Le Mont Saint-Michel et la baie (photo André Degon)
Mont Saint-Michel, autour de la baie
Loin de tout, entre sable et ciel, la balade autour du Mont Saint-Michel peut se faire au départ du Bec d’Andaine à Genêts, à l’Est de la baie. C’est sans doute la plus belle, avec une approche du mont par le rocher de Tombelaine.Mais la randonnée dure cinq heures, aller et retour. L’autre, celle que nous avons pratiquée, propose un départ du mont vers Tombelaine et retour. Comptez 2h30. Dans tous les cas, la promenade se fait avec un guide. Il est hors de question de partir seul, le nez au vent. Première chose, il s’agit de respecter les marées et d’être prudent. Mais ça, Patrick le guide connait. Normal, depuis le temps qu’il accompagne les visiteurs.
Loin de tout, entre sable et ciel, la balade autour du Mont Saint-Michel peut se faire au départ du Bec d’Andaine à Genêts, à l’Est de la baie. C’est sans doute la plus belle, avec une approche du mont par le rocher de Tombelaine.Mais la randonnée dure cinq heures, aller et retour. L’autre, celle que nous avons pratiquée, propose un départ du mont vers Tombelaine et retour. Comptez 2h30. Dans tous les cas, la promenade se fait avec un guide. Il est hors de question de partir seul, le nez au vent. Première chose, il s’agit de respecter les marées et d’être prudent. Mais ça, Patrick le guide connait. Normal, depuis le temps qu’il accompagne les visiteurs.
1/Dans le sac à dos du guide, une trousse de secours, une corde flottante, un GPS, une radio, un téléphone portable, une fusée à main et un couteau 2/ La Chapelle Saint-Aubert,promontoire 3/ Le rocher de Tombelaine (Photos André Degon)
Au cœur de la baie
Après avoir contourné le mont, chacun dépose ses chaussures au pied de la chapelle Saint-Aubert (style roman, XIIe siècle), comme à l’entrée d’une mosquée, avant de descendre vers le sable. Un peu vaseux autour du mont, il glisse, froid, entre les orteils pour donner aux pieds une couleur grise du plus bel effet. Au loin le rocher de Tombelaine semble garder le mont. Et pourtant ce morceau de granit de 240 millions d’années fut du haut de ses 45 mètres une ancienne forteresse anglaise pendant la Guerre de Cent ans avant d’être détruite sous Louis XIV. Après avoir failli devenir une résidence touristique, Tombelaine fut racheté par l’Etat en 1933 et classé monument historique. L’îlot abrite désormais une réserve ornithologique. Chaque année, au printemps, goélands, aigrettes, hérons garde-bœufs envahissent le rocher pour y nicher. Au total plus de sept cent couples d’oiseaux viennent s’y reproduire. Au fur et à mesure que l’on avance, le sable change plusieurs fois de consistance. Tour à tour dur ou mou, fin ou cristallin. Ca et là, des flaques d’eau, tels des points brillants, reflètent l’éclat d’un soleil qui joue à cache-cache avec des nuages un peu fripons et imprévisibles offrant au marcheur des lumières changeantes. Derrière nous le mont diminue de taille, devant, l’immensité de la baie. Après avoir traversé le Couesnon qui divague entre les bancs et une autre rivière, la Sélune barre le chemin vers Tombelaine. Patrick le guide s’avance le premier avec de l’eau à mi-cuisse. Le passage une fois sécurisé, il nous invite à le suivre. C’est que les sables mouvants ne sont pas une légende.
Après avoir contourné le mont, chacun dépose ses chaussures au pied de la chapelle Saint-Aubert (style roman, XIIe siècle), comme à l’entrée d’une mosquée, avant de descendre vers le sable. Un peu vaseux autour du mont, il glisse, froid, entre les orteils pour donner aux pieds une couleur grise du plus bel effet. Au loin le rocher de Tombelaine semble garder le mont. Et pourtant ce morceau de granit de 240 millions d’années fut du haut de ses 45 mètres une ancienne forteresse anglaise pendant la Guerre de Cent ans avant d’être détruite sous Louis XIV. Après avoir failli devenir une résidence touristique, Tombelaine fut racheté par l’Etat en 1933 et classé monument historique. L’îlot abrite désormais une réserve ornithologique. Chaque année, au printemps, goélands, aigrettes, hérons garde-bœufs envahissent le rocher pour y nicher. Au total plus de sept cent couples d’oiseaux viennent s’y reproduire. Au fur et à mesure que l’on avance, le sable change plusieurs fois de consistance. Tour à tour dur ou mou, fin ou cristallin. Ca et là, des flaques d’eau, tels des points brillants, reflètent l’éclat d’un soleil qui joue à cache-cache avec des nuages un peu fripons et imprévisibles offrant au marcheur des lumières changeantes. Derrière nous le mont diminue de taille, devant, l’immensité de la baie. Après avoir traversé le Couesnon qui divague entre les bancs et une autre rivière, la Sélune barre le chemin vers Tombelaine. Patrick le guide s’avance le premier avec de l’eau à mi-cuisse. Le passage une fois sécurisé, il nous invite à le suivre. C’est que les sables mouvants ne sont pas une légende.
1/ Le guide Patrick entraîne les touristes vers le Mont 2/ Les touristes entourent le guide avant la balade 3/ Le sable gris de la baie (photos André Degon)
Les sables mouvants
Les sables mouvants sont un empilement fragile de grains de sable stabilisés par des particules d’argile. Une légère pression suffit à détruire l’ensemble. Les grains s’effondrent les uns sur les autres. Les particules d’argiles se collent entre elles et ne stabilisent plus l’ensemble. L’eau, plus légère, remonte. Le mélange sable-argile forme une pâte très compacte dont il est très difficile de s’extraire. Le piège se referme. Mais rassurez-vous, contrairement au mythe, on ne peut pas se noyer dans un sable mouvant car sa densité est plus élevée que celle du corps humain et la poussée d’Archimède nous apprend que l’on ne peut pas se noyer dans un milieu plus dense que soi. Le seul problème, les sables agissent comme un ciment et il est très difficile de s’en extraire. Nous en avons fait l’expérience, enfoncé à la hauteur du genou. Une aide extérieure fut nécessaire pour nous dégager. Alors le mythe ? Sans doute vient-il de ce que certaines personnes prises dans les sables de la baie furent dans l’impossibilité de se dégager à marée montante.
Les sables mouvants sont un empilement fragile de grains de sable stabilisés par des particules d’argile. Une légère pression suffit à détruire l’ensemble. Les grains s’effondrent les uns sur les autres. Les particules d’argiles se collent entre elles et ne stabilisent plus l’ensemble. L’eau, plus légère, remonte. Le mélange sable-argile forme une pâte très compacte dont il est très difficile de s’extraire. Le piège se referme. Mais rassurez-vous, contrairement au mythe, on ne peut pas se noyer dans un sable mouvant car sa densité est plus élevée que celle du corps humain et la poussée d’Archimède nous apprend que l’on ne peut pas se noyer dans un milieu plus dense que soi. Le seul problème, les sables agissent comme un ciment et il est très difficile de s’en extraire. Nous en avons fait l’expérience, enfoncé à la hauteur du genou. Une aide extérieure fut nécessaire pour nous dégager. Alors le mythe ? Sans doute vient-il de ce que certaines personnes prises dans les sables de la baie furent dans l’impossibilité de se dégager à marée montante.
Le couesnon, le barrage et le Mont (Photo Thomas Jouanneau-Signat)
Retour à la civilisation
En face, à quelques encablures, le mont, à l’ouest la baie et la mer à une dizaine de kilomètres qui attend son heure pour revenir. C’est ici qu’ont lieu les plus grandes marées d’Europe, jusqu’à 15 mètres de différence entre basses et hautes eaux. Avant la construction de la digue-route au XIXe siècle, les pèlerins attendaient les basses eaux pour traverser cette baie qui au plus large mesure 500 km2 et s’étend de la Pointe du Roc à Granville à la Pointe du Grouin à Cancale, de la Normandie à la Bretagne.
A l’époque de l’an mille le culte de Saint Michel était très vivace. Au XIe siècle, une nouvelle abbatiale fut édifiée pour mieux accueillir les fidèles. On venait de toute l’Europe. Comme aujourd’hui sans doute, mais plus pour la beauté du lieu. En reprenant pied sur le mont, sous la chapelle Saint-Aubert, on retrouve la foule des touristes et la « civilisation ». C’est aussi pour eux qu’ont été entrepris ces travaux destinés redonner au mont l’aspect qu’il avait au Moyen-âge, celui d’une île.
En face, à quelques encablures, le mont, à l’ouest la baie et la mer à une dizaine de kilomètres qui attend son heure pour revenir. C’est ici qu’ont lieu les plus grandes marées d’Europe, jusqu’à 15 mètres de différence entre basses et hautes eaux. Avant la construction de la digue-route au XIXe siècle, les pèlerins attendaient les basses eaux pour traverser cette baie qui au plus large mesure 500 km2 et s’étend de la Pointe du Roc à Granville à la Pointe du Grouin à Cancale, de la Normandie à la Bretagne.
A l’époque de l’an mille le culte de Saint Michel était très vivace. Au XIe siècle, une nouvelle abbatiale fut édifiée pour mieux accueillir les fidèles. On venait de toute l’Europe. Comme aujourd’hui sans doute, mais plus pour la beauté du lieu. En reprenant pied sur le mont, sous la chapelle Saint-Aubert, on retrouve la foule des touristes et la « civilisation ». C’est aussi pour eux qu’ont été entrepris ces travaux destinés redonner au mont l’aspect qu’il avait au Moyen-âge, celui d’une île.
A pleine mer le barrage ouvre ses huit vannes pour remplir d'eau le Couesnon. A marée basse les vannes seront ouvertes pour laisser passer l'eau qui drainera les fonds (photo D.R.)
Quand le mont sera une île
Inscrit depuis 1979 avec la baie au patrimoine mondial de l’Unesco, le mont était en train de s’envaser, chaque marée apportant son lot d’alluvions, phénomène largement amplifié par la présence de la digue-route construite en 1879 pour accéder au rocher. C’est en 1995 que les autorités prirent conscience du danger et décidèrent d’enrayer cet envasement. Les travaux s’articulent autour de deux axes pour rendre son insularité au mont : permettre au Couesnon de retrouver la force de charrier les alluvions vers la mer et remplacer la digue-route par une passerelle sur pilotis. C’est ainsi que fut mis en chantier un barrage sur le Couesnon capable de permettre à la rivière de retrouver son rôle de « chasse » afin d’évacuer vers le large des millions de mètres cube d’eau et par la même de drainer les sédiments.
Inscrit depuis 1979 avec la baie au patrimoine mondial de l’Unesco, le mont était en train de s’envaser, chaque marée apportant son lot d’alluvions, phénomène largement amplifié par la présence de la digue-route construite en 1879 pour accéder au rocher. C’est en 1995 que les autorités prirent conscience du danger et décidèrent d’enrayer cet envasement. Les travaux s’articulent autour de deux axes pour rendre son insularité au mont : permettre au Couesnon de retrouver la force de charrier les alluvions vers la mer et remplacer la digue-route par une passerelle sur pilotis. C’est ainsi que fut mis en chantier un barrage sur le Couesnon capable de permettre à la rivière de retrouver son rôle de « chasse » afin d’évacuer vers le large des millions de mètres cube d’eau et par la même de drainer les sédiments.
1/2/3/ Evolution montage du pont avec la passerelle quand elle sera terminée et que la digue-route aura disparue (photo Imagence MG Design)
Une passerelle de 760 m réalisée par l'architecte Dietmar Feichtinger
Mis en service en mai 2009, le barrage produit les effets attendus : à la pleine mer, les huit vannes s’ouvrent pour laisser entre l’eau dans le Couesnon et à basse mer, on ouvre à nouveau les vannes, mais cette fois pour chasser l’eau vers le large et « raboter » les fonds de la baie pour que le mont retrouve son aspect maritime. Quant à la passerelle de 760 m. réalisée par Dietmar Feichtinger, l’architecte de la passerelle Simone-de-Beauvoir à Paris, elle est posée sur des pilotis fins, en acier, sorte de mille-pattes horizontal, incurvée pour paraître moins longue.
Les milliers de voitures et camping-cars qui « trônaient » devant le mont ont été relégués à quelques trois kilomètres au sud, dans un immense parking bien organisé. Et le système de navettes pour accéder au mont si mal organisé l’année dernière - il fallait en effet marcher trois kilomètres aller et retour, pas très pratique pour les personnes âgées et les personnes à mobilité réduite – a été totalement revu. Les départs se font désormais près du tout neuf Centre d’informations touristiques.
A l’horizon 2025, le mont sera entouré d’eau cent cinquante jours par an pour le plus grand plaisir de l’archange qui veille sur le Mont Saint-Michel. A.D.
Mis en service en mai 2009, le barrage produit les effets attendus : à la pleine mer, les huit vannes s’ouvrent pour laisser entre l’eau dans le Couesnon et à basse mer, on ouvre à nouveau les vannes, mais cette fois pour chasser l’eau vers le large et « raboter » les fonds de la baie pour que le mont retrouve son aspect maritime. Quant à la passerelle de 760 m. réalisée par Dietmar Feichtinger, l’architecte de la passerelle Simone-de-Beauvoir à Paris, elle est posée sur des pilotis fins, en acier, sorte de mille-pattes horizontal, incurvée pour paraître moins longue.
Les milliers de voitures et camping-cars qui « trônaient » devant le mont ont été relégués à quelques trois kilomètres au sud, dans un immense parking bien organisé. Et le système de navettes pour accéder au mont si mal organisé l’année dernière - il fallait en effet marcher trois kilomètres aller et retour, pas très pratique pour les personnes âgées et les personnes à mobilité réduite – a été totalement revu. Les départs se font désormais près du tout neuf Centre d’informations touristiques.
A l’horizon 2025, le mont sera entouré d’eau cent cinquante jours par an pour le plus grand plaisir de l’archange qui veille sur le Mont Saint-Michel. A.D.
1/ La Ramade et le jardin 2/ La véranda 3/ Une des chambres (photos D.R.)
Plus d'infos
Où séjourner
- La Ramade, 2, rue de la Côte, 50300 Avranches. Tel. : 02 33 58 27 40.
www.laramade.fr/
Très cosy, cette grosse maison de granit, dans un petit village à une demi-heure du Mont Saint-Michel a beaucoup de charme avec sa véranda très british où sont servis d’appétissants petits déjeuners. Chaque chambre est pourvue d’un nom de fleurs qui rappelle celles du beau parc très léché. Pas de restauration, mais Véronique et Dominique sauront vous indiquer les bons plans gastro. Deux types de chambres (lits en 160 ou 180 cm) en fonction de la superficie : Harmonie à partir de 79 euros et Plénitude à partir de 105 euros. Une suite Passiflore dans une dépendance comprenant deux chambres et une terrasse privative, 160 euros. Petit-déjeuner 11 euros par pers. Une chambre accessible en fauteuil. Wifi partout et gratuit, parking privé.
Où séjourner
- La Ramade, 2, rue de la Côte, 50300 Avranches. Tel. : 02 33 58 27 40.
www.laramade.fr/
Très cosy, cette grosse maison de granit, dans un petit village à une demi-heure du Mont Saint-Michel a beaucoup de charme avec sa véranda très british où sont servis d’appétissants petits déjeuners. Chaque chambre est pourvue d’un nom de fleurs qui rappelle celles du beau parc très léché. Pas de restauration, mais Véronique et Dominique sauront vous indiquer les bons plans gastro. Deux types de chambres (lits en 160 ou 180 cm) en fonction de la superficie : Harmonie à partir de 79 euros et Plénitude à partir de 105 euros. Une suite Passiflore dans une dépendance comprenant deux chambres et une terrasse privative, 160 euros. Petit-déjeuner 11 euros par pers. Une chambre accessible en fauteuil. Wifi partout et gratuit, parking privé.
1/ Domaines des Ormes , Cabanes dans les arbres 2/ Cabanes sur l'eau 3/ Restaurant le Yukunkun (Photos D.R.)
- Domaine des Ormes, 35120 Epiniac (Dol de Bretagne). Tel. : 02 99 73 53 00.
www.lesormes.com
Si vous ne trouvez pas l’hébergement qui vous convient aux Ormes, véritable complexe de vacances avec toutes les activités de loisir possibles tel le golf, les randonnées à cheval ou le…cricket, c’est à désespérer. Sur 250 hectares, au sud de Dol de Bretagne, en pleine nature, à disposition un camping, une résidence hôtelière des gîtes, des cottages huttes, des cabanes dans les arbres et sur l’eau, des mobile-homes et bien sûr un hôtel traditionnel. Egalement cinq restaurants et quatre bars. Une grande tendresse pour les cabanes dans les arbres et sur l’eau. Belle idée pour se dépayser. Etonnante réalisation de la famille de la Chesnais qui a créé cet ensemble il y a trente cinq ans. A expérimenter, notamment les cabanes dans les arbres.
Où se restaurer
- Le Yukunkun, 27, rue du Port-Hue, 35800 Saint-Briac. Tel. : 02 99 40 79.
www.yukunkunsaintbriac.fr
Si vous arrivez à ce que Fabrice Boulain vous révèle pourquoi il a baptisé son restaurant le Yukunkun, bravo ! En tout cas dans cet établissement tout en couleur, il sert des plats de viande ou de poisson où les épices ne sont pas absentes. Une cuisine originale mais traditionnelle. Menu à 30 euros. Et le lundi, scène ouverte pour les musiciens et les chanteurs.
www.lesormes.com
Si vous ne trouvez pas l’hébergement qui vous convient aux Ormes, véritable complexe de vacances avec toutes les activités de loisir possibles tel le golf, les randonnées à cheval ou le…cricket, c’est à désespérer. Sur 250 hectares, au sud de Dol de Bretagne, en pleine nature, à disposition un camping, une résidence hôtelière des gîtes, des cottages huttes, des cabanes dans les arbres et sur l’eau, des mobile-homes et bien sûr un hôtel traditionnel. Egalement cinq restaurants et quatre bars. Une grande tendresse pour les cabanes dans les arbres et sur l’eau. Belle idée pour se dépayser. Etonnante réalisation de la famille de la Chesnais qui a créé cet ensemble il y a trente cinq ans. A expérimenter, notamment les cabanes dans les arbres.
Où se restaurer
- Le Yukunkun, 27, rue du Port-Hue, 35800 Saint-Briac. Tel. : 02 99 40 79.
www.yukunkunsaintbriac.fr
Si vous arrivez à ce que Fabrice Boulain vous révèle pourquoi il a baptisé son restaurant le Yukunkun, bravo ! En tout cas dans cet établissement tout en couleur, il sert des plats de viande ou de poisson où les épices ne sont pas absentes. Une cuisine originale mais traditionnelle. Menu à 30 euros. Et le lundi, scène ouverte pour les musiciens et les chanteurs.
La baie du Mont Saint-Michel vers le large (photo André Degon)
Le Mont Saint-Michel pratique
- Parking : suivre le fléchage, tarif 12 euros qui comprend le stationnement et la navette partant du centre d’informations touristiques jusqu’au mont. Ce système évite les 2 à 3 kilomètres AR qu’il fallait parcourir depuis la fermeture en avril 2012 de l’ancien parking au pied du mont.
www.bienvenueaumontsaintmichel.com/
- Les chemins de la baie, 34, rue de l’Ortillon, 50530 Genêts. Tel. : 02 33 89 80 88. www.cheminsdelabaie.com.
Les guides des Chemins de la baie proposent un certain nombre de prestations autour de la baie : traversées, randonnées, visites accompagnées, événements comme la traversée jusqu’à Tombelaine avec concert de jazz au pied du rocher le 11 août 2013. La traversée traditionnelle, approche vers le mont, peut se faire au départ du Bec d’Andaine et retour, soit 13 km, 4h45. Egalement boucle au départ du Mont Saint-Michel, soit 3 à 4 km, 2h30. Tarifs : à partir de 4,90 euros (groupe de 50 pers.). Prix en fonction du nombre de personnes.
A voir aussi :
Saint-Malo
D’après le site TripAdvisor, Saint-Malo était en 2010 la destination préférée des Européens. Alors une halte s’impose avec si possible une visite commentée au départ de l’office de tourisme, www.saint-malo-tourisme.com/, pour découvrir la célèbre cité corsaire. Malouin suis, ni Breton, ni Français. Ce dicton datant du XVIe siècle dénote, si besoin était, la fierté du Malouin à l’égard de sa cité. Pour rejoindre Saint-Malo depuis le Mont Saint-Michel, prendre la route de la mer par Cancale. Un vrai régal pour les yeux.
A.D.
- Parking : suivre le fléchage, tarif 12 euros qui comprend le stationnement et la navette partant du centre d’informations touristiques jusqu’au mont. Ce système évite les 2 à 3 kilomètres AR qu’il fallait parcourir depuis la fermeture en avril 2012 de l’ancien parking au pied du mont.
www.bienvenueaumontsaintmichel.com/
- Les chemins de la baie, 34, rue de l’Ortillon, 50530 Genêts. Tel. : 02 33 89 80 88. www.cheminsdelabaie.com.
Les guides des Chemins de la baie proposent un certain nombre de prestations autour de la baie : traversées, randonnées, visites accompagnées, événements comme la traversée jusqu’à Tombelaine avec concert de jazz au pied du rocher le 11 août 2013. La traversée traditionnelle, approche vers le mont, peut se faire au départ du Bec d’Andaine et retour, soit 13 km, 4h45. Egalement boucle au départ du Mont Saint-Michel, soit 3 à 4 km, 2h30. Tarifs : à partir de 4,90 euros (groupe de 50 pers.). Prix en fonction du nombre de personnes.
A voir aussi :
Saint-Malo
D’après le site TripAdvisor, Saint-Malo était en 2010 la destination préférée des Européens. Alors une halte s’impose avec si possible une visite commentée au départ de l’office de tourisme, www.saint-malo-tourisme.com/, pour découvrir la célèbre cité corsaire. Malouin suis, ni Breton, ni Français. Ce dicton datant du XVIe siècle dénote, si besoin était, la fierté du Malouin à l’égard de sa cité. Pour rejoindre Saint-Malo depuis le Mont Saint-Michel, prendre la route de la mer par Cancale. Un vrai régal pour les yeux.
A.D.
Les grandes marées du Mont Saint-Michel (Photo Uwe.K)