A défaut de paysages grandioses, vous faites ici un plongeon dans le passé qui n’a rien à voir avec une ennuyeuse leçon d’histoire.
Car à Malte, les pierres vous parlent. La fameuse globigérine que vous foulez sur les sentiers de la garrigue et que l’on extrait encore dans les gigantesques carrières comme de grosses tranches de cake, est douce et d’une couleur dorée. Elle a permis la construction des somptueux palais qui vont vous raconter l’histoire de l’île. Et pour commencer celle de ses origines.
Car à Malte, les pierres vous parlent. La fameuse globigérine que vous foulez sur les sentiers de la garrigue et que l’on extrait encore dans les gigantesques carrières comme de grosses tranches de cake, est douce et d’une couleur dorée. Elle a permis la construction des somptueux palais qui vont vous raconter l’histoire de l’île. Et pour commencer celle de ses origines.
Vénus de Malte
Huit sites mégalithiques inscrits au Patrimoine mondial par l'Unesco
On ne sait pas grand-chose des débuts du peuplement de Malte mais nombreux, anciens et loquaces sont les témoignages du passage des hommes durant la Préhistoire.
Ce qui reste du temple de Skorba daterait de 5 200 avant J.-C. et serait antérieur de 700 ans au Cairn de Barnenez dans le Finistère, aux alignements de Carnac, au cercle de Stonehenge et aux pyramides d’Egypte ! Huit sites mégalithiques maltais sont aujourd’hui inscrits au Patrimoine mondial par l’Unesco.
Il semblerait qu’on y pratiquait, pour certains, un culte dédié à la déesse de la fertilité. Témoin la Vénus de Malte aux hanches épaisses et à la poitrine opulente trouvée sur place. La terre maltaise à cette époque était sans doute plus fertile qu’aujourd’hui…
Hagar Qim
Le temple de Hagar Qim
On accède au temple de Hagar Qim, l’un des plus impressionnants, par une jolie route bordée de caroubiers, d’eucalyptus et oliviers. La terre est sèche en cette fin d’été et n’évitez pas un petit tour au musée, remarquable et frais. Il donne une idée des interprétations et datations successives données à ces lieux, les dernières les estimant vieux de 3 800 ans av. J-C. Les vestiges sont surprenants. On se glisse sous la voûte cyclopéenne de ce temple concave fait d’imposants blocs verticaux. Comment les hissa-t-on jusqu’à cette hauteur ? A quoi servait cet orifice creusé dans une pierre du vestibule ? A l’oracle sans doute censé transmettre la voix des dieux… De nombreuses questions restent sans réponse. Plusieurs salles se succèdent, des autels, des bas-reliefs taillés dans la pierre. Des gravures qui remontent à la nuit de nos temps.
On accède au temple de Hagar Qim, l’un des plus impressionnants, par une jolie route bordée de caroubiers, d’eucalyptus et oliviers. La terre est sèche en cette fin d’été et n’évitez pas un petit tour au musée, remarquable et frais. Il donne une idée des interprétations et datations successives données à ces lieux, les dernières les estimant vieux de 3 800 ans av. J-C. Les vestiges sont surprenants. On se glisse sous la voûte cyclopéenne de ce temple concave fait d’imposants blocs verticaux. Comment les hissa-t-on jusqu’à cette hauteur ? A quoi servait cet orifice creusé dans une pierre du vestibule ? A l’oracle sans doute censé transmettre la voix des dieux… De nombreuses questions restent sans réponse. Plusieurs salles se succèdent, des autels, des bas-reliefs taillés dans la pierre. Des gravures qui remontent à la nuit de nos temps.
Chevaliers de l'Ordre de Malte à la Cathédrale St-Jean
La Valette, reflet de l’âge d’or de Malte et de ses Chevaliers
Mais la grande époque de Malte c’est, bien sûr, celle des Chevaliers. Non pas que rien d’important ne se passe ici avant : comme sur toutes les côtes méditerranéennes, Phéniciens, Carthaginois et Romains se disputent successivement cette île si bien dressée en Méditerranée. Un sémaphore entre Orient et Occident et une possibilité d’escale et de contrôle à défaut de comptoir commercial. On dit même que l’apôtre Saint Paul y séjourna quelques jours à la suite d’un naufrage. Pas suffisamment cependant pour y prêcher ses épîtres… Et puis, c’est au tour des Arabes, des Aragonais et des Castillans… En 1530, Charles Quint a la bonne idée de céder Malte à l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem et commence alors la véritable prospérité. Ces chevaliers ne sont certes pas nés d’hier quand ils trouvent refuge sur l’île. Leur ordre, à la fois militaire et religieux, est créé à Jérusalem au milieu du XIè siècle afin d’accueillir et de soigner les pèlerins qui affluent de partout pour se recueillir sur le tombeau du Christ. D’abord chassés de Saint-Jean d’Acre par les musulmans, ils s’installent à Chypre puis à Rhodes où Soliman le Magnifique les déloge une nouvelle fois. L’offre providentielle de la couronne d’Espagne leur permet de s’installer enfin durablement sur l’île pendant presque 3 siècles sous le nom de Chevaliers de Malte, le temps d’y laisser de belles traces. Jusqu’en 1798, date fatale où l’incontournable Napoléon s’empare de Malte…
Mais la grande époque de Malte c’est, bien sûr, celle des Chevaliers. Non pas que rien d’important ne se passe ici avant : comme sur toutes les côtes méditerranéennes, Phéniciens, Carthaginois et Romains se disputent successivement cette île si bien dressée en Méditerranée. Un sémaphore entre Orient et Occident et une possibilité d’escale et de contrôle à défaut de comptoir commercial. On dit même que l’apôtre Saint Paul y séjourna quelques jours à la suite d’un naufrage. Pas suffisamment cependant pour y prêcher ses épîtres… Et puis, c’est au tour des Arabes, des Aragonais et des Castillans… En 1530, Charles Quint a la bonne idée de céder Malte à l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem et commence alors la véritable prospérité. Ces chevaliers ne sont certes pas nés d’hier quand ils trouvent refuge sur l’île. Leur ordre, à la fois militaire et religieux, est créé à Jérusalem au milieu du XIè siècle afin d’accueillir et de soigner les pèlerins qui affluent de partout pour se recueillir sur le tombeau du Christ. D’abord chassés de Saint-Jean d’Acre par les musulmans, ils s’installent à Chypre puis à Rhodes où Soliman le Magnifique les déloge une nouvelle fois. L’offre providentielle de la couronne d’Espagne leur permet de s’installer enfin durablement sur l’île pendant presque 3 siècles sous le nom de Chevaliers de Malte, le temps d’y laisser de belles traces. Jusqu’en 1798, date fatale où l’incontournable Napoléon s’empare de Malte…
Port de la Valette
Le plus beau port naturel du monde
Pour une vue d’ensemble sur La Valette, le “plus beau port naturel du monde“, montez dès l’arrivée aux Jardins d’Upper Baracca.
En face de vous, sur les rives opposées, les “Trois Cités“, cet ensemble formé par Vittoriosa, Senglea, Cospicua, soudées par des fortifications communes mais séparées par des rades en eaux profondes. Un site stratégique impressionnant pour la défense de l’île et l’ancrage des bateaux. Au coucher du soleil, quand la pierre se colore, le Fort Saint-Ange de Vittoriosa, les anciens remparts, les coupoles des églises, les vieux quartiers, les bateaux qui laissent leur sillage sur la mer…forment sans doute le plus beau spectacle de Malte.
Pour une vue d’ensemble sur La Valette, le “plus beau port naturel du monde“, montez dès l’arrivée aux Jardins d’Upper Baracca.
En face de vous, sur les rives opposées, les “Trois Cités“, cet ensemble formé par Vittoriosa, Senglea, Cospicua, soudées par des fortifications communes mais séparées par des rades en eaux profondes. Un site stratégique impressionnant pour la défense de l’île et l’ancrage des bateaux. Au coucher du soleil, quand la pierre se colore, le Fort Saint-Ange de Vittoriosa, les anciens remparts, les coupoles des églises, les vieux quartiers, les bateaux qui laissent leur sillage sur la mer…forment sans doute le plus beau spectacle de Malte.
Auberge de Castille
Palais et églises jalonnent les rues très animées
La meilleure façon de découvrir cette ville-forteresse est de la parcourir à pied.
Vous serez surpris par ses ruelles et avenues rectilignes formant de véritables montagnes russes épousant les reliefs des rochers sur lesquels La Valette est perchée, une balade excellente pour les adeptes de la marche sportive … Vous êtes ici dans la première cité d’Europe réalisée à partir de plans et de tracés. Un urbanisme conçu de toutes pièces et pour l’ensemble de la ville. Une “ville nouvelle“ en somme pour l’époque. Cette réussite on la doit au grand maître de l’Ordre, Jean Parisot de la Valette, et à la belle pierre de globigérine qui a fait transpirer des milliers d’esclaves et des ouvriers venus de Sicile. Il s’agissait, en 1566, d’ériger une forteresse imprenable par les Turcs. Et en effet, ils eurent beau l’assiéger, ils ne la prirent jamais. Les Chevaliers s’enrichirent au cours des siècles et, de militaires et religieux qu’ils étaient, devinrent de véritables princes à la vie vouée aux arts et aux plaisirs. D’où les nombreux palais des Maîtres, appelés ici Auberges, qui accueillaient les membres de l’Ordre de Malte selon leur origine géographique.
Parmi elles, la plus belle sans doute est l’ancienne auberge de Castille et Léon, en haut de la rue des Marchands. Mais il faut aussi remarquer les façades de style Renaissance des Auberges d’Italie, de Provence, de Bavière… Au total, une quinzaine de bâtiments voués aujourd’hui à d’autres occupants.
La meilleure façon de découvrir cette ville-forteresse est de la parcourir à pied.
Vous serez surpris par ses ruelles et avenues rectilignes formant de véritables montagnes russes épousant les reliefs des rochers sur lesquels La Valette est perchée, une balade excellente pour les adeptes de la marche sportive … Vous êtes ici dans la première cité d’Europe réalisée à partir de plans et de tracés. Un urbanisme conçu de toutes pièces et pour l’ensemble de la ville. Une “ville nouvelle“ en somme pour l’époque. Cette réussite on la doit au grand maître de l’Ordre, Jean Parisot de la Valette, et à la belle pierre de globigérine qui a fait transpirer des milliers d’esclaves et des ouvriers venus de Sicile. Il s’agissait, en 1566, d’ériger une forteresse imprenable par les Turcs. Et en effet, ils eurent beau l’assiéger, ils ne la prirent jamais. Les Chevaliers s’enrichirent au cours des siècles et, de militaires et religieux qu’ils étaient, devinrent de véritables princes à la vie vouée aux arts et aux plaisirs. D’où les nombreux palais des Maîtres, appelés ici Auberges, qui accueillaient les membres de l’Ordre de Malte selon leur origine géographique.
Parmi elles, la plus belle sans doute est l’ancienne auberge de Castille et Léon, en haut de la rue des Marchands. Mais il faut aussi remarquer les façades de style Renaissance des Auberges d’Italie, de Provence, de Bavière… Au total, une quinzaine de bâtiments voués aujourd’hui à d’autres occupants.
Fontaine avec Croix de Malte
La Croix de Malte dans tous ses états
Dans l’artère principale, le long des élégantes boutiques de la rue de la République, l’animation est incessante.
Vitrines de mode, bijouteries déclinant la croix de Malte dans tous les styles et toutes les matières, épiceries fines où trônent les spécialités locales : poulpes farcis, tourtes à la daurade, tarte de potiron ou d’épinards à la ricotta : de vrais délices… A chaque coin de rue, une statue veille sur les passants et la brise marine circulant dans les ruelles transversales adoucie la chaleur ambiante.
Deux choix à faire comprendre l’histoire de Malte.
En premier, il faut se rendre au Palais des Grands Maîtres ; ensuite à la co-cathédrale. Le palais contient quelques trésors uniques, dont le document qui officialise l’Ordre en 1113, lui donnant comme seule autorité celle du pape, ainsi que le document par lequel Charles Quint lui concède l’île “en usufruit perpétuel“. La Chambre du Conseil renferme une extraordinaire collection de tapisseries des Gobelins connues sous le nom de “Tentures des Indes“. Elles représentent des scènes exotiques dans lesquelles toute ressemblance de certains animaux exotiques avec la réalité est souvent fortuite : l’Orient est encore bien loin…
Dans l’artère principale, le long des élégantes boutiques de la rue de la République, l’animation est incessante.
Vitrines de mode, bijouteries déclinant la croix de Malte dans tous les styles et toutes les matières, épiceries fines où trônent les spécialités locales : poulpes farcis, tourtes à la daurade, tarte de potiron ou d’épinards à la ricotta : de vrais délices… A chaque coin de rue, une statue veille sur les passants et la brise marine circulant dans les ruelles transversales adoucie la chaleur ambiante.
Deux choix à faire comprendre l’histoire de Malte.
En premier, il faut se rendre au Palais des Grands Maîtres ; ensuite à la co-cathédrale. Le palais contient quelques trésors uniques, dont le document qui officialise l’Ordre en 1113, lui donnant comme seule autorité celle du pape, ainsi que le document par lequel Charles Quint lui concède l’île “en usufruit perpétuel“. La Chambre du Conseil renferme une extraordinaire collection de tapisseries des Gobelins connues sous le nom de “Tentures des Indes“. Elles représentent des scènes exotiques dans lesquelles toute ressemblance de certains animaux exotiques avec la réalité est souvent fortuite : l’Orient est encore bien loin…
détail plafond de la sacristie
La Cathédrale de l'île se trouve à Mdina
La co-cathédrale, (un statut exceptionnel délivré à l’Ordre par le pape, puisque la cathédrale de l’île de trouve à Mdina, la ville voisine) est une des pièces majeures de la ville tant sur le plan historique qu’architectural.
Tout en découvrant la somptuosité de l’intérieur dont les hauts murs sont couverts de croix de Malte, vous marchez sur les nombreuses tombes où sont enterrés les Chevaliers, en marbre rouge, blanc, noir également recouvertes de leurs armoiries. « Vous qui marchez sur les morts, rappelez-vous qu’un jour on marchera sur vous » prévient une inscription à l’entrée en guise de mise en ambiance… Dans la sacristie : un chef d’œuvre du Caravage : La décollation de Saint Jean Baptiste, le patron de l’Ordre, dont la facture en clair-obscur dramatise la scène.
La co-cathédrale, (un statut exceptionnel délivré à l’Ordre par le pape, puisque la cathédrale de l’île de trouve à Mdina, la ville voisine) est une des pièces majeures de la ville tant sur le plan historique qu’architectural.
Tout en découvrant la somptuosité de l’intérieur dont les hauts murs sont couverts de croix de Malte, vous marchez sur les nombreuses tombes où sont enterrés les Chevaliers, en marbre rouge, blanc, noir également recouvertes de leurs armoiries. « Vous qui marchez sur les morts, rappelez-vous qu’un jour on marchera sur vous » prévient une inscription à l’entrée en guise de mise en ambiance… Dans la sacristie : un chef d’œuvre du Caravage : La décollation de Saint Jean Baptiste, le patron de l’Ordre, dont la facture en clair-obscur dramatise la scène.
Pêcheurs au port de Marsaxlokk
La vie typique des pêcheurs de la côte
C’est à Marsaxlokk qu’il faut aller pour sentir vibrer l’âme populaire de l’île.
Un village particulièrement pittoresque qui s’étire sur la mer et qui offre de paisibles promenades parmi les lauriers et les palmiers. Tous les dimanches matin se tient le long des quais de ce petit port de pêche un marché très coloré. Les étals de poissons frais pêchés se mélangent aux légumes et aux fruits des jardins, à la bimbeloterie et aux stands de vêtements. Un vrai bazar au soleil ! Les touristes , mêlés à la population locale venue des quatre coins de l’île, se faufilent dans les travées pour acheter quelques souvenirs, des tomates séchées, des câpres, du miel ou des amandes. L’heure du déjeuner approchant, de nombreuses terrasses situées près des quais les accueillent où chacun peut se régaler de poissons grillés avec en prime le spectacle coloré des bateaux amarrés à proximité. Ces derniers, peints de couleurs vives ont la proue ornée d’un œil sculpté, qui selon les rites et traditions de l’île, les protège contre tous les dangers. Et puis, si le temps le permet, ne passez pas à côté du plaisir d’un plongeon dans les eaux limpides de Peter’s Pool et Hofra en longeant la côte par l’est : les rochers y sont lisses, l’eau limpide et revigorante…
CG
C’est à Marsaxlokk qu’il faut aller pour sentir vibrer l’âme populaire de l’île.
Un village particulièrement pittoresque qui s’étire sur la mer et qui offre de paisibles promenades parmi les lauriers et les palmiers. Tous les dimanches matin se tient le long des quais de ce petit port de pêche un marché très coloré. Les étals de poissons frais pêchés se mélangent aux légumes et aux fruits des jardins, à la bimbeloterie et aux stands de vêtements. Un vrai bazar au soleil ! Les touristes , mêlés à la population locale venue des quatre coins de l’île, se faufilent dans les travées pour acheter quelques souvenirs, des tomates séchées, des câpres, du miel ou des amandes. L’heure du déjeuner approchant, de nombreuses terrasses situées près des quais les accueillent où chacun peut se régaler de poissons grillés avec en prime le spectacle coloré des bateaux amarrés à proximité. Ces derniers, peints de couleurs vives ont la proue ornée d’un œil sculpté, qui selon les rites et traditions de l’île, les protège contre tous les dangers. Et puis, si le temps le permet, ne passez pas à côté du plaisir d’un plongeon dans les eaux limpides de Peter’s Pool et Hofra en longeant la côte par l’est : les rochers y sont lisses, l’eau limpide et revigorante…
CG
Entrée dans la Valette
Pratique
L’euro est la monnaie officielle depuis 2008
office national du Tourisme de Malte
www.visitmalta.com
Y aller :
En avion : vols réguliers Air Malta le jeudi, samedi et dimanche.
www.airmalta.com
Sur place :
FRAM propose un séjour de 7 nuits, hébergement, petit-déjeuner. Vol de Paris
Pour un départ entre le 3 novembre et le 17 décembre, prix : 473 € TTC
Et un week-end de 3 nuits du jeudi au dimanche, prix : 389 € TTC
Réservations sur www.fram.fr et au 0826 46 37 27
Se loger :
L’hôtel Dolmen Resort & Spa est bâti en bord de mer autour d'un site mégalithique avec une vue exceptionnelle sur la baie de Saint-Paul.
L’hôtel Cavalieri offre une situation unique en avancée sur la mer sur la baie de St Julian's, à proximité du quartier où se pressent les Maltais le soir pour boire un verre
L'hôtel Impérial 3*, adresse de charme, est un ancien relais de chasse de 1865, à l'architecture raffinée et à l'atmosphère reposante. Idéal à tous points de vue, pour un séjour à dominante culturelle.
Lire
Le Petit Futé 2011-2012 (avec CD joint) vous donne toutes infos utiles sur le plan pratique et culturel.
L’euro est la monnaie officielle depuis 2008
office national du Tourisme de Malte
www.visitmalta.com
Y aller :
En avion : vols réguliers Air Malta le jeudi, samedi et dimanche.
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Sur place :
FRAM propose un séjour de 7 nuits, hébergement, petit-déjeuner. Vol de Paris
Pour un départ entre le 3 novembre et le 17 décembre, prix : 473 € TTC
Et un week-end de 3 nuits du jeudi au dimanche, prix : 389 € TTC
Réservations sur www.fram.fr et au 0826 46 37 27
Se loger :
L’hôtel Dolmen Resort & Spa est bâti en bord de mer autour d'un site mégalithique avec une vue exceptionnelle sur la baie de Saint-Paul.
L’hôtel Cavalieri offre une situation unique en avancée sur la mer sur la baie de St Julian's, à proximité du quartier où se pressent les Maltais le soir pour boire un verre
L'hôtel Impérial 3*, adresse de charme, est un ancien relais de chasse de 1865, à l'architecture raffinée et à l'atmosphère reposante. Idéal à tous points de vue, pour un séjour à dominante culturelle.
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