La bisquine de Cancale, la reproduction du vieux gréement traditionnel fêtera ses 30 ans les 23, 24, 25 juin. Crédit photo David Raynal
Avec six participants qui travaillent des produits nobles au côté d’un grand chef, la préparation d’un repas après le cours et à la maison, je suis en moyenne sur une formule à 125 €. Cela n’a aucune commune mesure avec les prix pratiqués par les autres cours à Paris Crédit photo D.R.
Porté par l'univers d'Olivier Roellinger, l'ambition de l’Ecole de cuisine corsaire à quelques pas de la Maison de Bricourt à Cancale est de transmettre des savoirs et des savoir-faire autour des produits de la mer, du potager et des épices.
Des techniques simples ou plus élaborées qui permettent la réalisation de tout un éventail de plats à la maison à destination des familles, des amateurs éclairés ou des professionnels.
« Cela fait onze ans que l’école existe. En dehors des particuliers et des locaux, il nous arrive d’accueillir des étrangers comme la Culinary Institute of America (CIA) avec ses 30 étudiants de New York. C’est la plus grande structure de formation de cuisine aux Etats-Unis. La première fois, ils sont venus pour une journée, puis deux, trois, quatre et aujourd’hui cinq. Ils viennent s’installer à Cancale parce qu’ils ont compris que nous étions une unité de transmission » explique Emmanuel Tessier. Les cours de cuisine corsaire se déroulent dans le bourg de Cancale sur les hauteurs de la ville dans un cadre convivial et chargé d’histoire maritime. Ils durent environ 4 heures, le matin ou l'après-midi.Chaque session est composée de 6 personnes au maximum qui disposent chacune de leur propre poste de travail ainsi que des recettes du jour. Selon le thème du cours, « Cuisiner au retour des grandes marées, le foie gras, le homard, les algues ou la Saint-Jacques » les participants préparent chacun de 3 à 5 plats et prennent une part active à l'exécution des recettes. La dégustation des mets exécutés en fin de session, accompagnée d'un verre de vin, constitue pour tous un véritable moment de partage et d'échange.
Des techniques simples ou plus élaborées qui permettent la réalisation de tout un éventail de plats à la maison à destination des familles, des amateurs éclairés ou des professionnels.
« Cela fait onze ans que l’école existe. En dehors des particuliers et des locaux, il nous arrive d’accueillir des étrangers comme la Culinary Institute of America (CIA) avec ses 30 étudiants de New York. C’est la plus grande structure de formation de cuisine aux Etats-Unis. La première fois, ils sont venus pour une journée, puis deux, trois, quatre et aujourd’hui cinq. Ils viennent s’installer à Cancale parce qu’ils ont compris que nous étions une unité de transmission » explique Emmanuel Tessier. Les cours de cuisine corsaire se déroulent dans le bourg de Cancale sur les hauteurs de la ville dans un cadre convivial et chargé d’histoire maritime. Ils durent environ 4 heures, le matin ou l'après-midi.Chaque session est composée de 6 personnes au maximum qui disposent chacune de leur propre poste de travail ainsi que des recettes du jour. Selon le thème du cours, « Cuisiner au retour des grandes marées, le foie gras, le homard, les algues ou la Saint-Jacques » les participants préparent chacun de 3 à 5 plats et prennent une part active à l'exécution des recettes. La dégustation des mets exécutés en fin de session, accompagnée d'un verre de vin, constitue pour tous un véritable moment de partage et d'échange.
Cancale a reçu son titre de ville à l'époque de François 1er qui raffolait de ses huitres...Crédit photo D.R.
Une petite "boîte" contenant un échantillon des recettes réalisées est enfin remise à l'issue du cours, afin de permettre aux apprentis cuisiniers de se remémorer les différentes préparations étudiées lors de la session, puis de les faire découvrir à leur famille ou à leurs proches.Crédit photo D.R.
Petits secrets de cuisine
Une petite "boîte" contenant un échantillon des recettes réalisées est enfin remise à l'issue du cours, afin de permettre aux apprentis cuisiniers de se remémorer les différentes préparations étudiées lors de la session, puis de les faire découvrir à leur famille ou à leurs proches.« Les mamans de Cancale ne m’ont pas attendu pour savoir cuisiner la coquille Saint-Jacques, mais je dois impérativement leur offrir la valeur ajoutée de la cuisine des grandes maisons en leur proposant des techniques et des modes de cuissons originaux. Avec six participants qui travaillent des produits nobles au côté d’un grand chef, la préparation d’un repas après le cours et à la maison, je suis en moyenne sur une formule à 125 €. Cela n’a aucune commune mesure avec les prix pratiqués dans d’autres cours à Paris » explique-t-il. Le goût de la pédagogie. C’est certainement ce qui pousse Emmanuel Tessier à venir une à deux fois par mois dans la capitale pour partager ses émotions gustatives et ses petits secrets de cuisine. Les leçons qui ont lieu rue Saint-Anne (1er arrondissement) dans l’arrière-boutique du comptoir d’épices d’Olivier Roellinger sont avec une durée d’environ 1h30 volontairement adaptées au rythme de vie parisien. L’objectif de ces séances est de faire découvrir aux amateurs de cuisine et d’émotions ultra-marines des gestes, mais aussi quelques grands classiques de la carte du grand chef cancalais Olivier Roellinger. Saint-Pierre retour des Indes, homard, xérès, piment et cacao, sauces pour poissons et produits de la mer, tout un univers bercé par l’ailleurs que l’on peut récréer par la suite chez soi en seulement 10 à 15 minutes.« Ces leçons doivent donner envie à des personnes qui aiment notre boutique à Paris de venir ensuite chez nous à la belle saison à Cancale. Elles sont un peu une assurance contre l’ouverture systématique d’un plat surgelé en rentrant le soir du boulot … »
Au début du 20e siècle, 200 à 300 bisquines naviguaient dans la baie de Cancale. Crédit photo Le Gall
La maison de Bricourt est désormais le sanctuaire où Olivier Roellinger crée ses nouvelles compositions d’épices. Crédit photo David Raynal
Ponctuations lointaines
Car Emmanuel Tissier a été formé à bonne école. Après son apprentissage chez Pierre et Michel Troisgros, il décide de partir à Cancale chez Olivier Roellinger alors maître incontesté des épices pour parfaire son éducation culinaire.
A l’époque, l’amphitryon cancalais est un rêveur d’océans, qui par son inspiration sans faille et toujours renouvelée, a su allier les saveurs iodées du terroir breton, à la subtile alchimie de ses ponctuations lointaines. Récompensé en 2006 par une troisième étoile, il n’a eu de cesse tout au long de son étonnant parcours, de se poser en trait d’union entre l’ici et l’ailleurs. Pourtant contre toute attente fin 2008, le héraut de la Bretagne gourmande décide de rendre ses trois macarons et ferme au sommet de sa gloire son relais gourmand, la Maison de Bricourt qui l’a vu naître. La demeure familiale devient alors le sanctuaire où il créé ses nouvelles compositions d’épices. Au Château Richeux, il continue toutefois d'œuvrer dans son bistrot marin Le Coquillage qui vient de décrocher une étoile. Fort de sa nouvelle liberté, il en profite pour ouvrir dans la foulée des entrepôts « Épices-Roellinger » à Cancale, Saint-Malo et Paris, une Ferme du Vent qui regroupe cinq abris ou gites haut de gamme, ainsi qu'un site entièrement dédié aux propriétés magiques du gingembre de la cannelle ou de la cardamome… Mais surtout avec Jane son épouse, il largue durablement les amarres et part aux quatre coins de la planète débusquer la feuille, la fleur, l’écorce, la graine ou les bulbes rares qui sauront miraculeusement sublimer sa cuisine et celle de ses collaborateurs.« Quand Olivier Roellinger commence à vous dire : je veux que mon plat sente le Brésil, la ville de Salvador de Baia un soir d’été, après un coup de pluie, la terre chaude dans la moiteur de la forêt... En tant que cuisinier, il faut écouter, sourire et savoir en rêver... Et puis foncer dans la chambre froide chercher un avocat, une boîte de lait de coco, un bout d’ananas, trois langoustines et commencer les premiers essais pour que le plat naisse. Très vite, sans lui demander son avis, je l’ai aidé sur toute cette partie de création. Je me suis occupé de rationaliser la logistique et j’ai commencé à écrire les textes des recettes pour que l’année d’après, nous repartions sur de bonnes bases et de bonnes proportions avec les petits nouveaux » se remémore Emmanuel Tessier.
A l’époque, l’amphitryon cancalais est un rêveur d’océans, qui par son inspiration sans faille et toujours renouvelée, a su allier les saveurs iodées du terroir breton, à la subtile alchimie de ses ponctuations lointaines. Récompensé en 2006 par une troisième étoile, il n’a eu de cesse tout au long de son étonnant parcours, de se poser en trait d’union entre l’ici et l’ailleurs. Pourtant contre toute attente fin 2008, le héraut de la Bretagne gourmande décide de rendre ses trois macarons et ferme au sommet de sa gloire son relais gourmand, la Maison de Bricourt qui l’a vu naître. La demeure familiale devient alors le sanctuaire où il créé ses nouvelles compositions d’épices. Au Château Richeux, il continue toutefois d'œuvrer dans son bistrot marin Le Coquillage qui vient de décrocher une étoile. Fort de sa nouvelle liberté, il en profite pour ouvrir dans la foulée des entrepôts « Épices-Roellinger » à Cancale, Saint-Malo et Paris, une Ferme du Vent qui regroupe cinq abris ou gites haut de gamme, ainsi qu'un site entièrement dédié aux propriétés magiques du gingembre de la cannelle ou de la cardamome… Mais surtout avec Jane son épouse, il largue durablement les amarres et part aux quatre coins de la planète débusquer la feuille, la fleur, l’écorce, la graine ou les bulbes rares qui sauront miraculeusement sublimer sa cuisine et celle de ses collaborateurs.« Quand Olivier Roellinger commence à vous dire : je veux que mon plat sente le Brésil, la ville de Salvador de Baia un soir d’été, après un coup de pluie, la terre chaude dans la moiteur de la forêt... En tant que cuisinier, il faut écouter, sourire et savoir en rêver... Et puis foncer dans la chambre froide chercher un avocat, une boîte de lait de coco, un bout d’ananas, trois langoustines et commencer les premiers essais pour que le plat naisse. Très vite, sans lui demander son avis, je l’ai aidé sur toute cette partie de création. Je me suis occupé de rationaliser la logistique et j’ai commencé à écrire les textes des recettes pour que l’année d’après, nous repartions sur de bonnes bases et de bonnes proportions avec les petits nouveaux » se remémore Emmanuel Tessier.
Olivier Roellinger est un rêveur d’océans, qui par son inspiration sans faille et toujours renouvelée, a su allier les saveurs iodées du terroir breton, à la subtile alchimie de ses ponctuations lointaines. Crédit photo David Raynal
Porté par l'univers d'Olivier Roellinger, l'ambition de l’Ecole de cuisine corsaire à quelques pas de la Maison de Bricourt à Cancale est de transmettre des savoirs et des savoir-faire autour des produits de la mer, du potager et des épices. Crédit photo D.R.
Chasseur d’épices
En parallèle, le chasseur d’épices est nommé en 2009 vice-président de l’association internationale Maisons Relais & Châteaux qui rassemble quelques 550 établissements dans 62 pays.
Assez rapidement, l’explorateur insatiable va s’atteler à la rédaction d’un manifeste de 20 engagements pour une cuisine créative, responsable et engagée favorisant les produits locaux de saison. Des valeurs que le cuisinier voyageur a toujours défendu au quotidien et qui s’inscrivent dans la continuité de ce qu’il a réalisé à Cancale durant ces trois dernières décennies.
« Quelques années plus tard, Olivier Roellinger me proposait d’ouvrir une école de cuisine avec lui. A cette époque, nous n’avions pas encore les trois étoiles. Nous avons donc décidé d’installer notre école à quelques mètres du Relais Gourmand et de l’Entrepôt aux épices, dans un ancien bâtiment qui vendait jadis des cirés enduits d’huile de lin pour les marins. Toute l’histoire collait. Nous avions le lieu et j’avais de plus en plus envie de m’engouffrer dans l’aventure. Il me proposait à la fois l’autonomie et la sécurité. Je ressentais aussi la fierté de m’associer à l’étendard Roellinger et de laisser définitivement derrière moi le rôle du second » se souvient Emmanuel Tessier.
Assez rapidement, l’explorateur insatiable va s’atteler à la rédaction d’un manifeste de 20 engagements pour une cuisine créative, responsable et engagée favorisant les produits locaux de saison. Des valeurs que le cuisinier voyageur a toujours défendu au quotidien et qui s’inscrivent dans la continuité de ce qu’il a réalisé à Cancale durant ces trois dernières décennies.
« Quelques années plus tard, Olivier Roellinger me proposait d’ouvrir une école de cuisine avec lui. A cette époque, nous n’avions pas encore les trois étoiles. Nous avons donc décidé d’installer notre école à quelques mètres du Relais Gourmand et de l’Entrepôt aux épices, dans un ancien bâtiment qui vendait jadis des cirés enduits d’huile de lin pour les marins. Toute l’histoire collait. Nous avions le lieu et j’avais de plus en plus envie de m’engouffrer dans l’aventure. Il me proposait à la fois l’autonomie et la sécurité. Je ressentais aussi la fierté de m’associer à l’étendard Roellinger et de laisser définitivement derrière moi le rôle du second » se souvient Emmanuel Tessier.
A la belle saison entre mai et septembre, Emmanuel Tessier interprète toutes voiles dehors sa partition marine. Ici sur les îles Chausey (crédit photo David Raynal).
Lancée le 18 Avril 1987, "La Cancalaise" est la réplique de "La Perle", bisquine cancalaise de 1905. Crédit photo David Raynal
Larguez les amarres
A la belle saison entre mai et septembre, Emmanuel Tessier interprète toutes voiles dehors sa partition marine. Avec son compagnon de bordée, le marin Jérôme Foyer (qui a navigué sur le fameux Pen Duick d’Eric Tabarly et dirigé l'école de voile de Cancale pendant 20 ans), il organise de savoureuses Balades Corsaires.
L’embarquement pour cette expérience gastronomique pleine de saveurs et d’embruns se fait au départ de l’anse de Port-Mer. La navigation se déroule ensuite en baie de Cancale et au large des îles Chausey sur deux gréements traditionnels l’Ausquémé un voilier du patrimoine breton datant de 1942 et la fameuse Bisquine, la reconstitution à l’identique du bateau emblématique de la capitale ostréicole qui fête les 23, 24 et 25 juin prochains ses trente ans.
Avec Jérôme à la barre et Emmanuel au piano, les matelots d’un jour partent pour un voyage culinaire autour d'un menu découverte en 12 plats, sous le signe des produits de la mer et des épices Roellinger.
L’embarquement pour cette expérience gastronomique pleine de saveurs et d’embruns se fait au départ de l’anse de Port-Mer. La navigation se déroule ensuite en baie de Cancale et au large des îles Chausey sur deux gréements traditionnels l’Ausquémé un voilier du patrimoine breton datant de 1942 et la fameuse Bisquine, la reconstitution à l’identique du bateau emblématique de la capitale ostréicole qui fête les 23, 24 et 25 juin prochains ses trente ans.
Avec Jérôme à la barre et Emmanuel au piano, les matelots d’un jour partent pour un voyage culinaire autour d'un menu découverte en 12 plats, sous le signe des produits de la mer et des épices Roellinger.
De Pâques à la Toussaint, découvrez également les "balades corsaires" à bord d'Ausquémé. Ce voilier traditionnel, véritable restaurant en mer, vous embarque pour un voyage gastronomique dans le cadre magique de la baie du Mont-Saint-Michel.Crédit photo David Raynal
Au programme de ce festival maritime, de la voile traditionnelle, quelques gestes de pêche (comme relever un casier), mais avant tout un florilège de créations iodées qui ravissent les papilles, huîtres au naturel et aux poivres, araignée et huile et cumbavas, rillettes de maquereaux aux parfums des alizés. L’escapade armoricaine s’achève en beauté sur des notes tropicales par des macarons corsaires, accompagnés d’un grog marin. Sur la Bisquine, un guide permet de mieux comprendre l’histoire de ce bateau le plus toilé de France qui servait entre le 19e et le milieu du 20e siècle au dragage des huîtres sauvages.
« Nous avons réussi à créer un véritable respect entre le monde de la mer et celui de la cuisine. La solidarité, la vie d’équipe sont autant de valeurs communes aux deux disciplines ».
Le prochain défi d’Emmanuel Tessier ? Peut-être simplement devenir enfin lui-même. Pour que les élèves qui franchissent la porte de l’Ecole de cuisine corsaire ne se disent plus seulement nous venons prendre un cours chez Olivier mais aussi une belle leçon de cuisine et de vie chez Emmanuel…
David Raynal
« Nous avons réussi à créer un véritable respect entre le monde de la mer et celui de la cuisine. La solidarité, la vie d’équipe sont autant de valeurs communes aux deux disciplines ».
Le prochain défi d’Emmanuel Tessier ? Peut-être simplement devenir enfin lui-même. Pour que les élèves qui franchissent la porte de l’Ecole de cuisine corsaire ne se disent plus seulement nous venons prendre un cours chez Olivier mais aussi une belle leçon de cuisine et de vie chez Emmanuel…
David Raynal
Emmanuel Tessier et son équipage vous accueillent pour des moments de découverte et de partage autour de la cuisine des produits de la mer et des épices Roellinger. Les ateliers sont ouverts à tous les passionnés.Crédit photo David Raynal
L’objectif d’Emmanuel Tessier et de son école de cuisine Corsaire Objectif: est de traduire les recettes du grand chef Olivier Roellinger pour se rapprocher de l'univers de la cuisine familiale.Crédit photo D.R.
Plus d'infos
La Cuisine Corsaire Ecole
Place Saint-Méen, 35260 Cancale
Téléphone : 02 99 89 63 86
www.cuisine-corsaire.fr/
Suivre les cours de cuisine à Paris :
Epices Roellinger
51 rue Sainte Anne, 75001 Paris.
L’entrepôt aux épices : 1 rue Duguesclin, Cancale 35260.
Tél : 02 23 15 13 91.
Tout savoir sur les épices :
www.epices-roellinger.com
La Ferme du Vent
Langavant
35350 Saint-Méloir-des-Ondes
02 99 89 64 76
La Cuisine Corsaire Ecole
Place Saint-Méen, 35260 Cancale
Téléphone : 02 99 89 63 86
www.cuisine-corsaire.fr/
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Epices Roellinger
51 rue Sainte Anne, 75001 Paris.
L’entrepôt aux épices : 1 rue Duguesclin, Cancale 35260.
Tél : 02 23 15 13 91.
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La Ferme du Vent
Langavant
35350 Saint-Méloir-des-Ondes
02 99 89 64 76
Du vendredi 23 au dimanche 25 juin 2017 La Bisquine fête ses 30 ans à Cancale Au programme... à terre et sur l'eau... Un rassemblement et une parade en baie de Cancale de gréements traditionnels, des expositions, des conférences, des jeux, des concerts et bien d’autres choses encore…Crédit photo D.R.
Office de tourisme de Cancale
www.cancale-tourisme.fr/
Du vendredi 23 au dimanche 25 juin 2017
La Bisquine fête ses 30 ans à Cancale
Au programme... à terre et sur l'eau...
Un rassemblement et une parade en baie de Cancale de gréements traditionnels, des expositions, des conférences, des jeux, des concerts et bien d’autres choses encore…
Événement maritime gratuit sur le port de la Houle.
Contact : 02 99 89 77 87 ou la_cancalaise@hotmail.com
Site : www.lacancalaise.org
www.cancale-tourisme.fr/
Du vendredi 23 au dimanche 25 juin 2017
La Bisquine fête ses 30 ans à Cancale
Au programme... à terre et sur l'eau...
Un rassemblement et une parade en baie de Cancale de gréements traditionnels, des expositions, des conférences, des jeux, des concerts et bien d’autres choses encore…
Événement maritime gratuit sur le port de la Houle.
Contact : 02 99 89 77 87 ou la_cancalaise@hotmail.com
Site : www.lacancalaise.org