes à la visite mais on ne reste pas sur sa fin, éblouis devant leur beauté, leur richesse et leur diversité. Plus de 50 000 manuscrits cachés dans une grotte murée ont été découverts et déchiffrés au début du siècle dernier dont certains se trouvent aujourd’hui au musée Guimet à Paris.
Un site exceptionnel : La source “en croissant de lune“ Yueya qui émerge du sable et la dune “du sable chantant“ Mingsha qui, elle, siffle sous le vent.© OT.Chine
Pour terminer ce périple, on se dirige au soleil couchant vers un autre site exceptionnel tout proche, la source “en croissant de lune“ Yueya qui émerge du sable et la dune “du sable chantant“ Mingsha qui, elle, siffle sous le vent…Rançon de son succès, le lieu est très (trop ?) fréquenté pour les balades à dos de dromadaire ou le surf sur le sable mais faisons la part des choses et partageons ce moment de pure beauté.
Catherine Gary
Catherine Gary
La caravane sur la route de la Soie; Le Temple de Confucius; Statues à Mogao; Oeuvre du musée de Lanzhou © Catherine Gary
Plus d'infos
Office de tourisme de Chine à Paris :
15 rue de Berri, 75008 Paris
Tél. : 01 56 59 10 10
www.otchine.com
Y aller :
China Airlines
Choisir son voyage :
Visiter :
Le Musée provincial du Gansu retrace l'histoire de cette province sur le Route de la Soie et expose et ses richesses : poteries peintes, étoffes en soie, statues de Bouddha… La pièce maîtresse est le 'Cheval galopant sur une hirondelle de Wuwei 'conservé ici.
Xijing XiLu, Lanzhou
Grottes de Mogao
www.mogaoku.net
Se régaler :
La cuisine du Gansu est excellente, peu grasse et très variée, en particulier à Lanzhou. En partie influencée par l’ethnie Hui connue pour ses délices de nouilles accommodées de bœuf ou d’agneau et accompagnées de toutes sortes de légumes.
Sans compter une multitude de plats en sauce très raffinés.
Office de tourisme de Chine à Paris :
15 rue de Berri, 75008 Paris
Tél. : 01 56 59 10 10
www.otchine.com
Y aller :
China Airlines
Choisir son voyage :
Visiter :
Le Musée provincial du Gansu retrace l'histoire de cette province sur le Route de la Soie et expose et ses richesses : poteries peintes, étoffes en soie, statues de Bouddha… La pièce maîtresse est le 'Cheval galopant sur une hirondelle de Wuwei 'conservé ici.
Xijing XiLu, Lanzhou
Grottes de Mogao
www.mogaoku.net
Se régaler :
La cuisine du Gansu est excellente, peu grasse et très variée, en particulier à Lanzhou. En partie influencée par l’ethnie Hui connue pour ses délices de nouilles accommodées de bœuf ou d’agneau et accompagnées de toutes sortes de légumes.
Sans compter une multitude de plats en sauce très raffinés.