Tokyo la capitale .Entre l’une des gares les plus fréquentées de la ville et des rues commerçantes animées, des milliers de touristes et locaux se croisent jusque tard dans la nuit. (Crédit photos Mathis Cros)
20 heure au carrefour Hachiko, nœud piétonnier de Shibuya, quartier populaire de Tokyo.
Entre l’une des gares les plus fréquentées de la ville et des rues commerçantes animées, des milliers de touristes et locaux se croisent jusque tard dans la nuit. Un lieu de promotion idéal pour Sayuri, jeune chanteuse japonaise au talent prometteur qui prépare une série de concerts. Sur cette scène improvisée, elle illustre toute la fougue d’une jeunesse libérée, en quête d’une identité moderne affranchie d’un conservatisme encore très présent au Japon. A deux pas de là, la Tour 109 est l’un des haut-lieux de rencontre et de rendez-vous branché de Tokyo et de ses environs avec sa centaine de boutiques consacrées aux dernières tendances de la mode.
Entre l’une des gares les plus fréquentées de la ville et des rues commerçantes animées, des milliers de touristes et locaux se croisent jusque tard dans la nuit. Un lieu de promotion idéal pour Sayuri, jeune chanteuse japonaise au talent prometteur qui prépare une série de concerts. Sur cette scène improvisée, elle illustre toute la fougue d’une jeunesse libérée, en quête d’une identité moderne affranchie d’un conservatisme encore très présent au Japon. A deux pas de là, la Tour 109 est l’un des haut-lieux de rencontre et de rendez-vous branché de Tokyo et de ses environs avec sa centaine de boutiques consacrées aux dernières tendances de la mode.
Voyage en terre otaku
Le long de Chuo dori, d’innombrables boutiques sont aujourd’hui dédiées à la gloire des mangas. (Crédit photos Mathis Cros)
Autre exemple de ce Tokyo vibrant et futuriste : Akihabara, surnommée Akiba.
Le long de Chuo dori, d’innombrables boutiques sont aujourd’hui dédiées à la gloire des mangas. A la tombée de la nuit, les néons et panneaux lumineux donnent un éclat particulier à ce quartier.
C’est l’occasion de boire un thé et de déguster un plat typique dans un maid café, apportés par une serveuse (maid) en uniforme sortie tout droit de l’univers « otaku » (2).
C’est ici, à la fin des années 2000, que le groupe pop japonais AKB48 a acquis sa célébrité auprès des jeunes Tokyoïtes, avant de se faire connaître à travers le monde. Ses vingt jeunes chanteuses et idoles ont depuis fait de nombreux émules, devenant une référence de la scène médiatique japonaise avec plus de 30 millions de disques vendus.
Le long de Chuo dori, d’innombrables boutiques sont aujourd’hui dédiées à la gloire des mangas. A la tombée de la nuit, les néons et panneaux lumineux donnent un éclat particulier à ce quartier.
C’est l’occasion de boire un thé et de déguster un plat typique dans un maid café, apportés par une serveuse (maid) en uniforme sortie tout droit de l’univers « otaku » (2).
C’est ici, à la fin des années 2000, que le groupe pop japonais AKB48 a acquis sa célébrité auprès des jeunes Tokyoïtes, avant de se faire connaître à travers le monde. Ses vingt jeunes chanteuses et idoles ont depuis fait de nombreux émules, devenant une référence de la scène médiatique japonaise avec plus de 30 millions de disques vendus.
Entre traditions et modernité
La capitale nippone est vivante et pleine de modernité mais il reste encore quelques hauts lieux appartenant au passé notamment à gauche le palais impérial et à droite le temple Sensoji. (Crédit photos Mathis Cros)
Mais, même au cœur de ce Japon ultra moderne et innovant, l’histoire et les traditions restent bien présentes. Tokyo affirme sans complexe des contrastes qui sont l’une des forces et font le charme du pays.
A quelques stations de métro des quartiers branchés, des établissements et sites aux origines séculaires, voire millénaires, ramènent brusquement le voyageur aux racines de l’île. De nombreux sanctuaires shinto et temples bouddhistes ont été préservés ou reconstruits après les bombardements américains de la Seconde guerre mondiale, comme le Sensō-ji, le sanctuaire Yasukuni, le Zōjō-ji ou les portes Hōzōmon. Le sanctuaire de Kanda Myojin renvoie ainsi 13 siècles en arrière. Près d’Akihabara, le Palais Impérial, autrefois le château d'Edo, est encore entouré de ses douves d'origine. A travers la mégapole, des musées et autres lieux culturels s’affirment et rivalisent avec les magasins et rues à la mode de la capitale nippone.
A quelques stations de métro des quartiers branchés, des établissements et sites aux origines séculaires, voire millénaires, ramènent brusquement le voyageur aux racines de l’île. De nombreux sanctuaires shinto et temples bouddhistes ont été préservés ou reconstruits après les bombardements américains de la Seconde guerre mondiale, comme le Sensō-ji, le sanctuaire Yasukuni, le Zōjō-ji ou les portes Hōzōmon. Le sanctuaire de Kanda Myojin renvoie ainsi 13 siècles en arrière. Près d’Akihabara, le Palais Impérial, autrefois le château d'Edo, est encore entouré de ses douves d'origine. A travers la mégapole, des musées et autres lieux culturels s’affirment et rivalisent avec les magasins et rues à la mode de la capitale nippone.
1/ Plus de 13 millions de visiteurs étrangers ont visité le Japon en 2014 (+ 30 % par rapport à 2013), dont 178 570 Français (+16 % par rapport à 2013).
2/ Univers mangas, animés, idoles japonaises et jeux vidéo.
Plus d'infos
Hotel Gracery Shinjuku Au centre de Shinjuku, à quelques minutes à pied de la gare, l’hôtel s’est installé dans les 22 derniers niveaux du Toho building, bâtiment de 30 étages qui domine ce quartier très vivant de l’ouest de la capitale nippone. (Crédit photo Mathis Cros)
Pour plus de renseignements
Office national du tourisme japonais (JNTO)
4 rue de Ventadour
75001 Paris.
JNTO - Tél. : 01 42 96 20 29
Guide touristique de Tokyo
www.gotokyo.org/fr/index.html
Y aller :
Pour découvrir le Japon, Asia . propose une palette de produits qui intègre souvent Tokyo. « Le Japon en liberté », par exemple, est l’occasion de découvrir à son rythme la capitale nippone, mais aussi « Kyoto intemporelle et impériale, Osaka moderne et cosmopolite ».
A enrichir de détours et d’excursions.
A partir de 2 068 euros pour 10 jours / 8 nuits au départ de Paris.
Où dormir ?
Hotel Gracery Shinjuku
Au centre de Shinjuku, à quelques minutes à pied de la gare, l’hôtel s’est installé dans les 22 derniers niveaux du Toho building, bâtiment de 30 étages qui domine ce quartier très vivant de l’ouest de la capitale nippone. Impossible le rater avec un Godzilla de plusieurs mètres de haut, posé sur sa terrasse au 8e étage, face à son bar-restaurant et à sa réception.
Office national du tourisme japonais (JNTO)
4 rue de Ventadour
75001 Paris.
JNTO - Tél. : 01 42 96 20 29
Guide touristique de Tokyo
www.gotokyo.org/fr/index.html
Y aller :
Pour découvrir le Japon, Asia . propose une palette de produits qui intègre souvent Tokyo. « Le Japon en liberté », par exemple, est l’occasion de découvrir à son rythme la capitale nippone, mais aussi « Kyoto intemporelle et impériale, Osaka moderne et cosmopolite ».
A enrichir de détours et d’excursions.
A partir de 2 068 euros pour 10 jours / 8 nuits au départ de Paris.
Où dormir ?
Hotel Gracery Shinjuku
Au centre de Shinjuku, à quelques minutes à pied de la gare, l’hôtel s’est installé dans les 22 derniers niveaux du Toho building, bâtiment de 30 étages qui domine ce quartier très vivant de l’ouest de la capitale nippone. Impossible le rater avec un Godzilla de plusieurs mètres de haut, posé sur sa terrasse au 8e étage, face à son bar-restaurant et à sa réception.
Tokyo (Japon). Quatre ans après le tsunami et la catastrophe de Fukushima, l’Empire du soleil levant brille à nouveau sur le marché du *tourisme avec un objectif de taille : attirer 20 millions de visiteurs en 2020, année des JO de Tokyo. Coup de projecteur sur une extraordinaire mégapole de plus de 13 millions d’habitants. (Crédit photo Mathis Cros)