chutes de Niagara
Le grondement enfle au rythme des pas alors que le fleuve gagne en puissance. Au bout du chemin, le spectacle est à la hauteur de toutes ses promesses. L’eau se jette brusquement d’une longue falaise, pour former trois chutes, considérées parmi les plus célèbres de la planète. Le grondement devient rugissement alors qu’une brume blanche s’élève, ajoutant à la force des lieux. Une foule s’est rassemblée pour apprécier ce déchainement de la nature, face aux buildings de Niagara, petite ville aux airs de fête foraine. A la frontière de l’état de New York et de l’Ontario, à moins de deux heures de route de Toronto, le site est devenu le point de passage de nombre de voyageurs. Certains n’hésitent pas à « immortaliser » leur séjour par une lune de miel, voire un mariage. Couvert de sacs bleus étanches, un flot de touristes part régulièrement en bateau à l’assaut de cette formidable masse d’eau qui s’écrase dans le fleuve après un saut de 80 mètres. Les esprits grincheux y trouveront un incontestable côté commercial et une exploitation outrancière d’une merveille naturelle, mais la magie est bien au rendez-vous. Il suffit d’ailleurs de s’écarter un peu de la commune pour retrouver toute l’harmonie de ce lieu d’exception.
un déjeuner canadien (C.photo Alain Prévost)
Dans les Cantons de l’Est
La route se poursuit en longeant le lac Ontario puis la rivière Lawrence et l’état de New York jusqu’à la frontière du Québec. C’est un fleuve mythique qui prend le relais, le Saint-Laurent, tandis que les premiers immeubles de Montréal apparaissent au loin. Si la langue française s’impose ici, l’accent, les douceurs au sirop d’érable et autres spécialités locales, ou encore l’architecture aux influences anglo-saxonnes, rappellent que la province canadienne a développé une identité originale, souvent plus proche de l’Amérique que de la vieille Europe. En continuant sa route dans les Cantons de l’Est, la culture, les traditions et les subtilités de la langue se révèlent un peu plus. Pour les plus téméraires, c’est l’occasion de goûter une poutine (frites au fromage et à la sauce brune), ou, pour les gourmands et gourmets, de déguster une tourtière accompagnée d’un vin local, un filet mignon de Caribou ou une tarte au sucre.
La route se poursuit en longeant le lac Ontario puis la rivière Lawrence et l’état de New York jusqu’à la frontière du Québec. C’est un fleuve mythique qui prend le relais, le Saint-Laurent, tandis que les premiers immeubles de Montréal apparaissent au loin. Si la langue française s’impose ici, l’accent, les douceurs au sirop d’érable et autres spécialités locales, ou encore l’architecture aux influences anglo-saxonnes, rappellent que la province canadienne a développé une identité originale, souvent plus proche de l’Amérique que de la vieille Europe. En continuant sa route dans les Cantons de l’Est, la culture, les traditions et les subtilités de la langue se révèlent un peu plus. Pour les plus téméraires, c’est l’occasion de goûter une poutine (frites au fromage et à la sauce brune), ou, pour les gourmands et gourmets, de déguster une tourtière accompagnée d’un vin local, un filet mignon de Caribou ou une tarte au sucre.
des sites épargnés par l'homme (C.Photo Alain Prévost)
Des villages encore épargnés par l’homme
A moins de trois heure à l’Est de la capital du Québec, le lac Mégantic surgit, offrant son immensité bleutée dominée, au loin, par les Appalaches et le Mont Gosford qui s’élève à près de 1200 mètres. Des villages pittoresques ponctuent ses berges encore relativement épargnées par l’homme, occasion d’une halte, d’une baignade ou autre excursion. A la nuit tombée, le cri des huards rappelle la dimension sauvage de la région où les parcs naturels abritent encore orignaux, ours et autres animaux sauvages. L’hiver, la nature se transforme. Le lac se drape de glace et la neige se glisse dans la forêt. Un autre monde se dessine.
A moins de trois heure à l’Est de la capital du Québec, le lac Mégantic surgit, offrant son immensité bleutée dominée, au loin, par les Appalaches et le Mont Gosford qui s’élève à près de 1200 mètres. Des villages pittoresques ponctuent ses berges encore relativement épargnées par l’homme, occasion d’une halte, d’une baignade ou autre excursion. A la nuit tombée, le cri des huards rappelle la dimension sauvage de la région où les parcs naturels abritent encore orignaux, ours et autres animaux sauvages. L’hiver, la nature se transforme. Le lac se drape de glace et la neige se glisse dans la forêt. Un autre monde se dessine.
Le Gibard
Balade avec les baleines
En remontant au nord, le long du Saint-Laurent, le village de Tadoussac apparaît au cœur d’un vallon. Avec ses quatre siècles d’existence, ce bastion de l'histoire de la colonisation de la Nouvelle France est aujourd’hui réputé pour les baleines qui viennent chaque année en été près de ses côtes. Mais aussi pour son charme et la beauté de la rivière Saguenay qui coule dans une ancienne vallée glaciaire. L’ambiance y est décontractée avec des étapes de choix, simples mais accueillantes, comme l’Auberge de jeunesse ou le Gibard, un café bar où des spectacles sont organisés tout au long de l’année, même au cœur de l’hiver quand les touristes ont déserté les lieux. Dans la baie juste en face, on aperçoit parfois des bélugas dont le dos blanc se découpe sur l’eau du Saint-Laurent. Nancy Guay, l’une des trois responsables du Gibard, a su redonner une belle note colorée et vivante à ce site populaire depuis des décennies mais qui tombait peu à peu dans l’oubli depuis la disparition de son ancien propriétaire. Au programme : bonne humeur, sourire, musique, boissons et snacks que se partagent locaux comme touristes. Un endroit bien québécois où se détendre après une virée sur le Saint-Laurent !
PC.
En remontant au nord, le long du Saint-Laurent, le village de Tadoussac apparaît au cœur d’un vallon. Avec ses quatre siècles d’existence, ce bastion de l'histoire de la colonisation de la Nouvelle France est aujourd’hui réputé pour les baleines qui viennent chaque année en été près de ses côtes. Mais aussi pour son charme et la beauté de la rivière Saguenay qui coule dans une ancienne vallée glaciaire. L’ambiance y est décontractée avec des étapes de choix, simples mais accueillantes, comme l’Auberge de jeunesse ou le Gibard, un café bar où des spectacles sont organisés tout au long de l’année, même au cœur de l’hiver quand les touristes ont déserté les lieux. Dans la baie juste en face, on aperçoit parfois des bélugas dont le dos blanc se découpe sur l’eau du Saint-Laurent. Nancy Guay, l’une des trois responsables du Gibard, a su redonner une belle note colorée et vivante à ce site populaire depuis des décennies mais qui tombait peu à peu dans l’oubli depuis la disparition de son ancien propriétaire. Au programme : bonne humeur, sourire, musique, boissons et snacks que se partagent locaux comme touristes. Un endroit bien québécois où se détendre après une virée sur le Saint-Laurent !
PC.
Y aller
Avec des tarifs parmi les plus compétitifs du marché, Air Transat dessert Toronto, Montréal et Québec au départ de Paris en classes éco ou club. Vols également au départ de province.
www.airtransat.fr/
Découvrir
Plusieurs TO sont des spécialistes du Canada. Vacances Transat, voyagiste n°1 sur la destination et spécialiste du circuit sous toutes ses formes, propose, par exemple, un circuit individuel "De Niagara à Tadoussac" (11 jours / 10 nuits) ou encore, cet hiver, un circuit individuel "Diversité canadienne" (10 jours / 8 nuits) à partir de 1590 € TTC par personne en chambre double. Cet autotour hivernal permet de découvrir les « must » de l’Est canadien en alternant régions anglophones (Toronto, Niagara, Ottawa) et francophones (Montréal, Mauricie, Québec…).
Visa : Aucun visa nécessaire (pour les Français) pour un séjour de moins de trois mois
Monnaie : dollar canadien – 1 can$ = 0,70 euro environ
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Visa : Aucun visa nécessaire (pour les Français) pour un séjour de moins de trois mois
Monnaie : dollar canadien – 1 can$ = 0,70 euro environ
Les chutes de Niagara